« The triggers are the guides! ». On pourrait le traduire ainsi : ce qui te déclenche est ton meilleur guide.
Si l’écriture n’est pas ta tasse de thé, utilise la parole.
Si la thérapie n’est pas possible, tu as peut-être une personne précieuse dans ta vie qui te permet de parler avec vulnérabilité et qui est prête à t'accueillir sans jugement?
Et inversement. Si possible, créez-vous, toi et elle, des sessions de thérapie maison ensemble où seules deux règles existent : être honnête et ne pas juger.
C’est extrêmement puissant de se sentir soutenue inconditionnellement ainsi par d’autres humains.
Et sinon, ne néglige jamais le pouvoir de ta propre voix. Parle-toi! Fais-le dans ta tête si ça te gêne. Comme si tu écrivais dans un journal, mais à la place, en dialoguant avec toi-même.
Plusieurs chemins pour se reconnecter à nos émotions
Il existe aussi d’autres façons de pratiquer le shadow work. Notamment avec l’hypnose et les méditations qui permettent d’accéder au subconscient, d’aller voir plus loin.
Le corps est aussi un guide incroyable quand on prend le temps de s’y reconnecteret de suivre les inconforts et tensions qu’il nous montre (pour ça, tu peux utiliser des méditations somatiques).
Le shaking (une technique où on bouge le corps intensément en « shakant » toutes les parties) peut aussi aider. Notre corps garde enfouies des tonnes d’émotions et blessures refoulées.
Le mouvement peut aider à les libérer : et c'est totalement normal d’éclater en sanglots sans comprendre pourquoi après quelques minutes!
Tant que tu le fais dans un espace où tu te sens en sécurité.
Finalement, le shadow work, c’est arrêter d’ignorer nos bobos. C’est pourquoi ce travail sur toi peut être vraiment désagréable par moment, mais il est tellement nécessaire pour évoluer.
Le shadow work nous permet de nous libérer de beaucoup de blessures, d’idées préconçues, de patterns, d’étiquettes qui nous ont été imposés (et qu’on continue d’accepter).
On est dans la pire époque de l'amour, les gens sont plus des égos dans une relation il manque d'amour de soi mais veulent se mettre en relation avec quelqu'un juste pour combler leurs vides.
Au final c'est plus de la stimulation qu'ils auront car l'amour c'est déjà par soi-même qu'il faut le créer, c'est un état de conscience ou t'es en paix et équilibre avec toi-même.
Ou tu es ta propre lumière mais malheureusement, tout le monde subit les démons des autres et la seule chose que les gens se sont résignés à accepter réellement c'est le sexe mais pas de développer une relation ou ils aimeront quelqu'un réellement.
Nous sommes des êtres vivants et nous avons conscience d’exister. L’un des aspects de la conscience, que nous sommes et dont nous disposons, nous permet de faire ce que nous voulons de ce que nous sommes dans ce monde physique.
Cette liberté de choisir est ce que l’on appelle le Libre Arbitre. Ainsi, nous pouvons faire des choix, des bons comme des mauvais, décider d’écouter notre instinct, prendre des décisions, passer à l’action ou non, changer d’avis, nous tromper et recommencer.
Envers et contre tout, nous avons le pouvoir d’être la personne que nous désirons être.
L’élément qui nous permet de naviguer dans notre vie quotidienne de la manière la plus saine pour soi est la conscience que nous avons de nos valeurs,
Nous avons tous des émotions. Que nous le sachions ou non, que nous les exprimions ou non.
L’émotion est une réaction physiologique, déclenchée par un stimuli extérieur. Il existe 6 émotions dîtes "primaires" : la joie, la colère, la peur, la tristesse, la surprise et le dégout
Une émotion affecte notre être à différents niveaux, les principaux étant : physique et énergétique.
Au niveau physique, lorsque nous percevons une situation extérieure et que notre système entre en réaction, une réaction chimique se produit dans notre cerveau
et déclenche la production d’hormones (de stress, de bonheur, etc.) via les glandes endocrines ou des neurotransmetteurs, et qui sont ensuite diffusées dans tout le corps.
Chaque émotion, agréable ou désagréable, modifie l’équilibre de notre système hormonal.
Dès que les choses ne se passent pas comme prévu, l'ego panique et devient beaucoup trop présent. Acceptez cette partie de vous, qui est là pour vous protéger et vous aider.
Se désidentifier de ce que l’on pense être
Ce qui construit et nourrit notre ego et ce qui nous empêche d’évoluer, c’est ce que nous pensons être. Par exemple, vous vous voyez comme une personne douée aux échecs et très à l’aise dans les relations avec les autres.
Si quelqu’un vous fait sentir que vous n’êtes pas si à l’aise dans vos interactions sociales, ou remet en cause vos compétences aux échecs, votre ego va prendre le dessus et essayer de vous défendre.
Comment se débarrasser de son ego?
L’ego, c’est la représentation consciente que l’on a de soi-même. C’est une partie de notre identité, de ce que nous pensons être à chaque fois que nous nous identifions à quelque chose.
Dès que l’on se compare à quelqu’un, que l’on souhaite argumenter pour prouver que l’on a raison, à chaque comportement où l’on va vouloir montrer sa supériorité à l’autre ou bien prouver que l’on a plus de connaissances, on va mobiliser notre ego.
Alors pourquoi autant de personnes souhaitent s’en débarrasser ? Car l’ego nous pousse à toujours nous sentir supérieur ou inférieur aux autres.
Ils nous empêchent d'être objectif, il est trop analytique et il reste la plupart du temps défini dans une croyance.
Quand un être humain à une influence sur un autre, il influence sa personnalité, son identité, en entité dans un égo c'est pour ça que beaucoup de personnes ne sont pas elles-mêmes réellement.
Elles sont tout le monde et n'importe quoi à la fois ...
C'est tout à fait que quelqu'un ait un un trouble de la personnalité assez facilement de nos jours si il n'est pas bien dans sa peau.
L'important c'est qu'il tue ses personnalités multiples, pour enfin se retrouver soi-même mais en douceur.
Tout est énergie, et grâce ou à cause de notre hypersensibilité nous pouvons nous ressentir dans tout et n'importe quoi à la fois.
Nous pouvons créer une personnalité sur un animal, sur un genre, sur tout.