1/6 Un article se pose la question: combien faut-il exclure de personnes non-vaccinées pour éviter un seul test positif?
Apparemment, au moins 1000. Plutôt que de contester la méthode ou le fait de se poser poser la question, lisons plutôt la conclusion: medrxiv.org/content/10.110…
Apparemment, au moins 1000. Plutôt que de contester la méthode ou le fait de se poser poser la question, lisons plutôt la conclusion: medrxiv.org/content/10.110…
2/6 "Conclusion : Les vaccins sont bénéfiques, mais les NNE élevés suggèrent que l'exclusion des personnes non vaccinées présente des avantages négligeables pour la réduction des transmissions dans de nombreuses juridictions à travers le monde."
3/6 "Cela s'explique par le fait que les personnes non vaccinées ne courent probablement pas un risque important - en termes absolus - de transmettre le SRAS-CoV-2 à d'autres personnes dans la plupart des types d'environnements,..."
4/6 "...puisque les risques de transmission de base actuels sont négligeables. Il est urgent de prendre en compte les méfaits de l'exclusion, notamment les pénuries de personnel dues à la perte de travailleurs de la santé non vaccinés, le chômage/la non-employabilité,..."
5/6 "... les difficultés financières des personnes non vaccinées et la création d'une catégorie de citoyens qui ne sont pas autorisés à participer pleinement à de nombreux domaines de la société."
6/6 Le principe même de cette étude est insupportable, mais sa conclusion a au moins le mérite d'être logique. Quelles sont les chances que nos autorités politiques et sanitaires fassent preuve de la dite logique? Et pourquoi tout abstract commence-t-il par un éloge des vaccins?
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