Témoignage d'un médecin suspendu, que je ne peux nommer, par crainte de représailles.
"On (les médecins suspendus ) est pistés, surveillés par l'ARS, la sécu, le Conseil de l'Ordre, les pharmaciens et depuis peu par les labos. Les flics débarquent chez nous. ⬇️
On est interrogés. On est dénoncés. On est surveillés. Certains d'entre nous donnent encore des consultations en cachette. Les médocs qui fonctionnent ne sont pas délivrés en France. On indique aux patients des sites web où trouver l'iver-mec-tine, l'hy-dro-xy-chl-oro-qui-ne.⬇️
On est littéralement des parias. Certains ont peur ! C'est surréaliste. Comment survivre ?
On aide personnes qui ont des effets suite à l'injection. D'autres on eut le co-vid et ont des suites. On est là pour aider. Et on a des résultats ! Entre médecins on échange ⬇️
nos constats. On sait maintenant ce qui aide et guéri ! Il est interdit d'en parler ouvertement sous peine de passer pour un complotiste. La médecine est réduite à ça : injecteur de vaccin ou soignant. Ceux qui injectent s'en lavent les mains. Ceux qui soignent ont affaire à ⬇️
ceux qui ont été injectés par nos pairs.
Vivre caché. Exercer caché. Sauver des vies, caché. Car oui, nous sauvons des vies. C'est bien ce pour quoi jai choisi d'être médecin : soigner/sauver. Et plus que jamais nous autres, qui avons refusé l'injection, ⬇️
nous nous sentons utiles, alors même que nous sommes éjectés par le système.
Beaucoup de confrères souffrent psychologiquement. Je ne peux que conseiller à tous les médecins résistants de ne pas rester isolés. Retrouvez-des collègues qui sont dans la même situation⬇️
et soutenez-vous mutuellement."■
"Nous sommes en guerre ".
Est-ce que les mots n'ont plus de sens ?
Il l'a dit. Répété. On y est. C'est vérifiable, visible, avéré. Savez-vous voir ?
Choisissez votre camp.