@CaronAymericoff Et si on parlait des violences sur les personnes folles enfermées entre 4 murs, et, où, leur seul moyen de s'échapper est soit de rester à moitié mortE pendant quelques années mais en étant bien docile, soit violenter pour aller en prison ou un autre hôpital psy?
Il y a une chose formidable chez beaucoup de verts, d'ecologistes *non-radicaux* pour la plupart, c'est que, dès que ce sont des animaux non-humains enfermées qui violentent leurs éleveurs violents, c'est normal, il se défend de son enfermement (à raison) mais dès que ce sont...
...des humainEs, c'est la faute seulement de la manière dont vivent les humainEs dans les prisons/hôpitaux psys. Non @CaronAymericoff que tu mettes une prison ou un hôpital psy avec une petite fleur sur le balcon, ça reste l'enfermement d'un être humain. La souffrance est là...
La mort est là. La violence des institutions psychiatriques n'est pas à défendre, elle est à abolir, nettement et fondamentalement.
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Avant de commencer, je veux juste dire que je me positionne dans un féminisme queer anarchiste, pour plus de détails : theanarchistlibrary.org/library/c-b-da…
Marguerite nous dit : « Les oppressions que les femmes subissent sont basées sur le sexe », et en prenant par la suite l’exemple de « On parle de pénis, on parle de vagin ».
Le sexe gonophorique externe, on parle de pénis (oui) mais pas de vagin, mais bien de vulve.
Bon, là on a affaire à un cas.
Du coup on va faire un petit « débunk » de cette TERF et, après ça, la défense d'une thèse liée à la fois aux sciences sociales et aux sciences cognitives sur le genre. ⬇️
Avant tout, je voudrais mettre les liens qui terminent les exemples émis ci-dessous pour confirmer la bassesse intellectuelle de notre chère Marguerite Stern.
Le cas Lia Thomas : Nathan Saeger. 2022. "Staying In her Own Lane: Critiquing the Rhetoric Surrounding the Lia Thomas Controversy" Communications Capstone.
La rhétorique objectiviste de la science contre les personnes trans dans le sport : xymedia.fr/comment-la-rec…
En réalité. Comme tu dis, la réalité. Il y a des personnes concernées (par exemple) qui en font même leur thèse, qui vulgarisent leurs connaissances etc... Qui ne sont pas aussi arrogants, méprisants. Donc oui, on ne parle pas en ton nom ça...
c'est sûr. Bon on va passer tous les procès comme "on les utilise non pas pour la protection de ces personnes mais pour chouiner" c'est clairement pathétique. Chais pas. Il y a tout un blog par exemple sur les personnes qui vivent ce genre d'atrocites et qui combattent, on...
Bon. Je vois une énergumène qui essaye, un temps soit peu, d'utiliser ce type d'arguments "en tant que personne concernée". Or, ce type d'arguments, quand il s'agit de perpétrer et de faire accepter le stigmate du fou. Ça me fait chier. Alors défile ma poule. ⬇️
Premièrement, je m'en *fous* de ce qu'il a (en tout cas maintenant). Qu'il ait reçu longuement la psychophobie ? Qu'il ait des troubles post-traumas ? Non. En fait, ce qui m'importe c'est la suite, pourquoi utilise-t-il comme prémisse d'être concerné ?