🔴 Un agent me dit qu'il y a possibilité pour les manifestants et manifestants de sortir du dispositif de nasse, je vais alors vérifier, et il n'en est rien.
🔴 Les allers-retours de nasses policières armées, encadrant des petits groupes de manifestants vers le métro Étienne Marcel, se suivent et s'enchaînent.
Nb: milles excuses pour les fautes de frappe, ou d'orthographe. Ce n'est jamais facile de filmer et tweeter en même temps, tout en étant dans le feu de l'action. 🙏🏽
qui intimident*
👉🏽 Précisions : les deux jeunes femmes que l'on voit sur cette vidéo ont été interpellées par les forces de police. J'apprends ce matin que la 1ère a été relâchée tandis que la seconde a été embarquée. Tout cela arbitrairement. C'est l'information centrale de cette séquence.
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🔴 C'est une séquence politique qui n'est pas anodine.
Pire, elle fera date dans notre Histoire.
Le jour où le Président de la République, élu et réélu sur la promesse de faire barrage à l'extrême-droite, a placé le gouvernement (et le pays quelque part) à la merci de Marine Le Pen.
🔴 Se tient en ce moment la réception en l'honneur des 80 ans du CRIF au Palais de l'Elysée. ⤵️
🔴 "L'antisionisme en réalité c'est l'antisémitisme".
La soirée s'ouvre avec une vidéo de Robert Badinter, ancien ministre de la Justice.
Il raconte aussi des anecdotes de vie. Notamment de son père qui, très bon élève en Russie, a subi la discrimination antisémite. ⤵️
🔴 Un retard se cumule.
Le brouhaha domine la salle des fêtes.
Le président du CRIF, Yonathan Arfi, et celui de la République, Emmanuel Macron, sont en entretien dans une salle annexe. ⤵️
Cette nuit à Montreuil, sortant d'un bar avec des collègues du MEDIA, nous avons été pris à partie par un groupe de gens cagoulés qui mettait le feu à la rue.
Résultat : admission aux urgences, après m'être fait tabasser au visage et à la tête, pour un trauma crânien léger. 1/12
Durant mon passage aux urgences, j'ai pu croiser d'autres blessés.
Comme cet homme, tunisien, passé littéralement à tabac par 6 autres personnes cagoulées et vêtues de noir. Il a le corps et le visage tuméfié.
En larmes, il me raconte s'être fait dévalisé son commerce. 2/12
L'infirmière, en constatant mes blessures, me confie être débordée depuis la nuit tombée de cas de personnes agressées, toutes à la tête, parfois à la limite d'être rendues handicapées.
"C'est très dangereux dans les rues, il ne faut plus sortir." me dit-elle, atterrée. 3/12