Dans celle-ci, la comparaison est faite avec des opérateurs américains ou indiens. Pour la rapporter au contexte français, j’ai divisé l’empreinte carbone d’un américain moyen par celle d’un français en utilisant les données d’@OurWorldInData : ourworldindata.org/grapher/consum…
Si tous les serveurs d'IA Nvidia livrés en 2024 tournaient en permanence, ils consommeraient moins de la moitié de l’électricité bas-carbone exportée par la France.
Freiner le déploiement de l’IA en 🇫🇷 est anti-patriotique, anti-social et anti-écologique.
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L'IA se déploie en 2 phases distinctes :
• L'entraînement initial des modèles, qui demande beaucoup de ressources. Mais qui n'a lieu qu'une seule fois.
• Et l'utilisation quotidienne, qui, elle, consomme très peu.
Un modèle très puissant avec 70 milliards de paramètres peut fonctionner sur un Mac Mini M4, consommant environ 21.5 watts - soit 1/4 de la consommation d'une ampoule à incandescence classique !
Correctif : le programme LIFE dispose d'un budget de 5,4 milliards sur la période 2021-2027, dont seule une partie est allouée aux ONG environnementales. ecologie.gouv.fr/programme-euro…
Ce petit poisson, pas plus grand grand qu’un doigt, à bloqué la construction d’un barrage américain pendant des années.
Alors qu’il n’existait pas. Enfin, pas vraiment.
Je vous raconte ⤵️
En 1967, la Tennessee Valley Authority entame la construction d’un barrage à Tellico.
Très vite, des écologistes, des avocats, des agriculteurs et certaines populations Cherokees s’y opposent, sans grand succès.
Jusqu’en 1973, quand David Etnier, opposant au barrage et zoologiste à l'Université du Tennessee, fait de la plongée avec des étudiants non loin de Tellico.
Là, il trouve au fond de la rivière un poisson qu’il prétend n'avoir jamais vu auparavant, et qu’il nomme "snail darter".