Perpignan. Il y a des jours où la gare de Perpignan est le centre du monde. C’en était un😜
Nice toujours avec le sourire
Metz. Et dieu sait qu’il faut du lourd pour que l’Alsace manifeste.
Besançon. Peut-être pas la destination de vacances favorite des français, mais ils compensent par le cœur.
La Lorraine. Ses terrils, ses gueules noires, son incroyable force de travail, sa rectitude, sa dignité et son sens de l’honneur.
Lille. Dans le Nord on est des hommes, on ne fait pas de vidéos, donc ce sera photos. Mais vous savez ce que l’on dit: « … on pleure deux fois ». Sauf le PR, qui pourrait pleurer 3 fois.
Dijon
Il ne fallait pas leur faire monter la moutarde au nez💁♂️
Caen
Sérieusement, c’était quand la dernière fois que Caen a manifesté?
Toulouse
À Toulouse on aime 4 choses: Toulouse, le rugby, la chocolatine et la liberté. Deal with it💁♂️
Reims
Il y a des rois qui ont été faits et défaits à Reims
Saint-Brieuc😅
À Saint-Brieuc on a connu les légions romaines, les rois bretons, on a été chouan pendant la terreur, on a payé le tribut de la résistance sous l’occupation. Il n’y a pas grand chose qui nous en touche une.
Pau
À Pau on ne demande rien à personne. Ici c’est sauvage. Ici on respecte la Nature.
Et on aime la liberté.
Strasbourg
À Strasbourg on n’est pas inutilement émotifs. On ne parle pas pour rien. On n’agit pas pour rien.
Mais quand on agit
Rouen
À Rouen on a du sang Viking dans les veines. On a traversé la mort noire de 1348 en pleurant nos morts et chérissant nos vivants. Nous avons survécu à toutes sortes d’avanies. Et on est encore là.
Chambéry
À Chambéry on a vu venir Hannibal. On l’a aussi vu repartir. Ici c’est la maison de Savoie, on ne nous impressionne pas comme ça. On prend notre temps pour prendre une décision. Et quand elle est prise
La Rochelle
Ici on n’a jamais eu peur ni de l’océan, ni de s’opposer au plus puissant roi de France au nom de la liberté.
Alors voici notre réponse
Brest.
Nous sommes ceux qui dressons le nez au ciel, nous mouchons dans les étoiles et pissons comme vous pleurez sur les ennemis de la liberté.
Et, non, il ne pleut pas.
Mulhouse
Attila n’a pas aimé. C’est normal, nous ne sommes accueillant que pour les amis de la liberté.
Ah, et au fait, la bataille des champs catalauniques, Clovis, tout ça: c’est nous.
La Réunion
Vous l’avez peut-être un peu oublié, mais les DOM TOM c’est la France. Et niveau tyrannie on a subi aussi. Vous avez vraiment cru qu’on ne serait pas là pour manifester pour la liberté avec le reste de la France?
Bayonne
Ici quand on s’ennuie on lâche des taurillons dans les rues pour se détendre.
Vous pensiez vraiment qu’on allait accepter la tyrannie sans broncher?
La Rochelle, autre vue.
Mulhouse, autre vue
Narbonne
On n’aime pas trop se faire remarquer: ici la vie est douce et ça nous a valu plusieurs vagues d’envahisseurs. Ils ont brûlé et détruit. Mais nous avons toujours reconstruit. Et quand il le faut, nous sommes là.
Saint-Étienne
3 manifestants selon BFM. 2 selon le ministère de l’intérieur. 50 selon france bleu.
Lyon, autre vue
Albi
Nous, nous nous sommes pris une croisade. Pas avec des fragiles en costume et pantalon carotte. Non. Avec du gros chevalier franc deter. Alors quand il s’agit de liberté, nous sommes et nous serons toujours là.
Reims, autre vue, fin de manifestation
Nîmes
Nous avions l’eau courante et les raffinements de la civilisation romaine avant que nos élus n’aient la lumière à tous les étages.
Nous aimons la joie, les fleurs, les vignes et nos femmes plus belles que les fleurs. Nous n’aimons pas la tyrannie.
