(1/5) Des malades déchantent à la suite de la reconnaissance par le gouvernement Legault du lien entre le Parkinson et l'application des pesticides, l'an dernier ici.radio-canada.ca/nouvelle/17808….
Ils découvrent qu’ils n’auront pas droit à une indemnité.
(2/5) C’est le cas de Serge Boily. Après avoir épandu des pesticides pour la Ville de Québec durant les années 90, l'homme de 56 ans a développé la maladie de Parkinson. Il souffre de pertes de mémoire et d'équilibre, de difficultés à avaler, à se lever et même parfois à parler.
(3/5) Récemment, il a reçu une lettre de refus d’indemnisation de la part de la CNESST. Il répondait pourtant à tous les critères, sauf un : son diagnostic est survenu plus des 7 ans maximum requis après la fin de son travail avec les pesticides.
(4/5) D’autres motifs de refus excluent ceux qui ne cotisent pas à la CNESST et ils sont nombreux parmi les agriculteurs. Par ailleurs, les victimes déjà diagnostiquées avec le Parkinson ont jusqu’au 7 avril pour déposer leurs demandes, mais plusieurs ignorent cet ultimatum.
(5/5) Selon des experts dans le domaine, le Québec est en retard dans la recherche sur les impacts de l’usage intensif des pesticides sur la santé ici.radio-canada.ca/nouvelle/12709….
En France, l’Institut national de la santé et de la recherche médicale a déjà établi les liens suivants.
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