#Barumbu
Les bains de consolation post funérarium, on en parle? Nous avons perdu un vieux, coach de son état, sur Tshuapa-Kasai. Et nous revoilà. Des générations entières d'anciens du quartier, qui l'instant d'une journée, retrouvailles. Entre 2 gorgées, souvenirs d'enfance.
Les bains de consolation post funérarium, on en parle? Nous avons perdu un vieux, coach de son état, sur Tshuapa-Kasai. Et nous revoilà. Des générations entières d'anciens du quartier, qui l'instant d'une journée, retrouvailles. Entre 2 gorgées, souvenirs d'enfance.
2. Tokola esika moko. Les filles au Collège Saint des Filles. Et nous à Saint Paul des garçons. Titres grades, statuts oubliés. J'ai retrouvé des serunta. La vie est un mystère. "Mav, komonana boye bien makasi. Tu es de retour depuis qd à Kin? Une année déjà? Ozouluka mifa te? "
3. Les uniforme en pagne ou en tissu de chez les Libanais. Chacun avec des lunettes, aza kosala ya minene. "Mêla, kasi kolangwa te.". Les 3 mutualités prennent en charge la consommation. La, c'est Nathalie. Sa maman était une "shérif" soki amoni yo muana n'a ye. Rire général.
4. Y a un tribalisme ici. Pas du tout clanique mais générationnelle. Série 7 (biso wana). Série 8. Les série 9 aussi se pavanent. Thomson bakalingaki Thomson moko wana. Piment eza kopesa excitation gustative...
5. N'a matanga nde toza komona ba réalités ya vie. De courbes à géométrie variable. X a réussi. Y a patiné. Z, mawable vraiement. A chacun sa destinée. Mais ce que j'aime à #Barumbu, c'est cette fraternité au delà de statuts sociaux. Ici, je suis juste "Mav". Bazotinda ngai pe...
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