1/ le plus important actuellement, c’est que le complotisme est une étiquette commode pour désigner un ennemi et de soustraire à toute critique et toute responsabilité de la part de certains, y compris quand ils sont pris en
Flagrant délit de mensonge, ou de propagande éhontée. Le terme de « complotisme » est, de ce point de vue, une arme langagière participant de la propagande. C’est d’abord ainsi qu’il faut aborder le sujet dans le contexte actuel.
2/ néanmoins, on peut accorder
A ceux qui dénoncent le « complotisme » que la pensée critique pose parfois problème. En particulier :
- lorsque elle réduit une complexité systémique à une causalité simple. (« c’est la faute à Bill Gates »)
- lorsqu’elle exagère le poids d’une intentionnalité préétablie
(« C’est un plan machiavélique », « d’ailleurs on a retrouvé une citation de Bill Gates qui dit il y a 15 ans qu’il faut diminuer la population et que les vaccins peuvent y contribuer « )
Entendons nous bien.
L’hyper concentration du pouvoir en général, et notamment du pouvoir sur la santé, depuis 20 ans, dans les mains de quelques uns, la corruption systémique qui gangrène les institutions et les pouvoirs qui devraient être séparés, tout cela
Peut donner le sentiment qu’un petit nombre tire les ficelles. S’il est indispensable de mettre en lumière cette concentration, cette cartellisation mafieuse, il ne faut pas pour autant oublier qu’il s’agit d’un système complexe au sens institutionnel et social,
Compose d’une multiplicité d’acteurs, dans tous les pays, à toutes les échelles. La causalité du désastre covidiste reste distribuée, malgré un courant vertical et concentré puissant.
Les responsabilités ne sont pas celles que de Gates et compagnie, elles sont aussi
A l’ARS de votre région, parfois chez certains médecins, et les causes sont aussi dans les dégâts de la mauvaise formation des médecins et d’un système de santé gangrené par le neo management public (qui éloigne les médecins de la médecine), mais aussi dans la pauvreté
De l’instruction et de l’éducation des populations, en termes de connaissances comme de valeurs.
Ensuite il faut faire attention avec la notion d’intentionnalite. Tous les acteurs ont des stratégies. Il est banal que les stratégies soient en partie cachées. Dans un système hyper concentré, il est logique que les stratégies des acteurs les plus puissants,
Qui peuvent être cachées, pesent. Mais, cela ne veut pas dire, et c’est complémentaire du point précédent, que tout peut être attribué aux intentions et que la réalité n’est que le déroulé d’un plan. Il faut faire attention aux erreurs d’interprétation :
Une phrase de Bill Gates sur dépopulation / vaccin ne prouve pas que le désastre covidiste est le déroulé d’un plan, mais qu’en plus de sa nullité en matière de conception du vivant, Gates est sensible à des idéologies neo eugénistes.
Soyons donc prudents lorsqu’il s’agit de faire le bilan, et de manier les notions de causalité et d’intentionnalite.
En particulier : ne négligeons pas ce que l’on appelle la « dépendance au sentier » (impossibilité pour un acteur de revenir en arrière après des très mauvais choix, c’est ce qui se passe avec le Covid quand on voit le gouvernement, l’UE...), et les effets d’aubaine
Et d’opportunité (par exemple le pass vaccinal vu par certains politiques comme une aubaine pour accélérer d’autres transformations que dans la santé, en inaugurant un nouveau mode de gestion de la population)
N’oublions pas, tout en soulignant l’hyper concentration du pouvoir et en étudiant les stratégies des puissants criminels, que le réel reste un système
Complexe distribué et que le facteur temps importe.
Cela permettra de couper l’herbe sous le pied aux accusations de « complotisme » qui, si elles sont une arme de propagande de mauvaise foi, peuvent parfois s’appuyer sur des éléments épars, crédibles.
Il convient d’être encore plus vigilant de ces points en 2022 qu’en 2023, puisque nous voyons que la « crise » a pris une dimension encore plus systémique avec les aspects militaires énergétiques et financiers, au delà du Covid.
COVID - LE TOP DES EXPERTS
Épisode 1 : Michel CUCCHI
Dans cet exposé extrêmement didactique et précis, Michel CUCCHI explique l’un des biais majeurs de l’arnaque du faux vaccin anti Covid : le biais de présentation.
Il soulignait la corruption au niveau de l’OMS, les conflits d’intérêt en France. Et posait la question de manière très appuyée pour jean François DELFRAISSY, et Bruno LINA.
Il insistait sur la fausseté des modèles épidémiologiques de prévision. Et l’instrumentation de ces derniers par les politiques et les médias pour amplifier le phénomène épidémique et faire peur.
Il insistait sur l’inefficacité des comités scientifiques ad hoc, leurs liens opaques avec le politique, leur manque d’interdisciplinarité et de représentation de la diversité de la recherche dans son ensemble.
POLÉMIQUE COMIQUE SUR L’EFFICACITÉ CONCERNANT LA « TRANSMISSION »
1/ pfizer n’a pas testé ce endpoint dans son essai clinique
Ceci était connu de tous. Répète toute l’année 2021 par l’EMA dans ses documents de présentation du produit.
2/ comme le montre le document ci dessous, si les propagandistes du gouvernement et des médias ainsi que les médecins de plateau se sont appuyés sur des « études
En vie réelle » courant 2021, qui étaient censées apporter la preuve irréfutable 😂 que les inocules ne transmettaient pas le virus... et pourtant ce n’était pas l’avis du ministre VERAN lorsqu’il a écrit en mars 2021 au conseil d’état :
AGNÈS BUZYN, ancienne ministre de la santé de MACRON, mariée a YVES LÉVY, ancien président de l’INSERM, s’en prend violemment aux experts de plateau télé dont ceux du conseil scientifique.
Les raisons du push, les resultats catastrophiques, différents aspects techniques, le développement d’autres produits ARN qui continue, dans des conditions déplorables de tests notamment la partie clinique, et bien sûr les opportunités politiques que cela crée (identité numérique
Et la façon dont la FDA, corrompue comme le CDC, s’est comportée :