Alors là, cher @SaintetePepe , la compétition de vidéos de covidiens débiles est relancée. Qui va gagner? Et merci à @Un_EtreHumain pour cette vidéo magique 😉😂
Perso, j'ai celle là:
Et puis celle-là, celle des vieux #Macronistes :
Les débiles fanatiques des protections dans celle-là:
Enfin les soignants en pleine pandémie 🤣

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Sep 25
1.
L'escalade israélienne continue, le régime taré de #NetanyahuWarCriminal veut délibérément étendre le conflit à toute le Moyen-Orient, et y impliquer l'Otan et surtout l'armée américaine, afin de détruire l'Iran, qu'Israël considère depuis toujours comme son ennemi numéro un. Tout est bon pour ce régime sioniste criminel. C'est ainsi que des missiles israéliens viennent d'être interceptés au-dessus de la ville portuaire syrienne de Tartous, qui accueille la marine russe.

L’armée syrienne a déclaré à Reuters que des missiles israéliens, violant une nouvelle fois délibérément l'espace aérien et donc la souveraineté de la Syrie, avaient visé la ville portuaire syrienne de Tartous peu avant minuit mardi soir 23 septembre 2024 (heure locale).

Les défenses aériennes syriennes auraient intercepté les missiles entrants, Al Mayadeen affirmant qu’au moins deux missiles israéliens avaient été observés en approche. De nombreux rapports font actuellement état de plusieurs explosions.

Tartous est la deuxième plus grande ville côtière de Syrie. Elle se trouve juste au nord du Liban, et les attaques israéliennes contre lui sont très rares. Au lieu de cela, la plupart des assauts se sont concentrés sur Damas et ses environs au cours des dernières années.

Le bastion farouchement pro-gouvernemental n’a même pas essuyé beaucoup de tirs israéliens pendant toute la durée de la guerre par procuration en Syrie.

Des bases et des actifs russes sont positionnés à Tartous et à proximité le long de la côte, une réalité qui a également fait en sorte que les frappes israéliennes y restent relativement rares. Le seul port méditerranéen en eau profonde de la marine russe est situé à Tartous.

Les médias israéliens ont également mentionné l’attaque nocturne et ont écrit que l’armée de l’air israélienne était probablement derrière elle.

Israël est actuellement engagé dans une nouvelle offensive anti-Hezbollah élargie au Sud-Liban, qui a fait plus de 600 morts et des milliers de blessés au Liban.

On craint que les combats ne s’étendent à la région, si des groupes paramilitaires chiites en Irak et en Syrie s’impliquent. Damas a toujours été un puissant allié du Hezbollah.





Syrian air defenses confronting Israeli missiles off the coast of Tartous

⤵️zerohedge.com/geopolitical/i…
Image
2.
Notons qu'en septembre 2024, les forces spéciales ukrainiennes ont bombardé une base russe en Syrie, Kyrylo Budanov, le chef des services de renseignement ukrainiens (SBU) promettant de "détruire les criminels de guerre russes où qu’ils se trouvent dans le monde".

Des forces spéciales du groupe Khimik de la Direction principale du renseignement ukrainien (HUR) ont attaqué une base militaire russe en Syrie, a rapporté le Kyiv Post le 16 septembre.

L’attaque contre la base russe survient alors qu’un grand groupe d’experts militaires ukrainiens est arrivé dans le gouvernorat d’Idlib, dans le nord de la Syrie, pour former des militants extrémistes à l’utilisation et à la fabrication de drones.

Une source a déclaré à Sputnik le 17 septembre 2024 : "Il existe des informations confirmées selon lesquelles le nombre d’experts militaires ukrainiens arrivés à Idlib a atteint environ 250, ils ont été distribués à des ateliers industriels et à plusieurs sites dans la ville d’Idlib et la campagne de Jisr al-Shughur, pour fabriquer des drones."

La Russie a maintenu une présence militaire en Syrie depuis son intervention dans le pays en 2015. À partir de septembre de la même année, l’armée de l’air russe a joué un rôle clé en aidant l’armée arabe syrienne (AAS) à vaincre les groupes extrémistes soutenus par les États-Unis, Israël et le Golfe menaçant de conquérir Damas, notamment l’EI et Jabhat al-Nusra.



Conclusion:
Les Etats terroristes que sont l'Ukraine et Israël, appuyés et entièrement financés par les Etats-Unis, ont pour but, conformément à leur mandant, d'exporter le chaos à travers tout le Moyen Orient, afin d'ouvrir un nouveau front contre la Russie, de détruire l'Iran, de tenter, même au moyen de WWIII, de conserver la prééminence mondiale de l'hégémon américain ....thecradle.co/articles/ukrai…
@SierraTango74 @HogardJacques @PhilippeMurer @YvesPDB @PanDanTag @liviu_balea @sergiodde
Read 4 tweets
Sep 24
A tous,

1.
Des gouvernements du monde entier se sont réunis au siège de l'ONU à New York et ont adopté un accord tentaculaire visant à élargir et à renforcer les Nations Unies. La déclaration controversée de 56 pages, approuvée par l’Assemblée générale de l’ONU, connue sous le nom de "Pacte pour l’avenir" (Pact for the Future), est considérée par l’ONU et ses gouvernements membres comme un grand bond en avant pour la cause du mondialisme ("nous avons ouvert la porte pour un futur commun" - Antonio Guttieres).







