Un de nos journalistes accuse un policier d'avoir effacé ses vidéos et de l'avoir interpellé avec 1faux motif (gène une interpellation et refuse de quitter les lieux).
Confrontation à l'#IGPN:
-Vous n'avez pas honte de déposer plainte,j'ai une famille avec des enfants moi... 1/7
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- Je vais vous dire une chose Monsieur, moi c'est la première fois de ma vie que l'on me menotte et que l'on m'amène de force au commissariat.
- C'était pas des menottes mais des Serflex !
- Vous avez raison...ça change tout !
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Lorsque l'on m'a "libéré", j'ai croisé dans le couloir la commissaire du commissariat qui s'est excusée et m'a conseillé de déposer plainte.
- Ça m'étonnerait que vous ayez pu parler comme ça au commissaire et puis vous ne connaissez pas les grades.
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- Moi, Monsieur, j'ai fais mon service militaire et je connais les grades.
- Oui mais dans la police, les grades sont différents...
- Je vous confirme que je connais les grades de la police.
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A ce moment là, le policier de l'IGPN intervient en disant que la commissaire avait été contactée et confirmait avoir parlé au journaliste.
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Le policier a continué à nier avoir manipulé la caméra et pourtant, une vidéo de la PP le montre avec la caméra en main et la police technique et scientifique a confirmé l'effacement de vidéos.
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A la fin de la confrontation, le policier a quitté le bureau pour retrouver et déjeuner avec un ami policier à l'IGPN.
Le dossier, maintenant complet, a été transmis au Parquet de Paris.
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