J’avais parlé de « soft fascisme » quelques semaines avant l’élection de Macron, en cas de victoire de celui-ci. Ils l’ont fait, par le biais du « nudge », ou théorie du « paternalisme libéral », un concept des sciences comportementales issu des pratiques de design industriel...
... faisant valoir que des suggestions indirectes peuvent, sans forcer, influencer les motivations, les incitations et la prise de décision. L’institut BVA l’avait en fait déjà mis en œuvre pour la campagne de Macron et l’utilise à nouveau, par exemple pour le #COVID19france.
Ce n’est ni plus ni moins que du bourrage de crâne, qui n’a rien de sublime, ni de subliminal. Mais pour que ça fonctionne, il faut bien sûr des médias aux ordres, qui relaient cette parole présidentielle douceâtre sans rechigner. BVA facture 5000 € à l’Élysée la note « nudge ».
Mais le nudge ne fonctionne pas à lui seul. Il faut aussi, « en même temps », des méthodes plus énergiques : enfermement des citoyens, interdiction des manifestations, le tout après avoir fait adopter l’État d’urgence par une Assemblée aussi fantôme que le Conseil des ministres.
Cela peut aller jusqu’à l’éborgnement, la mutilation, la garde à vue arbitraire, avec des médias qui toujours applaudissent, parce qu’il s’agit de « sauver la République ». Beaucoup de citoyens sont résignés, quelques-uns ont peur, une poignée résiste.
Il faut des surdoués au QI très développé pour vendre du « nudge » aux citoyens. Citons quelques génies : Jean-Michel Aphatie, Christophe Barbier, Dany Cohn-Bendit, Olivier Duhamel, Patrick Cohen, Anne-Élisabeth Lemoine, Apolline de Malherbe. Le « nudge », c’est magnifique 👉
Pour les plus dubitatifs, c’est ici 👇 bva-group.com/nudge-et-compo…
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