Le malaise en Espagne où un ex commissaire, accusé de corruption, révèle au tribunal que ses services ont laissé commettre l’attentat de Barcelone en 2017, pour effrayer la population à la veille d’un référendum sur l’indépendance de la Catalogne.
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L’opposition réclame une enquête et des auditions, notamment celle du président Sanchez et de l’ex chef des renseignements espagnols (CNI) accusé par son ex collègue d’avoir laissé l’attentat se produire par calcul politique. elpais.com/espana/2022-01…
Il a déclaré au tribunal que le cerveau de l’ attentat qui a recruté et formé les complices qui l’ont commis et qui est mort la veille de l’attentat dans l’explosion de la maison où il fabriquait des explosifs, était en réalité un informateur des services secrets espagnols. 
«Un « imam » condamné pour trafic de drogue, accusé d’être le cerveau de cet attentat avait fourni des informations aux services secrets espagnols quand il était en prison en 2014, avait confirmé un responsable des services secrets espagnols. »nytimes.com/2017/11/17/wor…
Bref entre règlement de comptes d’un homme acculé par les accusations de corruption qui risque 100 ans de prison et la possible minimisation d’un attentat meurtrier à venir par calcul politique par les renseignements espagnols, l’Espagne veut connaître la vérité.
.@Publico avait enquêté pendant un an sur le pseudo « imam » de Ripoll et révélé qu’il était encore un indic des services de renseignements espagnols le jour de sa mort la veille de l’attentat . Résumé de l’enquête en français ici .
lindependant.fr/2019/07/22/esp…
lindependant.fr/2019/07/22/esp…
*correction c’est @publico_es et pas @Publico
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