Ci-dessous mon #WomenInSTEMInspire !
AN: Consultante en surveillance des urgences de santé publique (profil Biostat.)
DMs ouverts aux questions ou plus de détails! Tirer profit des conseils a été déterminant dans mon parcours, donc je suis contente de continuer ce cycle!
AN: Consultante en surveillance des urgences de santé publique (profil Biostat.)
DMs ouverts aux questions ou plus de détails! Tirer profit des conseils a été déterminant dans mon parcours, donc je suis contente de continuer ce cycle!
Bëgg: j’ai toujours aimé les sciences de la vie. Je suis donc allée en licence sciences biomédicales après mon Bac S2!
Dès la L2 j’avais des modules de santé publique et de Biostatistiques en option. Grâce à une prof très pédagogue j’ai vite compris l’importance des Biostat!
Dès la L2 j’avais des modules de santé publique et de Biostatistiques en option. Grâce à une prof très pédagogue j’ai vite compris l’importance des Biostat!
Teewlu: Étant très à l’écoute, j’ai demandé conseil à mes profs à chaque fois que j’en ai eu l’occasion. On m’a dit: la santé publique est un monde très dominé par les médecins, si tu veux t’y faire une bonne place, maîtrise des choses peu maîtrisées par ceux-ci: Les Biostat 😎
Sañ: Je ne me suis presque jamais posée de limites. Le 1er stage que j’ai décroché dans un labo de bioinfo était ouvert aux étudiants de M1 et j’étais en L2. Ma conviction: je n’ai rien à perdre. Et j’ai toujours visé les plus grands labos, instituts de recherche, organisations.
Pas-Pas: Pour bien maîtriser les outils d’analyse et sous différents angles (l’épidémiologie concerne avant tout la collecte et l’analyse des données de santé), j’ai fait un Master Bioinfo Biostat où j’ai appris à coder dans différents langages en // du Master santé publique
J’ai travaillé notamment dans la pharma, la recherche médicale (l’épidémiologie des cancers, le sida, la santé maternelle et infantile) et j’ai récemment eu l’honneur de travailler dans la riposte à l’une des plus grandes épidémies de notre époque.
Njariñ: Qu’il s’agisse de la recherche ou de l’opérationnel en santé publique, c’est des domaines passionnants, faits pour les éternels apprenants. Parfois risqués, mais où chaque jour l’on sent le noble impact de son travail. Et ce dernier point, pour moi, vaut tous les risques.
PS: les conseils sont en début de chaque tweet. Bëgg: suivre son cœur, Teewlu: observer/écouter, Sañ: oser et sortir de sa zone de confort, Pas-pas: détermination et Njariñ: reconnaître l’utilité de son travail. Aussi l’anglais est un impératif et ouvre des portes insoupçonnées!
