Dimanche: un peu de rhume, je renonce à aller voir mes parents. Auto-test négatif, mais prudence
Lundi: gros rhume, dans le coton, test PCR positif. Très heureuse d'avoir été prudente hier. Et surtout très soulagée d'avoir pu être vaccinée avant contre le #COVID19
Etape suivante: message à toutes les personnes que j'ai vues les dernières 48h pour les avertir
Le bon côté c'est que je suis bien entourée. J'en suis reconnaissante. Le mauvais côté c'est que je constate que nos contacts sont à nouveau nombreux.
Heureusement qu'on est lundi
Au passage, je suis aussi heureuse d'avoir mis le masque pour faire mes courses. Si vous m'avez croisée à la Migros samedi, voilà: je ne vous ai pas passé le #SARSCoV2
Et évidemment: s'isoler à la maison
Heureusement, entre-temps tout le monde connait la musique et les "enfants" savent comment faire
Il est très loin, notre premier isolement d'une personne à la maison, avec un seul masque et du gel-hydroalcoolique fait maison 😅
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@a_chevillot_HD Les enjeux de l'interruption de grossesse sont souvent souvent résumés sous le chapitre du statut de l'embryon et du fetus. En fait il y a au moins trois chapitres:
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@a_chevillot_HD Effectivement, nous avons des désaccords durables sur la question du statut de l'embryon et du fetus.
Ici, la question est simplement éludée quand l'argument part du principe que le fetus est une personne
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@a_chevillot_HD En fait c'est justement un des objets de désaccord.
Peut-être est-ce une des sources de votre colère. En lisant un texte de cette nature, on se fait imposer implicitement par l'auteur des conclusions avec lesquelles elle devrait en fait s'attendre à du désaccord
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D'abord un résumé: la situation à Shanghai est terrible. A l'origine de la situation, la Chine est mal vaccinée et semble craindre un scénario à la Hong Kong, avec une flambée et beaucoup de morts
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Du coup la région de Shanghai est en lockdown. Pas un semi-confinement comme on a eu ici: un lockdown très strict. Les gens sont enfermés chez eux, et ne peuvent sortir que quand on les appelle au mégaphone pour les distributions de nourriture et pour des tests COVID
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Moi aussi je me réjouis de la fin de la pandémie en Suisse. Comme vous n'avez pas idée. En attendant, cela dit, il y a deux choses à comprendre pour mieux comprendre la situation actuelle:
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La première, c'est qu'il est vraiment possible qu'on soit proches de la fin de la pandémie, tout du moins en Suisse, mais que pour le moment on n'y est pas encore. Alors, quand est-ce qu'une pandémie se termine?
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La fin d'une pandémie vient quand le risque collectif devient suffisamment faible. Quand les hôpitaux ne sont plus en danger, quand l'accès aux soins est en sécurité. Quand le risque individuel devient maîtrisable car chacun a la possibilité de se protéger suffisamment
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C'est un peu tôt peut-être, mais pour ce deuxième Noël pandémique, cette fois contrairement à l’an dernier avec des vaccins, trois rappels, trois conseils pour organiser la fête, et trois idées de cadeaux:
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Rappels: 1) La vaccination protège contre la maladie et la transmission mais pas à 100%. 6 mois après 2 doses, 80-90% de protection pour la maladie grave et 50% contre le fait d’être infecté, donc symptomatique ou non mais contagieux. On remonte après la troisième dose
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2) Dans la plupart des families, il y a des personnes vaccinées et des personnes non vaccinées. Dans la plupart des familles il y a aussi des personnes vulnérables vaccinées mais qui conservent un risque non nul de maladie grave
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On assiste à nouveau à une déconnexion entre la réalité dans les hôpitaux et sa perception à l’extérieur.
La réalité dans les hôpitaux est que l’occupation monte. On se prépare à une vague haute, avec inquiétude
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Le taux d’immunité dans la population est nettement plus élevé que l’an dernier. C’est bien. Il reste cependant assez de personnes susceptibles pour que le danger d’une vraie surcharge soit encore bien présent
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Le personnel est épuisé. Il y a eu depuis le début de la pandémie des départ, y compris de personnes expérimentées, humanistes, aguerries, bienveillantes, qui en ont vu bien d’autres et qui là ne supportent plus
Les départs diminuent le nombre de lits utilisables