Doit choisir elle-même sa propre peine entre : 30 jours de prison ou se faire asperger le visage à la bombe lacrymogène, la femme ayant... aspergé le visage d’un homme à la bombe lacrymogène.
Tribunal de Painesville (Ohio USA), 29 mai 2015
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Tribunal de Painesville (Ohio USA), 29 mai 2015
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Elle a choisi l’option numéro 🥁... 2 !
A l’issue de l’audience et en plein tribunal, sa victime lui a alors arrosé la face à l’aide d’une bombe lacrymo fournie par le juge.
Et là, nouvelle surprise :
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A l’issue de l’audience et en plein tribunal, sa victime lui a alors arrosé la face à l’aide d’une bombe lacrymo fournie par le juge.
Et là, nouvelle surprise :
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Elle ne reçoit que de l’eau ! Le juge voulait juste « lui donner une leçon ».
Il explique, hilare : « toute victime rêve de venir au tribunal rendre la pareille à son agresseur... mais même si j’en avais eu envie : non, je ne peux pas utiliser de vrai gaz lacrymogène ! »
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Il explique, hilare : « toute victime rêve de venir au tribunal rendre la pareille à son agresseur... mais même si j’en avais eu envie : non, je ne peux pas utiliser de vrai gaz lacrymogène ! »
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Le juge Cicconetti, apprécié aux USA pour la créativité de ses jugements (ex : condamner un braconnier à regarder Bambi une fois par mois) tiens à nous rassurer :
« Je me le suis pschitté 3 fois dans l’œil avant pour vérifier que c’était inoffensif ! »
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« Je me le suis pschitté 3 fois dans l’œil avant pour vérifier que c’était inoffensif ! »
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Sa méthode est assumée : faire une grosse frayeur, même factice, aux délinquants pour que d’eux-mêmes ils n’aient pas envie de revenir le voir !
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