En bref, l’ONU est en train de devenir "l’ONU 2.0", comme l’ont dit les principaux dirigeants de l’organisation. Cependant, aux États-Unis, au moins, les législateurs, les gouverneurs et les dirigeants de base sont de plus en plus inquiets de ce qu’ils perçoivent comme une prise de pouvoir historique, mettant de nombreux participants au sommet de l’ONU sur les nerfs alors que Donald Trump se prépare à un éventuel retour à la Maison Blanche. Bien évidemment, dans l'UERSS, tout a déjà été décidé par la toute puissante Commission européenne et par Pustula à sa tête. Et le mondialiste #MacronCoupDEtat #MacronDestitution #MacronLeTraitre a été le premier à donner son accord à la prise de pouvoir totalitaire de l'ONU 2.0.

Selon le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, le Sommet du futur de l’ONU est "une première étape essentielle pour rendre les institutions mondiales plus légitimes, efficaces et adaptées au monde d’aujourd’hui et de demain".

Le président de l’Assemblée générale de l’ONU, Philémon Yang, du Cameroun, a quant à lui affirmé que l’accord de l’ONU "jetterait les bases d’un ordre mondial durable, juste et pacifique – pour tous les peuples et toutes les nations".

"Transformer" (lire : donner du pouvoir) à l’ONU avec de vastes nouvelles autorités et responsabilités a été l’un des principaux objectifs de ce rassemblement massif et est intégré au pacte. "Nous ne pouvons pas créer un avenir digne de nos petits-enfants avec des systèmes conçus pour nos grands-parents", a poursuivi M. Guterres, une phrase imprimée sur des panneaux géants dans tout le siège de l’ONU alors que les délégués discutaient de la "réforme" du puissant Conseil de sécurité de l’ONU dans le but d’éliminer à terme les pouvoirs de veto des membres permanents.

L’accord final adopté lors du Sommet pour l’avenir se fait l’écho de ces sentiments. "Nous reconnaissons que le système multilatéral et ses institutions, avec les Nations Unies et sa Charte au centre, doivent être renforcés pour suivre le rythme d’un monde en mutation", peut-on lire dans le Pacte pour l’avenir, qui a été adopté par "consensus" avec l’opposition symbolique d’une poignée de gouvernements.

"Nous renouvelons notre engagement en faveur du multilatéralisme et de la coopération internationale", ajoute le Pacte. "Nous transformerons la gouvernance mondiale et renforcerons le système multilatéral."

Seul un mondialisme plus important peut résoudre les problèmes réels et imaginaires auxquels l’humanité est confrontée, selon le document. Un "réengagement en faveur de la coopération internationale fondée sur le respect du droit international", dit le pacte, est "nécessaire", la coopération internationale, comme le "multilatéralisme", servant de synonyme de mondialisme. "Ce n’est pas une option mais une nécessité", poursuit-il.

En fait, l’accord affirme spécifiquement que les nations et leurs gouvernements ne peuvent pas gérer les problèmes présumés auxquels l’humanité est confrontée sans l’ONU. "Nos défis sont profondément interconnectés et dépassent de loin la capacité d’un seul État", indique le pacte. "Ils ne peuvent être abordés que collectivement, par le biais d’une coopération internationale forte et soutenue."

Le terme "gouvernance mondiale", souvent utilisé comme un substitut moins inquiétant pour le gouvernement mondial, est mentionné à plusieurs reprises tout au long du document, toujours comme quelque chose de positif à promouvoir. Sous le titre de "transformer la gouvernance mondiale", par exemple, le pacte appelle à une expansion spectaculaire de ces mécanismes pour gouverner l’ensemble de l’humanité.

"Aujourd’hui, notre système multilatéral, construit au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, est soumis à une pression sans précédent", indique le pacte, soulignant des réalisations remarquables supposées (et indéfinies) au cours des 80 dernières années. "Mais nous ne sommes pas complaisants quant à l’avenir de notre ordre international, et nous savons qu’il ne peut pas rester immobile."

L’une des institutions qui a reçu un coup de chapeau est la future Cour suprême mondiale, connue sous le nom de "Cour internationale de justice", souvent ridiculisée par les critiques comme un "tribunal fantoche". "Nous remplirons notre obligation de nous conformer aux décisions et de défendre le mandat de la Cour internationale de justice", déclare le Pacte.

Un autre domaine dans lequel l’ONU espère étendre son pouvoir est celui de la fiscalité, promettant "d'explorer les options" de "coopération internationale" en matière d’impôts et, en particulier, d’imposition des personnes "fortunées". "Nous nous engageons à renforcer l’inclusivité et l’efficacité de la coopération fiscale aux Nations Unies", explique l’accord de l’ONU, l’un des nombreux efforts visant à mettre en œuvre une fiscalité mondiale.

En fin de compte, cependant, le mondialisme doit s’étendre à tous les niveaux. "Nous prendrons des mesures pour renforcer et redynamiser le multilatéralisme et approfondir la coopération internationale", poursuit-il, offrant un "engagement indéfectible envers le droit international" pour faire face aux défis supposés. "Une transformation de la gouvernance mondiale est essentielle pour faire en sorte que les progrès positifs que nous avons constatés dans les trois piliers de l’action des Nations Unies au cours des dernières décennies ne s’effacent pas. Nous ne permettrons pas que cela se produise".

