Retour au procès des #AttentatsJanvier2015 On passa aujourd’hui à l’examen des faits qui se sont produits à l’hypercasher @CNEWS
On va entendre ce matin l’enquêteur de la brigade criminelle qu’on avait aussi entendu il y a deux semaines pour l’attaque de CharlieHebdo. #attentatsJanvier2015@CNEWS
Le président rappelle, comme il l’a dit vendredi, que les images enregistrées par la gopro d’Amedy Coulibaly ne seront pas diffusés à l’audience. #AttentatsJanvier2015@CNEWS
D’autres images en revanche (notamment des caméras de l’hypercasher) pourront être diffusées pendant l’audition du policier #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Amedy Coulibaly entre dans l’hypercasher à 13h05 le vendredi 9 janvier. Il tire sur un premier client, Yohan Cohen #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Amedy Coulibaly va tuer quatre personnes en un quart d’heure. Il est « froid, déterminé, n’a aucune empathie pour les victimes » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Amedy Coulibaly va enregistrer 7 minutes de la prise d’otage via une go pro fixée sur son torse « cela avait surtout un usage de propagande » estime le policier #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Le président propose qu’on visionne le plan des lieux et quelques photos. Plusieurs personnes se lèvent et quittent la salle d’audience #AttentatsJanvier2015@CNEWS
On visualise des photos des rayons de l’hyper cacher. Produits cassés au sol, caddies renversés, et puis un chargeur de kalachnikov, une go pro... #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Photos terribles extraites des bandes de vidéo surveillance. On voit Amedy Coulibaly entrer dans le magasin, tirer sur Yohan Cohen #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Un client rentre dans le magasin alors que la caissière est en train de baisser le rideau, elle lui dit de ne pas entrer mais il ne l’écoute pas. Puis il comprend et tente de sortir, Amedy Coulibaly lui tire dans le dos #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Le président choisit de lire les retranscriptions de la go pro de Coulibaly. Le terroriste parle aux otages, leur demandent leur origine. On lui répond « juif », « ah vous savez pourquoi je suis là alors, Allan Akbar » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Le président lui ensuite les retranscriptions des échanges entre Coulibaly et les otages (enregistrés par un journaliste de RTL qui avait appelé la ligne fixe du magasin) #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Longue logorrhée d’Amedy Coulibaly qui parle de la Syrie, de Charlie, des musulmans qu’il faut laisser tranquille, des impôts qu il ne paie pas, de Ben Laden, de la Palestine... #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Des avocats de la partie civile demandent s’il ne serait pas judicieux d’entendre l’enregistrement original - et donc d’entendre Amedy Coulibaly. Le président refuse #AttentatsJanvier2015@CNEWS
On entend finalement l’enregistrement de la conversation entre Amedy Coulibaly et un journaliste de BFMTV. « Je suis là parce que l’Etat francais a attaqué l’Etat islamique » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Amedy Coulibaly explique avec détachement qu’il s’est bien synchronisé avec les frères Kouachi mais qu’il est seul à l’hyper cacher « y’a quatre mort... ouais... et y’a combien de personnes ? » demande-t-il aux otages #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Le policier revient sur cette interview « on entend l’agacement du preneur d’otage à la fin de l’enregistrement. Risquer l’agacement c’est exactement ce qu’il ne faut pas faire » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Il faut préciser que c’est Amedy Coulibaly qui a appelé BFMTV pour faire rectifier des infos qu’il voyait circuler sur le bandeau (et qui ne donnaient pas le nombre de morts notamment) #AttentatsJanvier2015@CNEWS
L’avocate de la sœur de Michel Saada demande au policier si Son frère a pu comprendre ce qui se passait et s’il a souffert. Le policier répond qu’il a sans doute fait demi tour en comprenant ce qui se passait et que, touché à l’aorte, il est mort rapidement #AttentatsJanvier2015
Anne Hidalgo explique pourquoi elle a accepté de témoigner à la demande de plusieurs associations « parce que j’ai vécu cet événement au plus près des équipes, des victimes » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
« Mon rôle en tant que maire, je l’improvise. Les derniers attentats à paris remontent à 1995. Mon rôle doit être de faciliter les choses pour les secours, les victimes. Un rôle de puissance réparatrice » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Anne Hidalgo raconte que c’est elle qui a appelé les chaînes de télévision (à la demande du préfet de police de paris) pour leur demander d’arrêter de diffuser en direct des images de l’hyper cacher, mettant en péril l’assaut qui s’organisait #AttentatsJanvier2015
« Je ne sais pas si on s’est défroqué (comme l’a dit la dessinatrice Coco) mais il faut se ressaisir par des politiques concrètes, pour sortir de cette situation. Toute communautarisation est un danger » #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Anne Hidalgo « je ne connais pas les noms des accusés qui sont dans le box et je ne souhaite pas les connaître ». Murmures de protestation dans les deux box vitrés. #AttentatsJanvier2015@CNEWS
Seuls deux avocats de la defense sont restés. L’un d’eux s’étonne que la maire de Paris refuse de connaître l’identité de personnes « encore présumées innocentes ». « J’ai le droit de m’intéresser aux victimes et de ne retenir que leurs noms » #AttentatsJanvier2015
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Je reposte avec quelques précisions pour que tout soit plus clair #Palmade #dudroitdudroitdudroit
Je n’étais pas à l’audience #Palmade hier. Mais j’ai suivi les live tweets, et lu les dépêches et les articles. J’ai découvert que l’avocat des victimes avait commencé par demander que le prévenu soit jugé pour homicide involontaire.
