Retrouvez dans quelques minutes sur lefigaro.fr Le Club Figaro Présidentielle, animé par @yvesthreard. Au programme ce soir: Le président de la République doit-il débattre? Le Parti socialiste va-t-il disparaître? Emmanuel Macron chef de guerre: un avantage pour lui?
«Emmanuel Macron, d'un point de vue démocratique doit participer à ces débats. (...) Il est temps qu'il confronte son projet à celui des autres», selon @arthurberdah.
«Ce n'est pas dans le droit ni dans notre pratique. (...) La multiplication des primaires a habitué les spectateurs à voir des débats. (...) Ca a créé une force d'appétence», selon @alevade.
«Tout le monde l'attend au tournant, évidemment qu'il a raison de ne pas le faire», analyse @S2RVNL.
On passe désormais au second thème: Le Parti socialiste va-t-il disparaître?
«Au sein de la gauche, le Parti socialiste peut faire l'évènement. (...) Mais il n'est pas exclu que le Parti socialiste vive ses derniers moments pendant cette présidentielle», analyse @S2RVNL.
«Si Anne Hidalgo abandonne sa candidature, des sociaux-démocrates - et pourquoi pas François Hollande - pourraient descendre dans l'arène.»
«Emmanuel Macron a créé une vie politique à deux vitesses: les anciens partis de gouvernement - LR et le PS - sont devenus des partis locaux. Et on a des partis gouvernementaux qui ont une incarnation sur la scène nationale - LREM et RN», explique @arthurberdah.
«Je pense que la gauche est perçue comme une gauche caviar, bobo, morale, loin du peuple. Une gauche des beaux quartiers. (...) Cette gauche-là ignore les souffrances des Français et s'est détachée du premier devoir d'un Etat: assurer la sécurité», selon @renaudgirard.
On passe désormais au troisième et dernier thème de la soirée: Emmanuel Macron chef de guerre: un avantage pour lui?
«Il y a une hystérie anglo-saxonne. (...) Il n'y a pas eu le moindre incident naval, terrestre, ni la moindre échauffourée. Je ne crois pas qu'il y ait une chance d'invasion de l'Ukraine», selon @renaudgirard.
«En France, lorsqu'il y a une crise d'ampleur, il y a un réflexe du "père de la nation". On se réfugie derrière l'exécutif. On l'avait vu lors des attentats en 2015. (...) Le Mali ça parle aux Français», analyse @arthurberdah.
«Si Emmanuel Macron apparaissait ridicule face à Vladimir Poutine, ça pourrait être un vrai revers dans sa campagne», selon @S2RVNL.
«Sans doute les Français ne sont pas prioritairement intéressés par les questions de relations internationales. Mais si les Français ont le sentiment qu'Emmanuel Macron incarne, ça peut être un avantage», selon
@alevade.
Merci à toutes et tous de nous avoir suivis, on se retrouve la semaine prochaine, à 20h, pour une nouvelle édition du Club Figaro Présidentielle.
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