L’un des principaux outils pour aider l’ONU à "renouveler" la confiance dans le mondialisme est le contrôle de l’information, comme le pacte l’indique clairement. Il appelle les gouvernements à "s’attaquer" à la "désinformation, à la mésinformation, aux discours de haine et aux contenus incitant au préjudice, y compris les contenus diffusés par le biais de plateformes numériques". Bien sûr, le "discours de haine" a été introduit dans le lexique de l’ONU par la dictature mondialiste kleptocratique, oligopolistique, et surtout wokiste (dictature de la religion LGBTQ) pour décrire le discours qu’elle haïssait.

"Nous travaillerons ensemble pour promouvoir l’intégrité, la tolérance et le respect de l’information dans l’espace numérique", ont promis les gouvernements dans l’accord de l’ONU, suivi d’un éventail vertigineux d’actions qu’ils ont l’intention de prendre. "Nous renforcerons la coopération internationale pour relever le défi de la mésinformation, de la désinformation et des discours de haine en ligne, et nous atténuerons les risques de manipulation de l’information d’une manière conforme au droit international."

Ce n’est pas seulement la restriction de l’information qui va à l’encontre du discours de l’ONU. Une note confidentielle envoyée aux responsables de la communication du système des Nations Unies plus tôt cette année 2024 et obtenue par le magazine The New American comprenait des dispositions sur la manière de faire de la propagande pour l’humanité sur le Sommet du Futur et son ordre du jour.

"Le Sommet du futur est un moment charnière de notre ordre du jour", indique la note, ajoutant que le Département de la communication mondiale de l’ONU "veut s’assurer que nous emmenons les médias avec nous – en commençant par des notes d’information sur des parties spécifiques de l’ordre du jour". L’ONU y est parvenue en s’associant à Google pour cacher des informations contraires à ses récits, en particulier sur des questions telles que le climat.

"Le sommet comportera un livret narratif et des messages clés pour aider le personnel à comprendre comment communiquer sur les questions", a-t-il ajouté. "Il y a un groupe de plus en plus important de personnes qui se mobilisent pour dépasser le cynisme, mais certains des problèmes sont difficiles à vendre. Faire fonctionner le multilatéralisme est quelque chose que nous devrions vendre. Les agences de publicité sont heureuses de nous aider – nous devrions réfléchir à la manière dont nous pouvons "inonder Internet" de campagnes positives et factuelles".

L’une des principales prises de pouvoir dans l’accord final signé ce week-end concerne la réponse de l’ONU à ce qu’elle décrit comme des "chocs mondiaux complexes". Il peut s’agir de questions "climatiques" ou de problèmes économiques, de crises environnementales ou même d’événements imprévisibles de type "cygne noir".

Selon une proposition présentée fin 2023 dans une note d’orientation intitulée "Notre avenir commun" publiée par le patron de l’ONU, M. Guterres, M. Guterres lui-même deviendrait essentiellement un dictateur mondial pour faire face à des urgences internationales réelles ou imaginaires, déclarées à sa discrétion. La proposition appelait les nations, les entreprises et tous les secteurs de la société à reconnaître le "rôle primordial des organes intergouvernementaux [tels que les agences de l’ONU] dans la prise de décision".

Article à lire:
⤵️


Bien que l’accord final de cette semaine ne contienne pas tout ce qu’il a demandé, il a fourni un "mandat" des États membres à Guterres pour poursuivre vigoureusement l’ordre du jour. "Nous reconnaissons la nécessité d’une réponse internationale plus cohérente, coopérative, coordonnée et multidimensionnelle aux chocs mondiaux complexes et le rôle central des Nations Unies à cet égard", a déclaré le Pacte, appelant Guterres à concevoir de nouvelles façons de "renforcer la réponse du système des Nations Unies aux chocs mondiaux complexes".

L’un des thèmes clés du pacte était de réaffirmer les engagements envers les accords et les programmes précédents de l’ONU tels que la "Déclaration universelle des droits de l’homme" de l’ONU, des privilèges révocables accordés par l’ONU.

En particulier, les objectifs de développement durable (ODD) de l’Agenda 2030 de l’ONU, une recette pour la tyrannie mondiale adoptée en 2015 sous le nom de "plan directeur pour l’humanité", étaient au cœur du nouvel accord. "Nous réaffirmons notre engagement durable envers le Programme de développement durable à l’horizon 2030 et ses objectifs de développement durable", indique le nouvel accord, promettant d'"accélérer de toute urgence" sa mise en œuvre avec des "mesures politiques concrètes" et plus d’argent public.



Dans ce cadre, l’ONU affirme qu’elle a besoin de quantités pratiquement illimitées de pouvoir et d’argent pour tout faire, de "l’éradication de la pauvreté" à "l’élimination de l’insécurité alimentaire", en passant par la lutte contre le prétendu "changement climatique d’origine humaine" et la "réduction des "inégalités" à la fois "à l’intérieur" et "entre" les pays. Ironiquement, bon nombre des maux réels et imaginaires que l’ONU prétend combattre ont été créés ou aggravés par les politiques de l’ONU ou celles de ses États membres.

À ce pacte s’ajoutaient des annexes dont le "Global Digital Compact" pour que l’ONU prenne la tête de la régulation du domaine numérique (données, Internet, Intelligence Artificielle, etc.). L’accord final était également accompagné de la "Déclaration sur les générations futures", affirmant que tous les efforts visant à usurper plus de pouvoir pour l’ONU sont en réalité "pour les enfants" et les générations à venir.