Vous êtes nombreux à m’envoyer des vidéos d’autres lieux, je ne pourrai pas tous les ajouter, mettez les en commentaire:)
Une dernière chose. Il y avait plus de 100 lieux. Selon les médias 140 000 personnes. Ce qui ferait moins de 1400 personnes par lieu de rassemblement. mdr😂
Bon je fais un PS pour Clermont Ferrand à la demande convainquante de Clermontois qui insistent😜
Oui, Clermont était dans la place!
« L'opération Gladio est un réseau secret paramilitaire soutenu par l'OTAN et organisé par les services secrets américains, établi après la Seconde Guerre mondiale, apparemment inspiré par la peur de l'URSS, notamment composé d’anciens nationaux-socialistes. On l'appelait aussi le "réseau Stay behind", car si l'Armée rouge envahissait l'Europe, ses membres "resteraient derrière" les lignes ennemies pour perturber le contrôle soviétique. Officiellement inexistant, le secret était si extrême que ces réseaux étaient difficiles à contrôler pour les responsables de l'OTAN/MI6/Deep State. Gladio était responsable de bombardements, d'enlèvements et d'assassinats à un point tel que le réseau a été exposé publiquement en Italie dans les années 1980 et a fait l'objet d'un documentaire de la BBC d'Alan Francovich quelques années plus tard.[1] Le projet a été adapté au milieu des années 1990 sous le nom de "Gladio B", en utilisant des "terroristes musulmans" comme image ennemie de substitution pour les communistes. »
« Ce qui a été appelé l'opération Gladio n'a jamais été destiné à être reconnu publiquement. C'était un plan militaire multinational destiné à armer et former des groupes clandestins dans de nombreux (peut-être tous) de ses pays membres et ailleurs en Europe. Le récit officiel sur ces réseaux est confus, contradictoire et définitivement incomplet, avec de nombreuses questions de base sans réponse. Les raisons invoquées pour la création de groupes armés d'infiltration ont eu tendance à se concentrer sur l'utilisation des armées secrètes comme cinquième colonne pour fournir une résistance armée en cas d'invasion soviétique.
Problèmes
La hiérarchie du commandement et du contrôle de Gladio reste floue à ce jour, même pour les dirigeants nationaux élus. Lorsque l'Union européenne a appris l'existence de Gladio, elle a adopté une résolution imposant des enquêtes nationales pour révéler ce qui se passait, mais en 2016, seuls 5 pays l'ont fait (dont l'Italie, la Belgique, les Pays-Bas et la Suisse). Un grand point d'interrogation demeure donc sur le rôle que l'opération Gladio a joué et continue de jouer dans l'influence des événements. Il semble très probable que l'État profond américain contrôle ces forces, que ce soit par l'intermédiaire des services de renseignement nationaux ou de manière plus informelle. Le lien, en particulier, avec les attaques terroristes de faux drapeaux est particulièrement préoccupant. »
L'opération Gladio a été révélée pour la première fois en Italie en 1990, après plus de 40 ans d'opérations clandestines.
Les membres du projet ont révélé que des projets similaires existaient dans la plupart, sinon dans tous les pays d'Europe occidentale.[2]
Ces réseaux restants étaient, en substance, des armées super secrètes dans au moins 14 pays européens, qui étaient tenues secrètes des structures gouvernementales officielles des pays hôtes - étant contrôlées par d'autres forces telles que la CIA et le MI6. Ils sont restés pour la plupart dormants, mais ont également été impliqués dans des activités anticommunistes, y compris l'agitation antidémocratique pour basculer les élections et le "terrorisme" sous faux drapeau pour infliger le stress psychologique et manipuler l’opinion publique, tantôt contre l’extrême gauche, plus récemment contre la droite également.
