[À DÉROULER] Le ferroviaire, l'un des principaux consommateurs d'électricité du pays, voit sa facture d'énergie multipliée par cinq. Une augmentation du prix des billets semble donc inévitable... Sauf si l'État intervient. 
Va-t-il décréter un bouclier tarifaire pour le train, qui avale jusqu'à 2 % de l'électricité nationale? Une seconde option consisterait pour lui à agir sur la TVA. Car, et on le sait peu, il prélève une taxe de 10% sur les billets de train.
Autre solution, instaurer un modèle équivalent à celui de la «surcharge kérosène» appliquée dans l'aérien. À savoir, adapter temporairement le prix de certains billets à la hausse des prix du carburant.
À moins de procéder à un chantage comme Valérie Pécresse pour les transports d'Ile-de-France. La présidente de la région a, en substance, annoncé à l'État: «Si vous ne m'aidez pas, je fais un malheur: j'augmente les prix». Pour l'heure, sans effet.
Mais ce n'est pas le genre d'esbroufe qu'aime le patron de SNCF TGV Intercités, Alain Krakovitch...
Retrouvez l'article de notre journaliste @deletraz:
➡lefigaro.fr/voyages/crise-… #ALire
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