Il n’y a eu bien évidemment pratiquement aucune couverture du sommet de l’ONU ou du pacte par les médias de l’establishment aux États-Unis, et encore moins en Europe, et surtout dans la France du #macronistan , où les médias mainstream sont complètement aux ordres du pouvoir #Macroniste .





un.org/en/summit-of-t…
documents.un.org/doc/undoc/ltd/…

theepochtimes.com/us/un-seeks-va…
thenewamerican.com/print/un-agend…

thenewamerican.com/world-news/un/…
odysee.com/@InterestingTi…Image
2.
Adoption du Pacte pour l’avenir de l’ONU: Il servira les mêmes objectifs autoritaires et rentables que le Covid.

Le 22 septembre 2024 les participants à l’ouverture des deux jours du Sommet du futur de l'ONU ont adopté le Pacte pour l’avenir ("Pacte") par consensus.



"En l’absence d’évaluations sérieuses et indépendantes de la réponse scandaleuse au covid, et sans reconnaissance des échecs techniques, consultatifs et moraux de l’ONU, tout programme devrait être considéré comme destiné à servir les mêmes objectifs autoritaires et, pour les partenaires de l’ONU, très rentables", écrivent le Dr Thi Thuy Van Dinh et le Dr David Bell.

Le sort du Pacte au sommet de l’ONU a été remis en question jusqu’au dernier moment.
"Nous sommes ici pour sortir le multilatéralisme du gouffre", a déclaré Guttieres. "Maintenant, c’est notre destin commun de le traverser. Cela exige non seulement un accord, mais aussi des actes."

Le chef de l’ONU a défié les dirigeants : mettez en œuvre le pacte. Privilégiez le dialogue et les négociations. Mettre fin aux "guerres qui déchirent notre monde", du Moyen-Orient à l’Ukraine et au Soudan. Réformer le puissant Conseil de sécurité de l’ONU. Accélérer les réformes du système financier international. Accélérer la transition vers l’abandon des combustibles fossiles. Écouter les jeunes et les inclure dans la prise de décision.

Selon ABC News, il y avait tellement de suspense que le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, avait préparé trois discours, un pour l’approbation, un pour le rejet et un si les choses n’étaient pas claires, a déclaré le porte-parole de l’ONU, Stéphane Dujarric.



"Personne n’est satisfait de ce pacte", a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Verchinine.

Sept pays ont voté contre l’adoption du Pacte : la Russie, le Nicaragua, l’Iran, le Soudan, la Biélorussie, la Corée du Nord et la Syrie. En outre, 15 pays se sont abstenus de voter, dont la Chine, Cuba, l’Irak, le Laos, la Malaisie, le Pakistan et le Sri Lanka.



Avant l’annonce de l’ONU hier, le Brownstone Institute a publié un article rédigé par le Dr Thi Thuy Van Dinh et le Dr David Bell. Il s’agit du cinquième et dernier d’une série d’articles passant en revue les plans de l’ONU et de ses agences qui conçoivent et mettent en œuvre l’ordre du jour du Sommet du futur.





Le Dr Van Dinh et le Dr Bell soulignent que, malgré le préambule de la Charte des Nations Unies qui met l’accent sur "Nous, les peuples", l’ONU a de plus en plus centralisé l’autorité, limitant les droits individuels.

Les principes fondateurs de l’ONU, tels qu’ils ont été réaffirmés lors du Sommet mondial de 2005, ont mis l’accent sur l’engagement à "protéger et promouvoir activement tous les droits de l’homme" et à intégrer les droits de l’homme dans l’ensemble du système des Nations Unies. Cependant, le mécanisme actuel de l’ONU semble s’être éloigné de ces idéaux. Il est devenu déconnecté des gens qu’il devrait servir.

Le Dr Van Dinh et le Dr Bell mettent en avant l’article 29 de la Déclaration universelle des droits de l’homme ("DUDH"), qui permet de restreindre les libertés pour "la moralité, l’ordre public et le bien-être général", contrastant avec la protection des libertés individuelles de la Déclaration des droits des États-Unis pour empêcher un gouvernement tyrannique de passer outre la volonté du peuple. "La DUDH stipule spécifiquement que l’ONU, dans sa détermination croissante à centraliser l’autorité en son sein, peut [passer outre la volonté du peuple]", ont déclaré le Dr Van Dinh et le Dr Bell.

Les deux auteurs affirment que l’ONU s’est détachée de son mandat en matière de droits humains, ce qui a des implications importantes pour l’avenir de la protection des droits humains. Ils accusent l’appareil de l’ONU d’ignorer les énormes préjudices infligés aux droits et libertés fondamentaux à des milliards d’individus sans voix. Et critiquer la réponse de l’ONU à la pandémie de covid-19, en particulier les déclarations faites par le Secrétaire général António Guterres et le Haut-Commissariat aux droits de l’homme (HCDH).

À l’époque du covid, l’ONU n’a pas fait respecter les droits humains fondamentaux en approuvant des mesures restrictives telles que le confinement et l’obligation vaccinale sans tenir compte de manière adéquate de leur impact sur les libertés individuelles.

Suivant l’exemple de Guterres, le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme (HCDH) n’a pas défendu le droit fondamental de refuser les vaccins, comme on pourrait supposer que son mandat l’exigeait.

Dans un message vidéo adressé le 8 décembre 2021 au Conseil des droits de l’homme, la Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, Michelle Bachelet, a déclaré que l’accès à l’éducation et aux espaces publics conditionné au statut vaccinal "pourrait être acceptable". Cela contredit les principes inscrits dans la Déclaration universelle des droits de l’homme et le Code de Nuremberg.

