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Ne demandez pas à un homme d'être raisonnable quand la justice et le gouvernement ne le sont pas.

May 3, 2021, 26 tweets

THREAD - Pourquoi faut il réfléchir à deux fois avant d'accepter ces nouveaux "vaccins" contre le Covid.
PARTIE 1 : Les plus gros scandales pharmaceutiques.

Médiator :
Commercialisé par les laboratoires Servier en 1976, le médicament est un coupe-faim pour les diabétiques en surpoids. Mais le benfluorex qui le constitue peut provoquer de sévères atteintes aux valves cardiaques et une hypertension artérielle pulmonaire mortelle.

Les laboratoires Servier, pourtant dès le départ informé des risques, maintiennent le médicament sur le marché, jusqu’à son retrait en 2010, suite à la révélation du scandale.

Distilbène :
Prescrit en France contre les fausses couches de 1955 à 1977, il est à l’origine de nombreuses anomalies génitales, de stérilité et d’une augmentation de certains cancers chez des enfants exposés in-utéro.

Jusqu’à son retrait en 1977, l’hormone de synthèse a été prescrite à environ 200 000 françaises, ce qui entraîna (et entraine toujours) des dégâts sur trois générations.

Vioxx :
Le Vioxx est un anti-inflammatoire prescrit pour les douleurs liées aux maladies articulaires. Commercialisé entre 1999 et 2004 par le laboratoire Merck, il aurait, selon la FDA provoqué 160 000 crises cardiaques et attaques cérébrales et 40 000 décès, rien qu’aux USA.

En dépit des rapports négatifs qui affluent, le laboratoire Merck et les autorités sanitaires maintiennent le Vioxx sur le marché jusqu’à son retrait en 2004. Le médicament, un véritable blockbuster, aura rapporté 2,5 milliards de dollars chaque année.

Avandia :
Cet antidiabétique fut retiré du marché, en raison de ses effets secondaires. Un expert britannique affirme qu’il pourrait être à l’origine de 1 000 attaques cardiaques chaque année au Royaume-Uni.

Paxil (ou Prozac) :
Un antidépresseur très connu dans différents pays et prescrit aux enfants. Il fut retiré du marché en 2003 parce qu’il augmentait le risque de suicide.

Diane 35:
Fabriqué par le laboratoire Bayer,il a été accusé d’être responsable de 400décès,au vue du nombre de plaintes déposées.Développé pour combattre l’acné,il a été prescrit pendant 30ans comme pilule contraceptive,sans autorisation dans cette indication et vendu7x plus cher

Les risques thromboemboliques auxquels il expose les femmes étaient pourtant connus.

Dépakine :
Commercialisé par Sanofi, il est responsable de 425 à 450 naissances de bébés avec une malformation, selon un rapport l'Inspection générale des affaires sociales. Il a représenté un chiffre d'affaires de 422 millions d'euros en 2015 pour le laboratoire français.

Pradaxa :
L'anticoagulant du laboratoire Boehringer Ingelheim est accusé d'être responsable de plusieurs décès dûs à des hémorragies. Les familles des personnes décédées en 2013 ont porté plainte.

À Rennes, 6 volontaires participant à un essai clinique de phase 1 d'une molécule de Bial avaient été hospitalisés. L'un d'eux était par la suite décédé. Mis en cause avec le centre d'essais cliniques Biotrial, le laboratoire portugais a renoncé à développer sa molécule.

Dans l'affaire de la maladie de Lyme, près de 150 patients atteints de cette maladie, transmise par les morsures de tiques, ont déposer plainte contre des laboratoires pharmaceutiques auxquels ils reprochent de commercialiser des tests qui n'ont pas permis de les diagnostiquer.

Basés sur un prélèvement sanguin, les tests incriminés de type "Elisa" sont produits par une demi-douzaine de laboratoires, notamment BioMérieux et Diasorin.

Et des scandales, il y en a à la pelle !!
Comme celui du chlordécone, un insecticide favorisant le cancer de la prostate.
Ou encore le scandale du sang contaminé, suite à la distribution de lots sanguins infectés par le virus du SIDA.

Le scandale de l'Isoméride, un coupe-faim engendrant de graves problèmes de santé.
Mais également celui de l’amiante. La première alerte remonte à 1906 lorsque l’inspecteur du travail Denis Auribault dénonçait la forte mortalité dans les filatures et usines de tissage d’amiante.

Il fallut attendre 1997 pour que Jacques Chirac interdise l’amiante ! Entre-temps Claude Allègre évoquait un «phénomène de psychose collective».
Tiens donc, ça vous rappelle quelque chose ce phénomène de "psychose collective" ??!!

Et aussi celui de la fausse pandémie du virus H1N1 fin 2009 et début 2010 avec une désinformation absolue pour vacciner toute la population, un fiasco total avec le soutien de certains "grands médecins" eux-mêmes soutenus par Sanofi-Pasteur, Novartis et l'industrie des vaccins.

Vous l'aurez compris, le passé nous a prouvé à maintes et maintes reprises que ces laboratoires pharmaceutiques ont clairement des morts sur la conscience.

Ceci n'est qu'un aperçu des innombrables scandales qui montre une fois de plus que la santé des personnes passe toujours après la santé de leurs portefeuilles, c'est ainsi que notre société fonctionne, arrêtez de vous leurrer !

Alors comment expliquer ce pseudo engouement pour la vaccination contre le Covid, avec des vaccins qui n'en sont pas et qui n'empêche pas non plus la transmission du virus.
Communication politique ou vraie volonté de la population ? Ou les deux ? Brainwashing !!!

Comment peut on accepter à ce point de jouer les cobayes, avec des techniques dont nous n'avons aucun recul. Les gens se font vacciner sous prétexte de prendre soin de leur santé alors que c'est justement tout l'inverse, ils n'en ont cure et ne s'en rendent même pas compte !

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