Santé publique France publie son bulletin épidémio, ça va bien en France: 13,3 % des 18-75 ans ont connu un épisode dépressif en 2021. +36 % par rapport à 2017. +80% chez les 18-24. #SantéMentale
"Les 18-24 ans, les femmes, les personnes vivant seules et les familles monoparentales, celles qui ne se déclaraient pas à l’aise financièrement, au chômage ou indiquant que la Covid-19 avait eu un impact négatif sur leur moral avaient un risque d'épisode dépressif plus élevé."
Sans surprise, les femmes aussi + touchées, quel que soit l'âge. On prend soin de soi les ami·es, et surtout, on en parle et on n'hésite pas à consulter en cas de besoin. Voir un psy ne doit jamais être une honte.
Conclusion "La prévalence des épisodes dépressifs a augmenté. La tendance amorcée depuis 2010 a connu une accélération sans précédent sur 2017-2021, en particulier chez les jeunes adultes....
... Le stress causé par la Covid-19 et les restrictions imposées pour la contrôler apparaît comme l’une des principales hypothèses explicatives de cette hausse."
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On lit tout (et souvent n'importe quoi) sur le #chemsex en ce moment, et ça commence à devenir énervant. Donc on fait le point, garanti sans #Palmade, parce que ce n'est pas la question. Le chemsex pour les nuls ⤵️
Le chemsex n'est pas une drogue. C'est un comportement. Sa définition : "la prise de substances psychoactives dans le but d'initier, faciliter, prolonger et intensifier les rapports sexuels".
Ce n'est pas "juste" faire du sexe sous substances (ça, vous le faites quand vous rentrez du bar avec votre date, ça ne fait pas de vous un chemsexeur).