Les énormes dommages causés aux droits et libertés fondamentaux par les milliards de sans-voix ont été rapidement enterrés, tandis que la machinerie de l’ONU poursuit ses activités comme si de rien n’était.

Le programme futur de l’ONU vise à étendre son mandat et son financement à des domaines tels que l’intelligence artificielle et les générations futures, sans reconnaître ses échecs pendant la pandémie. L’ONU devrait enquêter sur les crimes commis contre les générations futures, tels que la dette nationale, la pauvreté et le manque d’éducation.

news.un.org/en/story/2024/…
abcnews.go.com/US/wireStory/n…
theunitednationscorrespondent.com/un-adopts-pact…
brownstone.org/articles/three…
brownstone.org/articles/the-u…
expose-news.com/2024/09/23/uns…
3.
LE PACTE DE L'ONU POUR L'AVENIR MENE VERS UNE DICTATURE MONDIALISANTE

Selon le professeur Francis Boyle, le "Pacte pour l'avenir", faveur de la signature duquel 143 voix ont voté lors de l'Assemblée Générale de Nations Unies le 22 septembre 2024 (avec 7 abstentions et 15 voix contre, dont la Russie, le Nicaragua, la Syrie, l'Iran, la Corée du Nord, le Soudan et la Biélorussie votant contre, et la Chine et Cuba figurant parmi les 15 abstentions) "ce Pacte pour l'avenir sera conclu par les chefs d'État et les chefs de gouvernement qui ont présumément des pouvoirs extraordinaires et plénipotentiaires pour lier unilatéralement leurs États respectifs en vertu du droit international. En tant que tel, ce Pacte constituera un traité tel que défini par la Convention de Vienne sur le droit des traités avec toutes les obligations juridiques qui s'attachent à un traité et en découlent en vertu du droit international et des lois constitutionnelles nationales des États respectifs".

"Ce Pacte constituera un contournement des procédures établies pour amender la Charte des Nations Unies qui y sont énoncées. Ce pacte fera du Secrétaire général des Nations Unies le dictateur de l'ensemble de l'Organisation des Nations Unies, du seul fait qu'il aura constaté l'existence d'une "situation d'urgence" telle qu'il l'a définie. Au contraire, il existe six organes indépendants des Nations Unies : le Conseil de sécurité, l'Assemblée générale, le Conseil de tutelle, le Conseil économique et social, la Cour internationale de justice et le Secrétariat. C'est précisément pourquoi il est appelé Secrétaire général, simple secrétaire, et non Directeur général. Ces six organes des Nations Unies ont été délibérément créés lors de la Conférence de San Francisco pour être indépendants les uns des autres, aucun organe n'ayant de juridiction de surveillance sur aucun autre organe. Mais en vertu de ce pacte, le Secrétaire général des Nations Unies s'arrogera, en violation des termes de la Charte des Nations Unies, tous les pouvoirs de l'Assemblée générale, du Conseil de tutelle, du Conseil économique et social et du Secrétariat, ainsi que sur toutes les agences spécialisées des Nations Unies et les organisations affiliées à l'ONU. Il deviendra ainsi le dictateur général de l'Organisation des Nations Unies, et non son secrétaire en charge du seul Secrétariat, comme cela avait été initialement prévu lors de la Conférence de San Francisco. Cet arrangement totalitaire constituera une menace grave, terrible et immédiate pour la souveraineté et l'indépendance de tous les États membres des Nations Unies. Pour ces raisons, je vous implore de vous opposer vigoureusement à ce pacte pour l'avenir."

Un diplomate russe a dénoncé le Pacte pour l'avenir comme un coup dur pour l'ONU:

"L'ONU a violé ses propres principes en faisant des concessions à un groupe de délégations du "beau jardin", qui ont usurpé les négociations dès le début", a déclaré le premier représentant permanent adjoint de la Russie auprès de l'ONU, Dmitri Polyanski.

t.me/Propaganda365/…
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Sep 23
A tous,

Le gouvernement Barnier comporte des ministres s'affichant ouvertement en faveur et en soutient à la politique terroriste et génocidaire d'Israël à l'égard des Palestiniens de Gaza et de la Cisjordanie, et à l'égard du Liban.
Ainsi la nouvelle ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet @AstridPanosyan explique à la Diaspora qu’ils pourront compter sur elle, @CarolineYADAN et @benjaminhaddad pour défendre la cause de l'Etat sioniste d'Israël qu’elle estime "juste", même s'il s'agit de commettre des actes terroristes massifs au Liban, de bombarder des Etats souverains comme la Syrie, de massacrer 40.000 civils dont plus de 70% de femmes et d'enfants à Gaza, de vouloir expulser tous les Palestiniens de Cisjordanie, et de vouloir annexer le Liban.

Notez bien que @AstridPanosyan est membre active de la milice sioniste DDF.
D'une manière plus générale, voici quelques éléments saillants de la biographie de la #Macroniste @AstridPanosyan :

Astrid Panosyan, une ministre du travail qui soutient Israël et qui est trempée dans les Uber Files.

Après Muriel Pénicaud voici la nomination, d’Astrid Panosyan, comme Ministre du travail…ex DG de Groupama, qui a déclaré 6,1 millions d’euros de revenu sur la période 2017-2021.

