Thread by @jchernandezjazz

#pédocriminalité 02.08.2022 Kazakhstan - Un homme, récidiviste, a été castré chimiquement et condamné à 25 ans de prison de haute-sécurité après avoir violé sa belle-fille de 8 ans devant son frère de 5 ans . Les blessures étaient si graves que son utérus a du être retiré.

Le violeur, qui a été marié quatre fois, a soumis la fille à trois ans de maltraitance à partir de l'âge de cinq ans, a déclaré un tribunal du Kazakhstan.

Il avait menacé de la tuer si elle en parlait à sa mère.

Sa mère a témoigné devant le tribunal : « Ma fille m'a dit qu'elle avait des vertiges parce qu'elle était tombée dans un chantier d'immeuble. Je ne comprenais pas alors je l'ai soulevée et constaté qu'elle saignait du vagin. Puis le monstre s'est approché de moi, a avoué et

a demandé pardon. J'ai perdu connaissance à cause du choc. Quand je suis revenu à mes esprits, il y avait plusieurs couteaux devant moi et il m'a demandé de le tuer pour ce qu'il avait fait. Mais j'ai pris mon téléphone et appelé une ambulance.

L'enfant a été transportée d'urgence à l'hôpital où sa vie a été en danger pendant un mois. Son utérus a du être enlevé chirurgicalement en raison de lésions internes chroniques,

Malika Zhusupova, directrice du centre de crise de Komek, a déclaré que la police avait découvert

que le pédocriminel avait été marié quatre fois et avait abusé sexuellement d'une autre belle-fille de 3 ans lors de son 3ème mariage. Afin que la mère ne porte pas plainte, les proches du monstre lui avaient donné un montant de 500 000 Tenges ( 1040 Euros) .

Elle s'est tue mais a fini par briser le slience et témoigner contre son ex-mari lors de ce procès et déclaré qu'il méritait la peine de mort.

Le Kazakhstan publie désormais une carte des emplacements connus des pédocriminels condamnés « potentiellement dangereux » qui ont été libérés après avoir purgé des peines de prison.
La dernière carte pointe 348 délinquants, contre 156 il y a trois ans.

L'ex-État soviétique a de nouvelles lois sévères contre les hommes reconnus coupables d'infractions sexuelles sur des enfants.
En effet, la castration chimique est pratiquée par des injections régulières et se poursuit même après de longues peines de prison.

Une infirmière et grand-mère chargée de castrer les pédocriminels dans une prison kazakhe a affirmé que l'Occident devrait suivre l'exemple de son pays.
Zoya Manaenko,69 ans, insiste sur le fait qu'il est juste que les violeurs d'enfants soient confrontés à cette punition lourde

Ces personnes doivent être arrêtées d'une manière ou d'une autre', a déclaré Zoya, qui travaille dans un hôpital pénitentiaire.
« Ils commettent des crimes terribles contre les enfants. Il est donc normal que la loi le permette"

Des pédocriminels témoignent à la télévision et racontent leur angoisse après avoir subi une castration forcée.

La politique de tolérance-zéro du Kazakhstan contient aussi la publication de photos, noms et adresses de tous les agresseurs sexuels d'enfants après leur sortie de prison.

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