Pour rappel, le débat a eu lieu pendant l’instruction, le parquet était favorable à des poursuites pour homicide involontaire, car une passagère enceinte de 6 mois a perdu son bébé. Pierre Palmade avait d’ailleurs mis en examen pour homicide et blessures involontaires.
Au procès de l'assassinat de Samuel #Paty commencent avec beaucoup de reytard les auditions des collègues du professeur. La principale du collège du Bois d'Aulne de l'époque s'avance à la barre. @franceinfo @FranceTV
"C’était ma 4e année. C’était un collège de 750 élèves, un gros collège. Globalement 7 classes par niveau. Environ 30 élèves par classe. J’avais une adjointe qui suivait les 6e et les 4e et moi les 5e et les 3e. On accueillait plutôt des élèves issus de CSP favorisés." #Paty
"Les 4e est un niveau un peu oublié, ils sont pas nouveaux, il n’y a pas l’échéance des examens. C'est vraiment l’entrée dans l’adolescence. Ils ont 13 ans, il y a plein de choses qui se passent. Je me suis rendu compte que c’était vraiment le niveau sur lequel il fallait agir."
Avant l'audition des parties civiles cet après-midi au procès de l'assassinat de Samuel #Paty, on entend en ce moment les policiers municipaux qui sont arrivés au moment où le professeur se faisait tuer. Ce jour-là, ils ont décidé de patrouiller à la sortie du collège.
Ils repèrent un groupe de jeunes. L'un d'eux, plus grand et habillé tout en noir, attire leur attention. Quelques instants plus tard, alors qu'ils circulent en voiture aux abords du collège, ils arrivent dans la rue où Samuel #Paty est en train d'être décapité.
Ils sont à quelques mètres du corps du professeur, le terroriste est toujours penché sur lui. L'un des policiers, stagiaire à l'époque, dit qu'il a cru qu'il s'agissait d'un masque, "c'était Halloween. j’ai pas trop compris. J’ai dit “c’est une tête ça ?”"
Longue file d’attente devant le palais de justice d’Avignon pour assister à la deuxième audition de Gisèle #Pelicot ce matin à partir de 11h #procesMazan @franceinfo @FranceTV
Au procès des viols de #Mazan, on va commencer l’interrogatoire sur les faits d’un groupe de 7 accusés dont Jerome V, revenu 6 fois au domicile des #Pelicot en 2020 @franceinfo
L’arrivée de Gisèle #Pelicot, applaudie.
A la barre, Jean T, 52 ans, jugé pour un viol sur Gisèle #Pelicot en 2018. Il reconnaît le rapport sexuel, mais conteste la qualification juridique. Il pense avoir été lui aussi drogué, après avoir bu un coca et assure qu'il recherchait un couple pour une relation à trois.
A Avignon, le soutien à Gisèle #Pelicot au détour d’une rue. #Mazan
Cet après-midi, Jérôme V. est interrogé par la cour criminelle sur personnalité, son parcours de vie. Il s'est rendu à 6 reprises chez Dominique #Pelicot dans un délai de 4 mois. #Mazan @franceinfo
"J’ai grandi dans une famille modeste
mon père représentait la figure de l’autorité, si y’avait le moindre problème, je bougeais pas. Il était très peu démonstratif, n’avait pas d’amis."