Ancienne adhérente du Parti socialiste, elle a cofondé En marche ! en 2016, le mouvement de #MacronDestitition #MacronCoupDEtat #MacronMcKinsey #MacronNousPrendPourDesCons , dont elle avait été la conseillère à Bercy en 2014. Elle a ensuite fait une bonne partie de sa carrière chez Axa et Groupama, où elle a été secrétaire générale de 2011 à 2014.

La nouvelle ministre du travail et de l’emploi, soutient inconditionnellement Israël et est membre de la milice sioniste DDF.

Elle estime qu'Israël ne pratique pas d'apartheid, et n'a pas un mot pour les Palestiniens. Ses 2 seuls tweets sur Gaza, c'est pour critiquer les Insoumis.

@AstridPanosyan explique à la Diaspora, qu’ils pourront compter sur elle, @CarolineYADAN et @benjaminhaddad , pour défendre la cause d’Israel, qu’elle estime "juste".

"Les accusations de génocide outre le fait qu’elles sont non pertinentes et infondées… C’est aussi une musique qui consiste à dire parce qu’il y a génocide on pourrait justifier la création d’un état Palestinien.!"

@AstridPanosyan nie l’existence d’actes Islamophobes: "la soit disant Islamophobie"

La nouvelle ministre du Travail @AstridPanosyan -est attendue sur de nombreux sujets sensibles comme les projets de durcissement de l'assurance chômage ou encore la réforme des retraites.

@AstridPanosyan s'était montrée en 2022 soucieuse que la réforme (des retraites) puisse aboutir à une "acceptabilité sociale", estimant notamment que la majorité était "allée trop loin entre 2017 et 2022 sur la volonté de simplification" des critères de pénibilité mise en place sous le quinquennat Hollande.

Elle affirmait en mars 2024 que "l’urgence n’est pas de réformer l’assurance chômage, mais de rendre attractifs les métiers qui ne le sont pas […] et lever les freins centraux à l’emploi – formation, transport, logement, garde d’enfants…"

La nouvelle ministre #Macroniste du Travail, qui revendique une fibre sociale, "a beaucoup travaillé les questions de travail et nous a régulièrement consultés, c'est donc quelqu'un de connu qui sait travailler avec les partenaires sociaux. Ceci étant dit, tout dépendra des marges de manœuvre et budgétaires qu'elle aura", a réagi la CFDT après sa nomination.

La nouvelle ministre du travail, @AstridPanosyan , est aussi connue pour son rôle auprès de #MacronDestitition #MacronCoupDEtat #MacronMcKinsey #MacronNousPrendPourDesCons dans les UberFiles et pour ses liens avec McKinsey.
Le 1er octobre 2014, Travis Kalanick [alors PDG d’Uber] et 3 de ses collaborateurs magouillent avec Macron, qui était ministre de l’économie, pour freiné le développement d’Uber en France, en interdisant UberPop et en contraignant les chauffeurs à suivre une formation de 250 heures. @AstridPanosyan était présente.

Après avoir occupé plusieurs hauts postes dans de grandes entreprises privées (secrétaire générale de Groupama depuis 2011 après un passage chez Axa), cette diplômée de Sciences Po, HEC et Harvard a rejoint le cabinet de #MacronDestitition #MacronCoupDEtat #MacronMcKinsey #MacronNousPrendPourDesCons , en tant que conseillère chargée de l’attractivité économique et des investissements internationaux.

Elle trempe ensuite dans les “Ubers Files“. Ils révèlent notamment comment #MacronDestitition #MacronCoupDEtat #MacronMcKinsey #MacronNousPrendPourDesCons s’est improvisé partenaire privilégié de l’entreprise californienne et a permis son développement en France.

Alors que l’obligation de formation, portée à 250 heures, était un frein majeur à cette expansion, #MacronDestitition #MacronCoupDEtat #MacronMcKinsey #MacronNousPrendPourDesCons est passer par la voie réglementaire, en rédigeant un arrêté. @AstridPanosyan assiste à la mise en place de cette stratégie.

Le 2 février 2016, #MacronDestitition #MacronCoupDEtat #MacronMcKinsey #MacronNousPrendPourDesCons et Uber réussissent enfin leur coup. Dans un arrêté ministériel la durée de formation des chauffeurs est réduite de 250 h à 7 h.

C'est donc une nouvelle fois une #Macroniste technocrate, formée dans le sérail des techniques de management et de langage comme ceux des cabinets de conseil comme Mc Kinsey, que le médias mainstream ont pour ordre de vendre aux normies français, comme une ministre "de gauche" recherchant le dialogue social. Bref, encore un nouveau f...age de gueule .... 🤮🤮









liberation.fr/economie/socia…
rapportsdeforce.fr/pouvoir-et-con…
leparisien.fr/economie/nouve…
lemonde.fr/politique/arti…
rmc.bfmtv.com/actualites/eco…
@TribunePop23 @LeMediaTV @CPorteu @CStrateges @er_natio @xazalbert @PhilConte6_0 @PhilippeMurer @PolFabrice @sergiodde
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Sep 20
1.
Mpox, Project Bioshield, Everyone’s Dark Winter.

Fin septembre 2023, l’émergence d’un nouveau variant du virus a été détectée en Afrique centrale. En août 2024, plus de 21 000 cas avaient été signalés, dont plus de 600 mortels, presque tous en RDC.

Le 14 août 2024, l’OMS a déclaré l’épidémie une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI).

Les vaccins contre le monkeypox ont tous été développés dans le cadre de partenariats public-privé aux Etats-Unis, suivant la loi Bioshield Act de 2004.