Le nom Gladio, (ou « Épée » en italien) était techniquement le nom donné à leurs opérations en Italie, mais a depuis été étendu pour défendre le phénomène dans son ensemble. Les preuves de tels arrangements, qui avaient été gardés secrets par les gouvernements publics et politiques démocratiquement élus dans les pays hôtes pendant un quart de siècle, ont été révélées à travers une série de révélations scandaleuses en Italie et dans d'autres pays de l'OTAN au cours des années 90, et méticuleusement documentées par l'historien suisse Daniele Ganser dans son livre de 2004 NATO's Secret Armies,[3]
Sans doute le livre le plus choquant jamais ignoré par les médias mainstream. Les preuves contenues dans le livre de Ganser, du terrorisme dirigé contre le peuple par des armées secrètes financées et organisées par l'OTAN et responsables aux éléments de l'État profond au sein de l'OTAN, du MI6 et de la CIA plutôt que des gouvernements respectifs sont si choquantes que la réaction initiale de la plupart des gens serait de le rejeter. Et pourtant, les revendications ont été étayées par des enquêtes juridiques en Italie, en Suisse et en Belgique et ont été débattues (et condamnées) au Parlement européen.
1/9 🧵 L’avenir des réseaux sociaux, ce sont les protocoles décentralisés, et les plus en pointe sont Nostr, Farcaster et Lens Protocol. Imaginez-les comme des outils pour créer des réseaux sociaux non censurables et dont les données vous appartiennent. Let’s go ! 🚀
2/9 Nostr, basé sur la communauté Bitcoin est comme un réseau social mondial, mais sans big corp qui contrôle tout. Il est simple, résistant et ouvert à tous. Imaginez pouvoir envoyer des messages sans craindre qu'ils ne soient censurés ou supprimés. C'est ça, Nostr. 🌐
3/9 Pas de censure, pas de numéro de téléphone à l’inscription, l’anonymat est garanti. Et vous pouvez choisir la façon dont le réseau met en forme le contenu, par exemple en passant par qui ressemble à twitter. Changez d'habit, gardez le contenu!iris.to
Plein de gens viennent, de leur propre chef ou envoyés par leur employeur faire un test PCR de contrôle à j7 et/ou j10. Rappelons-le, ça n’a aucun intérêt.
Dans le COVID, vous êtes malades et/ou contagieux de j-1,5 à j7. On met ceinture et bretelle pour j10
Le test PCR sera positif dès le début des symptômes mais restera positif en moyenne 22 jours après le J0. Donc vous n’êtes plus malade, plus contagieux, mais temporairement encore positif.
Si vraiment vous voulez reprendre le boulot en prouvant que vous n’êtes plus contagieux, soit vous attendez 10 jours, soit vous faite un test antigénique. Mais pas une PCR qui a toutes les chances d’être encore positive.
Il y a les morts hypothétiques, les probabilités de décès, et c’est notre devoir collectif de les prévenir.
Et puis il y a les morts qui peuvent être les conséquences directes de propos indignes de ces derniers jours.
Il faut retrouver de la bienveillance et de l’empathie.
Le management par la terreur, à l’échelle d’un pays, cela peut avoir des conséquences tragiques.
Si vous vous sentez dans une situation difficile, si vous avez l’impression qu’il n’y pas de solution, si vous vous sentez seul et dépassé, sachez que, non, vous n’êtes pas seul. Qu’il y a plein de gens qui ressentent la même chose, et plein de gens prêts à vous aider.
Le système bancaire actuel (et monétaire… et financier…) est archaïque, lent (« le virement arrivera sur votre compte après demain. Pardon, lundi, le weekend c’est fermé »),invasif (l’ensemble de vos achats et les lieux où ils ont lieu,
les dates et les heures auquels ils sont réalisés sont tracées), coûteux (et moins on est riche, plus il coûteux), peu efficient (demandez aux entreprises comment se passe l’accès au crédit), injuste (tous les acteurs ne sont pas égaux devant les offres et les taux), féodal
Bon, vous êtes tous plongés dans une douce léthargie post-prandiale bourgeoise ça ne va pas du tout. Je vais donc vous réveiller en renversant une perspective. Ça va parler monnaie, dette, écriture, Assyriens, Babyloniens, antiquité classique, Lévitique, Seisachteia et nous.
Let's go.
95 % de la monnaie en circulation est de la dette. Ce n'est ni bon ni mauvais, c'est un fait : la monnaie représente dans 95 % des cas la matérialisation d'obligations morales quantifiées, dans 5% des liquidités pures.
L'histoire du monde est aussi une histoire de la dette, ou plus exactement de l'organisation des rapports entre créditeurs et débiteurs. Les créditeurs n'ont pas toujours coïncidé avec la classe dirigeante.