Tainika Somerville est aide-soignante dans une maison de retraite aux États-Unis. Elle est en première ligne face au Covid-19.
Le 2 avril, elle a été licenciée après avoir dénoncé le manque d’équipements de protection individuelle.
Cette professionnelle de la santé a 8 enfants. Elle est aide-soignante depuis 20 ans. Elle a simplement exprimé des inquiétudes légitimes sur sa sécurité et celle de ses patients.
Une audience est prévue le 22 septembre pour statuer sur son cas. Mais Tainika risque d’attendre des mois avant de savoir si elle peut oui ou non récupérer son travail.
Une attente insupportable.
Les États-Unis sont actuellement le pays le plus touché au monde par la pandémie et 1077 soignants y sont déjà morts du Covid-19. Comme Tainika, de nombreux professionnels de santé dénoncent le manque d’équipements de protection.
Soutenons Tainika et tous les professionnels de santé en danger.
Les soignants protègent notre vie, protégeons leurs droits !
Le Hamas a remis les premiers corps d’otages israéliens morts à Gaza, dont deux enfants.
L’un avait 4 ans, l’autre 9 mois au moment de leur enlèvement.
Macabre. Abjecte. Infâme.
La remise de corps DOIT se faire dans le plus grand respect des défunts et de leurs familles.
La Croix-Rouge rappelle que la remise des dépouilles des otages doit « se dérouler en privé »
L’ONU dénonce une «mise en scène abjecte et cruelle» du Hamas.
Le droit international interdit les traitements dégradants et cruels des remises de corps et garantit qu'elles soient opérées avec respect de la dignité des défunts et de leurs familles.
L’Union européenne est le principal partenaire commercial d'Israël.
Pour Israël, l’UE représente 1/3 de ses importations et 1/4 de ses exportations.
Problème : l’UE continue ses échanges avec les colonies israéliennes, illégales en droit international. Et ça pose question.👇
Les États membres de l’UE reconnaissent, unanimement, l’illégalité des colonies israéliennes.
Pourtant, les échanges commerciaux vers les colonies continuent.
L’UE contribue donc à maintenir l'occupation illégale et la colonisation par Israël des territoires palestiniens.
La Cour international de justice a émis le 19 juillet 2024 un avis historique affirmant que les États ne doivent pas reconnaître, aider ou soutenir une situation illégale découlant de l’occupation par Israël des territoires palestiniens.
Alors que la France accueille le sommet mondial sur l'intelligence artificielle, voici 7 dangers de l'IA qui ne seront pas présentés pendant le sommet. 👇
1⃣L'IA perpétue le racisme
Aux États-Unis, la police a déjà utilisé une IA pour prédire une récidive criminelle. L’IA cible 2 fois plus les accusés Noirs que les accusés Blancs, selon une enquête publiée par prorepublica.
2⃣L’IA accentue le sexisme
En Autriche, une IA utilisée pour l’embauche a d’office écarté les femmes des métiers de l’informatique.
Certains outils réduiraient de 8 % les chances des femmes de trouver un travail, selon une étude du Forum économique mondial.
Enquête sur quatre frappes aériennes menées par Israël au Liban entre le 29 septembre et le 21 octobre 2024.
Ces attaques ont tué au moins 49 civil·es, dont des familles entières. Elles doivent faire l’objet d’une enquête pour crimes de guerre.
Le 29 septembre, vers 4h50, en périphérie d’al Ain, une frappe israélienne a détruit la maison de la famille syrienne al Shaar.
Les neuf membres de la famille qui dormaient à l’intérieur ont été tués.
Le 21 octobre vers 5h45, les forces israéliennes ont frappé le quartier de Nabi Inaam à Baalbek, détruisant un bâtiment qui abritait 13 membres de la famille Othman.
Cette frappe a fait six mort·es (deux femmes et quatre enfants) et sept blessé·s.
Des logiciels espions sont utilisés par les autorités serbes contre des journalistes et des militants écologistes.
Une répression numérique pour faire taire la société civile.
C’est ce que nous révélons dans une nouvelle enquête intitulée « Une prison numérique. »👇
Les autorités serbes mettent en place une campagne de surveillance illégale.
Nos équipes @AmnestyTech ont révélé que le logiciel espion avait infecté les téléphones de journalistes et/ou activistes quand ils déposaient des plaintes à la police ou services de renseignements.
Cette campagne de surveillance est menée avec des technologies de pointe.
C’est l’entreprise israélienne Cellebrite qui est à l’origine d’un outil d’extraction des données, utilisé par les autorités serbes pour museler sa société civile.
Les femmes iraniennes risquent la peine de mort si elles militent contre le port obligatoire du voile.
C’est l’une des dispositions de la nouvelle loi qui devrait entrer en vigueur le 13 décembre.
Voici une liste des articles de cette loi draconienne, honteuse et inhumaine.👇
Le seul intitulé de la loi est draconien : « La loi sur la protection de la famille par la promotion de la culture de chasteté et du hijab »
Composée de 74 articles, elle intensifie la répression contre les femmes iraniennes : peine de mort, flagellations, prison…
L’art.37 de la loi prévoit que « la promotion ou la propagation de la nudité, du dévoilement (…) » en collaboration avec des entités étrangères est passible d’une peine allant jusqu’à 10 ans de prison et 12 000 dollars d’amende.