L'émergence de ce nouveau variant de la variole du singe relève des armes biologiques développées par les Etats-Unis. Et la déclaration de santé publique de portée internationale permet aux Etats-Unis de se débarrasser d'un stock de vaccins aux effets mortels, le ACAM 2000, en les livrant en Afrique, et surtout en République Démocratique du Congo (RDC). La RDC, qui se rapproche de la Russie et de la Chine, est un pays au sous-sol gorgé de minerais extrêmement recherché, et en proie à des opérations de déstabilisation politique menées à partir du Rwanda voisin, le Rwanda présidé par Paul Kagamé étant un Etat totalement soumis aux intérêts américains.

En 1998, le colonel Robert Kadlec, qui était à l’époque directeur des programmes de biodéfense au ministère de la Sécurité intérieure, a écrit dans un document de stratégie du Pentagone : "L’utilisation d’armes biologiques sous le couvert d’une maladie endémique ou naturelle offre à un attaquant la possibilité d’un déni plausible. Le potentiel de la guerre biologique à créer des pertes économiques importantes et l’instabilité politique qui s’ensuit, associé à un déni plausible, dépasse les possibilités de toute autre arme humaine".



C'est qui sera démontré dans le 🧵ci-dessous.Image
2.
En 2022, la variole simienne (anciennement connue sous le nom de variole du singe) a attiré l’attention du monde entier, lorsque plus de 20 pays ont signalé des infections à l’OMS en mai de la même année. Cela a conduit le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, à déclarer que l’épidémie de variole simienne impliquant le clade IIb du virus en République démocratique du Congo (RDC) et son expansion dans les pays voisins constituaient une urgence sanitaire mondiale.

Le virus de la variole du singe fait partie de la même famille de virus (orthopoxvirus) que la variole mais est moins grave. En 1980, l’Assemblée mondiale de la santé a annoncé que la variole avait été éradiquée et a recommandé à tous les pays de cesser la vaccination. Bien que les laboratoires de deux pays stockent encore officiellement des échantillons de variole (États-Unis et Russie).
3.
La variole simienne a été identifiée pour la première fois au Danemark, en 1958, lorsque deux épidémies d’une maladie semblable à la variole se sont produites chez des singes de laboratoire, d’où son nom, bien que les singes ne soient pas considérés comme des réservoirs du virus. La source du virus serait inconnue.

En 1970, le premier cas humain de variole simienne a été enregistré en République démocratique du Congo. C’était à une époque où la variole était éradiquée. La maladie est considérée comme endémique dans les pays d’Afrique centrale et de l’Ouest. Les épidémies se sont concentrées chez les hommes ayant des rapports sexuels avec d’autres hommes.

Fin septembre 2023, l’émergence d’un nouveau variant du virus a été détectée en Afrique centrale. En août 2024, plus de 21 000 cas avaient été signalés, dont plus de 600 mortels, presque tous en RDC.

Le 14 août 2024, l’OMS a déclaré l’épidémie une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI).

Un mois après l’annonce de l’OMS, la petite entreprise de biotechnologie danoise Bavarian Nordic est devenue la première au monde à recevoir l’approbation d’un vaccin contre la variole du singe, JYNNEOS (connu internationalement sous le nom d’Imvamune ou Imvanex), initialement développé pour la variole mais rarement utilisé.

politico.eu/article/who-ap…
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Sep 12
1.
Dans tout le bloc occidental, dès lors que des gouvernements socialistes, travaillistes, progressistes, mondialistes, sont au pouvoir, les attaques contre la liberté de la presse se multiplient. Cela fait partie d'un assaut téléguidé depuis le deep state et les agences de renseignement au Etats-Unis, et s'étend partout dans le monde des prétendues démocraties occidentales.

Dernier assaut en date contre la liberté d'expression, en Australie.

Le gouvernement travailliste dirigé par le Premier ministre Albanese a déposé devant l'assemblée des députés australiens (House of Representatives) une proposition de loi appelée "Combatting Misinformation Bill". Ce projet de loi a pour but de combattre toutes les voix de la dissidence, et exemptera bien évidemment les sources principales de la désinformation, que sont le gouvernement et les médias mainstream.

Le projet de loi australien sur la désinformation et la mésinformation, est à l'origine une idée du parti Liberal. Cette loi est une attaque dystopienne contre la liberté d'expression.

Ce projet de loi définit comme causant un mal sérieux:
(a) abîmer, causer du mal, à la mise en oeuvre ou à l'intégrité d'un processus électoral ou référendaire, que ce soit au niveau du Commonwealth, de l'Etat, du Territoire, ou du gouvernement local; ou
(b) causer du mal à la santé publique en Australie, à l'efficacité des mesures préventives et de santé publique en Australie; ou
(c) calomnier des groupes de la société australienne, selon leur race, leur religion, leur sexe, leur orientation sexuelle, leur identité de genre, leur statut intersexe, leur handicap, leur nationalité ou leur origine nationale ou ethnique, ou calomnier un individu en raison de son appartenance à un de ces groupes.

Ce projet de loi liberticide et dystopique doit être combattu par tous, quelque soit l'appartenance politique.

comptes X à suivre sur le sujet:



et celui du sénateur Alex Antic, qui a déjà très fortement dénoncé les mesures totalement liberticides et orwellienne prises par le gouvernement en Australie pendant la période Covid.


