đ§”#Bolivie | Ă Santa Cruz, lâextrĂȘme droite tente de garder le pouvoir aprĂšs l'arrestation de son leader et gouverneur de la rĂ©gion, Fernando Camacho, pour le putsch de 2019.
Sur son chemin se dressent des mouvements sociaux prĂȘts Ă dĂ©fendre la dĂ©mocratie kawsachunnews.com/a-closer-look-âŠ
Sur son chemin se dressent des mouvements sociaux prĂȘts Ă dĂ©fendre la dĂ©mocratie kawsachunnews.com/a-closer-look-âŠ
La haute bourgeoisie bolivienne fomente un nouveau coups dâĂtat, corrompt les FDO et finance des milices para-militaires dâextrĂȘme droite qui volent, violentent et intimident la classe populaire et incendient des siĂšges syndicaux et des bĂątiments publics. morningstaronline.co.uk/article/f/new-âŠ
Ă Santa Cruz, Camacho appelle au blocus de la ville depuis sa prison.
Ses miliciens reçoivent un salaire, des boissons alcoolisées et des amphétamines pour les encourager à perpétré des viols, des vols et des violences. Ils bloquent certaines rues et extorquent les passants.
Ses miliciens reçoivent un salaire, des boissons alcoolisées et des amphétamines pour les encourager à perpétré des viols, des vols et des violences. Ils bloquent certaines rues et extorquent les passants.
https://twitter.com/clemnaturel/status/1608527788939825152
Santa Cruz demeurent bloquĂ©e. PlutĂŽt que de lever les blocus par la force, le peuple de Santa Cruz sâest organisĂ© pour les encercler sans armes et a lancĂ© un appel Ă tout le pays pour leur venir en aide. Des milliers de personnes ont affluĂ© en renfort lavoz.com.ar/mundo/bloqueosâŠ
En rĂ©ponse, les milices dâextrĂȘme droite se sont rendues dans les quartiers populaires de Santa Cruz et dans les villes alentours dâoĂč ont affluĂ© les renforts pour terroriser la population.
Les Ayoreos, un peuple autochtone qui survit dans les forĂȘts de la rĂ©gion de Santa Cruz rasĂ©e par lâagro-industrie, ont reçu la visite de Daniel VelĂĄsquez, un sous-gouverneur nommĂ© par Camacho, qui les a menacĂ© un fouet Ă la main pendant que ses miliciens brĂ»laient leurs maisons.
Le maire de la ville, Jhonny FernĂĄndez (de droite), et ses proches ont Ă©tĂ© agressĂ© dans leur maison pour avoir rĂ©vĂ©lĂ© les pratiques de corruption de politiciens de droite et dâextrĂȘme droite liĂ©s Ă Camacho. Le pronostic vital de sa fille est engagĂ©.
Bien que le peuple bolivien est numĂ©riquement beaucoup plus nombreux que les partisans dâextrĂȘme droite, ces derniers bĂ©nĂ©ficient de finances illimitĂ©es et dâarmes puissantes, et leurs crimes restent largement impunis Ă cause dâun systĂšme judiciaire dĂ©faillant.
En réponse, le mouvement social se fédÚre et agrÚge notamment les Ponchos Rojos - une garde autochtone sympathisante du parti au pouvoir, le MAS - les jeunes de La Paz et El Alto, des syndicats comme celui des taxis, ou encore les associations de femmes autochtones et paysannes.
La population a demandĂ© au gouvernement central dâenvoyer lâArmĂ©e mais le prĂ©sident socialiste Luis Arce refuse, craignant une escalade de la violence et un nouveau coup dâĂtat, et laisse donc le peuple en premiĂšre ligne.
Luis Arce fait face Ă une dĂ©fiance au sein de son parti, le MAS (Mouvement vers le socialisme), par une mouvance proche de l'ancien chef de l'Ătat Ăco Morales, sur fond de lutte pour le contrĂŽle du pouvoir lĂ©gislatif et dâaccusation de corruption. infobae.com/america/americâŠ
En Bolivie, au PĂ©rou, au BrĂ©sil et en Colombie, 4 pays gouvernĂ©s par la gauche socialiste, lâextrĂȘme droite se renforce avec lâaide financiĂšre des Ă©lites bourgeoises et appelle rĂ©guliĂšrement au coup dâEtat. amp.dw.com/es/brasil-perĂșâŠ
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