Belle symphonie de Nina #Makarova (1908-1976), compositrice russe (appartenant au peuple Mari (ou Tchérénisse)).
J'aime particulièrement le 2e mouvement et la fin du 3e
On va poursuivre ce thread "compositrices russes", avec Tatiana Nikolayeva, très connue et tout à fait identifiée comme interprète (Bach, Beethoven, les préludes de Chostakovitch dont elle était la dédicataire)... mais pas moyen de trouver à écouter ses COMPOSITIONS...
Donc voici un de ses enregistrements des préludes & fugues de Chostakovitch, mais quid de son quintette pour piano ? de sa Symphonie ?? de son concerto pour violon ???
On poursuit avec la compositrice Alla Pavlova, née en Ukraine soviétique en 1952 et installée aux Etats-Unis depuis 1990.
Cette brève symphonie, sa quatrième, assez “post-romantique”, s'ancre sur de belles envolées d'orgue et de harpe.
Il n'a pas été facile de trouver des enregistrements d'œuvres de la compositrice biélorusse Eta Tyrmand (1917-2008), ici une “Improvisation élégiaque” [Элегическая импровизация] pour violon et piano.
On retourne en Russie stricto sensu, et en remontant dans le temps, avec Leokadiya Kashperova (1872-1940). Longtemps oubliée, redécouverte notamment par le musicologue Graham Griffiths, la BBC en a fait récemment (en décembre dernier) sa “composer of the week”.
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En train d'écouter cette interprétation de la Symphonie en si mineur de Leokadiya Kashperova.
Très beau premier mouvement, dansant, tour à tour enjoué et sombre.
(Le finale est splendide, avec des accents borodiniens.)
Voici à présent une pâââge (comme disent les cuistres sur France Musique) que je trouve particulièrement envoûtââhnte.
Il s'agit de la 4e Symphonie de la compositrice moscovite Tatyana Chudova (1944-2021).
Je continue avec Tatyana #Chudova. Ici, quelques mois après sa mort, le 16 juin dernier, ses enfants jouaient son Trio pour harpe, flûte et hautbois (1996).
Anton Paisov (flûte)
Anna Chudova (harpe)
Ivan Paisov (hautbois)
Toujours une pièce de Tatyana Chudova, toujours avec son fils Ivan Paisov au hautbois.
Последняя колыбельная [Dernière berceuse] - pour hautbois et orchestre de chambre.
28 février 2019, salle Rachmaninov du Conservatoire d'État Tchaïkovski de Moscou.
@JuCourvoisier@MelanieJaoul Le tweet n'était pas plus odieux que votre manipulation : votre photo montre bien qu'on n'a pas besoin de "jouer à cache-cache avec les ordures" ; il s'agit d'une grève, ce que vous ne précisez pas ; votre analogie des vacances sous les tropiques en dit long sur votre classisme.
@JuCourvoisier@MelanieJaoul Par ailleurs, mon tweet maladroit et donc injurieux (il jouait sur le double sens du mot "ordure"), j'ai au moins eu l'honnêteté de le retirer, alors que vous, pétrie de votre certitude d'appartenir à une élite supérieure, vous assumez votre injure faite aux grévistes.
@JuCourvoisier@MelanieJaoul Enfin, je sais très bien lire, et c'est même mon métier : entre autres, je comprends parfaitement que votre allusion à la "taxe sur les bureaux" implique que vous trouvez cette taxe injustifiée.
2e remarque : énorme contresens sur la focalisation (la focalisation dans FRESHWATER n'est justement pas du tout centrée sur Ada).
3e remarque : je n'ai pas testé la façon dont les références / ndbp s'imbriquent dans le texte mais mes suggestions sont assez indigentes.
Autre test, avec une tentative d'article de recherche en français. J'ai choisi un sujet beaucoup plus répandu, mais là encore le style est général, sans rapport avec le style universitaire. Il s'agit plutôt d'une dissert de 2e année.
Hier après-midi, j'ai fait un petit thread avec 2 ou 3 pépites par des compositrices russes.
Ce week-end, allons à la rencontre des blueswomen de l'entre-deux-guerres.
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(1)
Commençons par Clara Smith (1894-1935), ici avec "Every Woman's Blues".
(2)
Encore Clara Smith, quelques années plus tôt (1923) : "West Indies Blues".
(Merci au site Mudcat pour la transcription des paroles.)
(3)
Dans un tout autre registre vocal, voici Estelle Harris, connue sous son nom d'épouse Estelle "Mama" Yancey, ici en duo avec son pianiste d'époux Jimmy Yancey, circa 1943.
Elle a enregistré jusqu'à sa mort, à l'âge de 90 ans, en 1986.
1) ChatGPT écrit un sonnet élisabéthain (ABABCDCDEFEFGG) et même en français n'adapte pas la forme italienne. 2) Une fois que tu as demandé un truc en anglais, une demande similaire (sonnet sur l'épagneul) donne lieu à recyclage. 3) La métrique est souvent fausse.
(Je précise que dans le post ci-dessus, l'ordre des demandes est important : j'ai demandé à ChatGPT d'écrire le sonnet sur le ragondin et le bourdon APRES les deux autres requêtes.)
Dernière requête, une sextine sur l'élection de Macron en 2022. 1/ L'I.A. ne sait pas ce qu'est une sextine. 2/ Elle reproduit (très mal) la forme demandée antérieurement (sonnet). 3/ Comme les bases de données de ChatGPT s'arrêtent en 2021, on a un NB drôlement savoureux.
En exclusivité le passage le plus wtfff et "Roger remets-moi la petite soeur" de l'entretien.
Bel exemple de boomer inculte incapable de penser le multimodal... et, tout simplement, d'observer la réalité des interactions sociales à l'intérieur d'un foyer et entre chaque individu du foyer et ses réseaux.