[À DÉROULER] Entre TF1 et Cyril Hanouna, une guerre qui dure depuis près de dix ans.
Le présentateur de C8 a ouvertement égratigné «Le Late avec Alain Chabat», la nouvelle production de la Une diffusée le lundi en soirée. La première chaîne réfléchit à une suite judiciaire.
«Audience catastrophique», «accident industriel de l’année», une émission à «500.000 euros» l’unité … Cyril Hanouna n’a pas mâché ses mots au moment d’évoquer les performances du «Late». Loin d’être du goût du groupe TF1, cette diatribe a été démentie et dénoncée.
Yann Barthès, tour TF1, Karine Ferri, Arthur, Ara Aprikian… tous ces emblèmes de la chaîne ont en commun l’animosité caractérisée de l’animateur, qui n’hésite pas à injurier ad hominem les dirigeants de la Une, comme un soir d’automne 2018 : «vous êtes cons comme la lune».
Pour en savoir plus sur la stratégie du mépris utilisée par le personnage le plus influent du paysage audiovisuel français, lisez le récit de notre journaliste @carolinesalle ➡ lefigaro.fr/medias/entre-t…#ÀLire
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Un récent sondage effectué auprès d’un échantillon représentatif de 2000 adultes nous éclaire sur le portrait-robot du citoyen doutant du dérèglement climatique et remettant en cause les rapports du Giec.
Au total, les données extraites permettent d’établir que 7,1% des Français rejettent totalement le réchauffement du globe. Si cette proportion paraît faible à première vue, un tiers des personnes sollicitées imputent autant ce dérèglement à l’homme qu’à des phénomènes naturels.
Cette minimisation de la responsabilité humaine, alimentée par certains scientifiques, reste aujourd’hui très marginale dans l’espace médiatique. Mais la communauté a trouvé de nouveaux relais sur les réseaux sociaux, en ayant notamment recours à des robots sur Twitter.
[À DÉROULER] Menacé de peine de mort après sa conversion, le combat d'un couple chrétien iranien pour obtenir le droit d'asile en France
Renier l'islam est un crime d'apostasie en Iran, mais le couple s'est vu refuser quatre demandes d'asile en France.
Ata Fathimaharloei, 36 ans, et son épouse Somayeh Hajifoghaha, 37 ans, ont fui l'Iran après la découverte par les autorités qu'Ata fréquentait une église chrétienne.
Puisque Ata n'a pas exprimé «ses remords et sa repentance» après sa conversion, il est considéré par la République islamique d'Iran comme un «apostat». Son contrat de mariage musulman est considéré nul et sa femme Somayeh, coupable adultère.
Innovation: le médecin général Edouard Halbert nous parle d'un «biocapteur», qui permet d'améliorer à distance «le suivi des patients». @BigBangFigaro
@BigBangFigaro Désert médical: «on ne peut pas passer par l’obligation, la coercition ou la régulation», déclare la ministre déléguée de la santé @agnesfirmin. @BigBangFigaro
Cancer du sein: «l’intelligence artificielle déferle» et permet une meilleure prévention selon Anne Vincent-Salomon, cheffe du pôle de médecine diagnostique et théranostique de l'Institut Curie, invitée du #BigBangSante.
Cancer du sein: les avancées permettent l'ajustement des «traitements pour diminuer les effets secondaires», note Anne Vincent-Salomon. @BigBangFigaro
@BigBangFigaro «L’immunothérapie n’en est qu’à son début», dans la lutte contre le cancer d’après Jérôme Galon, directeur de recherche de l’INSERM.
[À DÉROULER] Alors que la principale suspecte du meurtre de la petite Lola était sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire français (OQTF), plusieurs autres crimes récents ont impliqué des individus connaissant le même statut.
En 2021, un prêtre catholique - le père Olivier Maire -, était tué en Vendée par un Rwandais de 40 ans qui lui assénait de violents coups à la tête.
Le suspect, Emmanuel Abayisenga, avait été visé par trois arrêtés de reconduite à la frontière depuis son arrivée, illégale, en France en 2012. Un an avant le meurtre, en juillet 2020, il avait été arrêté après avoir incendié la cathédrale de Nantes.
[À DÉROULER] Le ferroviaire, l'un des principaux consommateurs d'électricité du pays, voit sa facture d'énergie multipliée par cinq. Une augmentation du prix des billets semble donc inévitable... Sauf si l'État intervient.
Va-t-il décréter un bouclier tarifaire pour le train, qui avale jusqu'à 2 % de l'électricité nationale? Une seconde option consisterait pour lui à agir sur la TVA. Car, et on le sait peu, il prélève une taxe de 10% sur les billets de train.
Autre solution, instaurer un modèle équivalent à celui de la «surcharge kérosène» appliquée dans l'aérien. À savoir, adapter temporairement le prix de certains billets à la hausse des prix du carburant.