Moins à cause de leur mécanisme (arn / transfection / synthèse protéique), qu’à cause du fait qu’il n’y a pas de preuve de leur capacité à produire une immunité effective.
Pour qui ? Combien ? Sur quel endpoint ? Combien de temps?
Autant de questions auxquelles
Les essais cliniques (toujours en cours) n’ont jamais répondu, et auxquelles les études en vie réelle n’ont pas répondu non plus.
3/ la critique des DÉRIVES RÉCENTES (15-20 ans) de l’industrie pharmaceutique et du système de gestion de la santé, sur le dossier vaccins :
- l’industrie pharma est en panne. Elle a connu de grands succès avec les traitements au 20e siècle, mais n’innove plus. Les vaccins apparaissent comme une possibilité de gagner de l’argent.
- les vaccins sont potentiellement une poule aux œufs d’or par rapport aux traitements car ils sont susceptibles d’être administrés à des personnes saines.
- la recherche vaccinale peut aussi intéresser les militaires car ces derniers n’ont pas le droit de faire de la recherche sur les armes biologiques : le prétexte de recherche santé - vaccin peut être une possibilité pour en faire quand même.
- les philanthrocapitalistes à commencer par Bill Gates ont pris le pouvoir sur la santé publique mondiale. Gates a une vision du vivant complément aberrante (« informatique »), il est venu à la santé après que ses activités informatiques aient été empêchées par la
Justice américaine (monopole). Il veut la vaccination de masse pour s’enrichir grâce à la propriété intellectuelle. Les questions de santé publique en tant que telles ne sont pas son problème.
L’efficacité des vaccins qu’ils promeut n’est pas son problème : son problème est de vendre en masse, quel que soit le produit la maladie etc.
- dans ce contexte l’arn messager qui est une biotechnologie cellulaire est bienvenue tant pour les industriels que pour les militaires car sa production est facile et rapide ce qui permet des économies de coût de déploiement. Logique qu’ils aient eu l’idée de s’en
Servir pour « faire du vaccin »
- dans ce contexte et sur fonds de corruption des grandes revues médicales, des agences de régulation, des media, des sociétés savantes de médecine, deux choses sont à remarquer :
— ils envisagent de faire des vaccins pour absolument n’importe quel sujet de santé, sans réfléchir au besoin en termes de santé publique, ni au succès envisageable (qui dépend de la morbi mortalité, de l’agent pathogène…)
— ils le font dans des conditions de conception et évaluation déplorable sur tous les plans : toxicité et pré clinique, essais cliniques, plan de gestion de risques et pharmacovigilance.
Ainsi l’efficacité n’est pas évaluée car pour que cela soit possible il est
Nécessaire dans le cas d’un candidat vaccin de maintenir un essai clinique avec groupe contrôle sur un temps relativement long, permettant d’avoir du recul et d’évaluer l’immunité effective associée au produit.
Quant à la sécurité à partir du moment où les étapes
Concernant la qualité des produits, la toxicité en pré clinique, et la pharmacovigilance post AMM sont bâclées, aucune garantie.
Le complexe militaro-pharma et les organes corrompus en médecine, autorités de régulation et sanitaire, science et média, aidés par les pitoyables cabinet de conseil Mac kinsey etc et les organes CEPI et GAVI, envisagent de mettre en place un système
Où les produits seront mis sur le marché sans aucune preuve d’efficacité ni garantie de sécurité. Des produits expérimentaux systématiquement avec une évaluation « en vie réelle » uniquement… et l’on sait à quel point ces évaluations là sont faciles à biaiser ou
Masquer si leurs résultats ne plaisent pas.
On assiste donc à un détournement complet de l’outil « vaccin ». Celui ci n’est plus un outil de santé au sens où il serait articulé à la science, à la médecine, aux enjeux et besoins de santé, et se déploierait de manière éthique et secure.
C’est un outil de business et de guerre, point. Qui peut plaire à des politiques abrutis fascinés par le contrôle social et la bio politique (notamment s’il s’articule aux systèmes de pass / identités numériques qui leur serviront ailleurs qu’en « santé »)
Ceci est dangereux pour la santé des populations car s’injecter des produits non correctement évalués du point de vue sécurité peut être dangereux ; et la répétition d’injections à longueur d’années pour tout et n’importe quoi peut poser en tant que tel
Des problèmes.
En conclusion, il convient d’être vigilant dans les années qui viennent et cela vaut particulièrement pour les médecins très mal formés en vaccino-immuno, en évaluation dû médicaments et en sciences sociales (ici très utiles)
Ils sont en train de détruire le vaccin comme outil de santé individuel et public, de détourner complètement l’outil vaccin de sa fonction.
Les nofakemed, scientifiques corrompus et pseudo experts du conseil scientifiques, ainsi que nombre de faux journalistes ignares, critiquent l’IHU au nom du fait que celui ci serait dirigé par RAOULT qui est un « mandarin ».
Il n’y a pas de doute quant au fait que RAOULT appartienne à l’ancienne génération des patrons de recherche et de services hospitaliers.
Les travers reprochés, parfois à juste titre, aux « mandarins » sont les suivants :
- en management : autoritarisme et verticalité
- en recherche : biais de confirmation, non-écoute des critiques, absence de remise en cause, manque d’ouverture inter-disciplinaire
Quels que soient les résultats électoraux ici et la, il est plus que difficile de considérer comme légitimes des dirigeants qui depuis la fin de la « première vague » :
- n’ont pas mis en place un parcours de soin avec dépistage précoce, traitement précoce et surveillance de l’évolution clinique des plus fragiles infectés ;
- ont remis en place des confinements ;
- ont imposé des masques en population générale ;
- n’ont pas imposé un calibrage des tests PCR ;
@Cdenquete et @France2tv sont affligeants. Ils ne comprennent rien sur le fond, ou peut être que si mais le font exprès ? Ils prétendent que RAOULT a des « lieutenants » sur les réseaux sociaux.
Alors sur les réseaux sociaux il s’agit simplement pour beaucoup, et gratuitement et sans lien avec l’Ihu, de simplement défendre l’articulation de la santé avec la médecine, l’éthique et la science.
De défendre les bonnes pratiques en matière de recherche biomédicale et en matière de soins et de défense biologique.