2.
L'Australie n'en est pas à sa première tentative de bloquer la liberté d'expression.
En juin 2024, Inman-Grant, la commissaire australienne à la sécurité en ligne (sic ...) a poursuivi la plateforme X en justice, pour obliger la plateforme de médias sociaux d’Elon Musk à censurer les publications sur une agression au couteau dans une église à Sydney.
La commissaire Julie Inman-Grant a finalement annoncé sa décision d'abandonner les poursuites à la suite de plusieurs revers devant les tribunaux et de l’expiration d’une ordonnance temporaire de dissimulation des images.

Elle a affirmé : "Notre seul objectif et notre seul objectif en émettant notre avis de retrait étaient d’empêcher ces images extrêmement violentes de devenir virales, d’inciter potentiellement à d’autres violences et d’infliger plus de tort à la communauté australienne et je soutiens mes enquêteurs et les décisions prises par eSafety."

L’affaire a été un moment charnière dans les efforts de l’Australie pour imposer sa censure non seulement aux utilisateurs en Australie, mais aux utilisateurs du monde entier.

La branche des affaires gouvernementales de X a salué la nouvelle, déclarant : "Cette affaire a soulevé d’importantes questions sur la façon dont les pouvoirs légaux peuvent être utilisés pour menacer la censure mondiale de la parole, et nous sommes encouragés de voir que la liberté d’expression a prévalu."

Au départ, X a résisté à l’avis d’eSafety de retirer les vidéos, qui ont ensuite été classées comme un acte de terrorisme. Malgré une ordonnance de la Cour fédérale australienne lui enjoignant de cacher temporairement les images, X a défié la directive et a remis en question la validité de l’ordonnance initiale de retrait.

Le mois dernier, un tribunal a donné à X sa première victoire contre les demandes de censure du gouvernement, statuant contre un blocage temporaire. Musk a ouvertement critiqué la commissaire controversée Inman-Grant, la qualifiant de "commissaire à la censure" mondiale.

reclaimthenet.org/australia-drop…Image
3.
Cette bataille contre les prétendues désinformation et mésinformation sur la plateformes de RS, bien entendu "pour protéger la démocratie", vise en fait surtout la plateforme X et Elon Musk, coupable de soutenir Trump aux Etats-Unis, et de permettre la liberté d'expression sur X.
Tout doit être mis en oeuvre, dans le bloc occidental, pour abattre Musk et livrer X à la censure la plus stricte.
Je conseille à tous de bien écouter l'excellente interview de @Houdiakova pour @Tocsin_Media , de l'avocat @rbeauchard , sur la panique du deep state et du camp démocrate aux Etats-Unis, ce qui a pour conséquence une attaque dans tout le bloc occidental contre X.

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Sep 9
1.
A tous,

et spécialement à l'intention de @AllaPoedie de @24hPujadas , @BrunoTertrais @margothaddad @LASSERREISABEL1 @IsabelleLasser2 @G_Yakovleff @Majid91384679 de tous les journalistes et éditorialistes de @LCI et de @BFMTV ,

Voici le film documentaire "Living and Dying in the Donbass".

La guerre dans le Donbass a commencé dès mars 2014, une guerre civile menée par les populations très majorité russophones dans le Donbass et en Crimée, contre le gouvernement de Kiev issu d'un coup d'Etat monté par les néocons américains et les agences de renseignement américaine et britanniques.

Cette guerre civile a causé la mort de plus de 15.000 ukrainiens du Donbass, dont plusieurs centaines d'enfants, entre fin février 2014 et le 22 février 2022, jour du déclenchement de l'Opération Spéciale menée par l'armée Russe en Ukraine. Ces morts sont à mettre à la charge du régime néonazi fasciste de Kiev mis en place par les américains. Un régime avec une armée et des milices banderistes néonazis, financée, entrainée et hautement équipée par l'Otan, et qui ne tolérait aucune résistance au pouvoir illégitime mis en place par le coup d'Etat de l'Euromaidan, quel qu'en soit le prix.

C'est la raison pour laquelle dès avril 2014, l'armée ukrainienne et les bataillons néonazis financées et armées par Kiev et les oligarques ukrainiens tels que Kholomoïsky, ont été déployés contre le Donbass, et ont massivement bombardé des centres-villes, des quartiers résidentiels, des écoles, des hôpitaux, les infrastructures, tuant ainsi des milliers de civils pacifiques.

Ces crimes de guerre monstrueux ont été volontairement totalement ignorés par les médias occidentaux. Les politiciens occidentaux ont refusé d'aborder ce sujet. Parce que bien évidemment, ces crimes de guerre flagrants, le comportement terroriste de l'armée ukrainienne ne cadre pas avec les prétendues "valeurs occidentales" dont s'affuble le régime fasciste de Kiev.

Le documentaire "Living and Dying in the Donbass" a pour but de rendre visibles les crimes de guerre perpétrés par l'armée et les milices néonazies ukrainiennes contre la population martyr du Donbass. La population du Donbass n'aspire qu'à une chose, qu'elle puisse vivre selon ses règles et ses valeurs, auxquelles sont droit à l'autodétermination l'autorise. Sans se soumettre à un pouvoir et à une idéologie occidentale, étrangère.

odysee.com/@BacktoBasics:…
2.
DONBASS, film documentaire de 2016 d'Anne-Laure Bonnel, avec sous-titres en anglais.
Ce documentaire dénonce la guerre menée par les forces armées ukrainienne et les milices néonazies contre les populations civiles du Donbass entre février 2014et février 2022.

odysee.com/@IrinaBoykoCru…
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