Perpignan, ville de 200 000 habitants, préfecture, (mini) nœud ferroviaire, à le dernier départ de train à 20:52.
Comment créer un rapport modal comme ça ?
Le train de nuit s'arrête 45 min à Narbone et rebrousser direction toulouse.
Un tgv fait le même trajet vers Toulouse.
Ne pourrait-on pas shunter Narbone et gagner presque 1h ?
Et les narbonais souhaitant le train de nuit au lieu de 4h de tgv, font une correspondance ?
(cette ligne, toujours aussi belle 😍)
Montauban. On souffle 1h30 d'attente (pour recomposer avec les tranches de Latour de Carol et Hendaye ?).
Clim coupée (pas de loco?), on crève de chaud, les gens attendent sur le quai, heureusement que #fensterauf.
Bref, dans un monde parallèle on aurait quitté Perpignan à 22h.
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La bulle pro-nucléaire française, ses réactions vis-à-vis de l’Energiewende allemande, mes sur-réactions excessives.
Un fil qui tente d’expliquer mon gros malaise avec de nombreux propos et des réactions « réflexes » problématiques.
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D’où je parle : informaticien, passionné des questions énergétiques (en 2007 on débattait déjà sur le cas janco), mais ce n’est pas mon métier.
Je suis allemand et je suis (de suivre, pas être) également la bulle allemande.
Et je me considère d’extrême gauche libertaire
Le point commun, c’est un consensus qu’il faut des actions urgentes et massives contre le changement climatique.
Entre choix techno, responsabilité passée, considérations sociales, action individuelle/collective, rôle de l’état, les débats d’opinion ne manquent pas
Dans un « débat » twitter (pas très constructif, car on n’a pas réussi à se comprendre de quoi on parlait réellement), j’ai voulu indiquer qu’une des raisons pour lesquelles je ne crois pas au nucléaire, c’est l’incapacité industrielle de le construire.
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Je pensais que c’était un argument connu et que les pro-nucléaires avaient des réponses bien rodées, mais non. Ça a tout de suite dérivé vers les habituels « si l’Allemagne avait fait ceci, elle aurait décarboné encore plus vite » « fukushima, 0 morts » etc.
Pour ne pas tirer sur l’ambulance, on ne parlera pas les 4 EPR en Europe, mais on regarde de l’autre côté du monde.
Voici les travaux finis sur une période de 3 ans.
Un retard de 100% est la norme, même en Chine qui a mis en service 47 des 95 réacteurs livrés du 21ème siècle