Dans de nombreux ouvrages et références scolaires on évoque depuis des années le « circuit du plaisir » ou « de la récompense » et la dopamine comme neurotransmetteur impliqué dans ce circuit. Kent Berridge présente une distinction qui affine cette explication classique.
Pour lui ce circuit ne déclenche pas vraiment le plaisir, mais la compulsion à rechercher ce qui a activé ce circuit. Il nomme wanting cette pulsion très archaïque. Il présente des résultats montrant que les zones du plaisir (liking) sont distinctes et plus subtiles
Dans les explications classiques, on présente une zone particulière du cerveau, où les drogues conduisent d’une manière ou d’une autre à un surcroit de dopamine qui produirait plus de plaisir et inciterait ainsi le consommateur à reprendre de la substance.
Cette explication classique, repose sur la découverte il y a plus de 50 ans de ce circuit « du plaisir » ou « de la récompense » que certaines substances activent, et qui est au cœur de l’addiction.
Ce circuit implique des neurones à dopamine reliant l’ATV (aire tegmentale ventrale) et le NA (noyau accumbens) et produit la sensation qu’on a qualifiée de « plaisir » ou récompense .
Dans une interview à la BBC, Kent Berridge présente une distinction qui affine cette explication classique.
Il explique que de nombreuses études ont montré que ce circuit dans lequel des neurones à dopamine interviennent ne déclenche pas vraiment le plaisir,
mais la compulsion à rechercher ce qui a activé ce circuit. Il nomme wanting cette pulsion très archaïque. Et que les zones du plaisir (liking) sont distinctes et plus subtiles (Cf figure 1).
Fig 1: Les zones du Wanting (ex circuit du plaisir) en gris sombre sont distinctes de celles du Liking en blanc. A droite : l’addiction repose sur le wanting pas le liking [img]. Source : Berridge & Robinson (2016).
Un extrait (traduit) pour vous donner envie de lire plus:
Fig 3: le codage Hedonique (liking) dans le cortex orbitofrontal humain (OFC) [img]. Source :Berridge, K. C., & Kringelbach, M. L.
Comment expliquer que ce système du wanting si puissant, mais qui produit des dégâts considérables en cas de dérèglements (notamment par l’addiction) s’est-il maintenu a travers l’évolution, alors que les systèmes du plaisir (liking, hédoniques) sont si légers et subtils:
Quelques implications pour l’enseignement
Comprendre qu’un élève qui se débat dans une addiction ne cherche pas le plaisir mais est soumis à ce puissant système du wanting pourrait changer la manière dont on l’aide surtout si on a reçu une éducation très morale envers le plaisir
(…l’ombre de Calvin rode encore à Genève et les valeurs judéo-chrétiennes dans l’éducation ?).
Vu la puissance de ce circuit du wanting , on pourrait explorer ses possibles implications pédagogiques et notamment ses effets pour orienter la motivation à apprendre des élèves.
Plutôt que tenter de motiver les élèves par la peur des mauvaises notes, peu efficace pourrait-on chercher à activer ce circuit de la récompense ?
Est-ce que les faire utiliser les connaissances acquises pour résoudre avec succès des problèmes difficiles, pourrait les inciter à utiliser à nouveau ces acquis scolaires pour expliquer et prédire le monde ?
Cela rejoindrait les conclusions de recherches sur la manière dont les élèves utilisent les modèles explicatifs en sciences, et comment les inciter à utiliser les explications apprises à l’école de manière durable (Potvin, 2019 , Potvin et al., 2015 ici).
N'idealisez pas ce que vous n'avez pas encore vécu, parce que vous voyez les autres "heureux" si ce n'était pas ta vision et que tu as changé par la suite pardonne toi.
Mais ne sois pas trop dur avec toi-même, un homme bien ça veut rien dire et une relation à entretenir encore +
SAVEZ-VOUS POURQUOI VOUS ÊTES PARFOIS VIDÉ D'ÉNERGIE?
Si vous croyez que c'est à cause des gens qui vous entourent, des situations que vous vivez ou de votre travail, il vous sera difficile de changer quoi que ce soit à ce sujet.
Pour réapprendre à conserver votre énergie, vous devez prendre vos responsabilités en acceptant que vous seul créez ce qui vous arrive et en assumant les conséquences de tous vos choix.
Supposons qu'un collègue de travail ou que quelqu’un dans votre entourage vous énerve et vous dérange régulièrement parce qu'il cherche sans cesse à se montrer supérieur à vous.
Les jours où il vous dérange davantage, vous vous plaignez que vous vous sentez vidé d'énergie.
Si vous avez souvent été frustré en amour, peut-être en êtes-vous arrivé à la conclusion qu’en fait, aimer, cela fait bien trop mal, et qu’on ne mérite pas de souffrir à ce point.
L’amour peut nous procurer un grand bonheur, mais si on ne sait pas le gérer et si on n’est pas avec la bonne personne, alors on court le risque de souffrir énormément.
Infidélité, dépendance, jalousie…tout autant de choses qui peuvent nous faire souffrir en amour.
Peut-être en attend-t-on trop de la part de la personne que l’on aime ? Pourquoi ce bonheur se transforme tout à coup en souffrance ?
Aujourd’hui, je veux pouvoir choisir d’aimer sans souffrir, mais comment y parvenir ?
Les adeptes du paranormal le prétendent…et voici que des études le confirment : l'homme possède la faculté de percevoir les forces magnétiques.
Mais contrairement à d'autres espèces, nous aurions perdu l'usage de cet étrange sixième sens.
Certains diront qu’ils l’ont toujours su, d’autres auront du mal à y croire… Mais le temps n’est plus aux a priori.
Car aujourd’hui, les faits sont là : sans même en être conscients, nous serions capables de ressentir les champs magnétiques ! Alors que l’idée de l’influence de ces champs sur le vivant a longtemps été réservée aux sourciers, magnétiseurs et autres adeptes de pseudo-sciences,
2. Essayez la conscience somatique
La conscience somatique est une façon de vous ancrer dans le moment présent en vous concentrant sur vos sensations corporelles. Ceci est complémentaire au point précédent de non-attachement et de non-résistance.
La pleine conscience somatique est extrêmement efficace car elle ne nécessite rien d’autre que votre capacité à ressentir les sensations. Les différents types d’attention somatique impliquent de se concentrer sur votre respiration (l’approfondissement),
les clignements des yeux, les pieds sur terre et la température de votre corps.
3. Courez, criez, pleurez, exprimez-vous
La catharsis est essentielle pour n’importe quel empathe.