1/ Cette semaine, la deuxième phase de la contre-offensive des FAU devrait commencer. La destruction du barrage de Kakhovka a donné aux FAU l'occasion de gagner du temps et de détruire des champs de mines à la fois du. réservoir de Kakhovka et en aval du Dniepr.
2/ Les FAU continuent de lancer de petits groupes sur les îles du Dniepr. Après la destruction du barrage, plus de 10 tentatives de ce type ont été enregistrées toutes arrêtées par les russes.
3/ Des plans seraient en cours d'élaboration pour une offensive amphibie sur la péninsule de Kinburn (H1) et en amont du #Dniepr au nord-est de la centrale hydroélectrique de #kakhovskaya (H2). Si cela se vérifie H1 (FIXER) : peu de possibilité de pénétration dans la profondeur.
4/ H2 ( S'EMPARER) : de la centrale d'#Energodar avec combinaison ou non avec un assaut terrestre d'où l'effort actuel des FAU sur le secteur du front proche du Dniepr. Une telle offensive combinée pourrait se concrétiser dans les 10 jours à venir.
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2/ Les détenus représentent toujours le groupe le plus important du décompte. Pour l'instant, rien n'indique clairement où ils seront déployés après Bakhmut.
3/ La plupart des tués au combat viennent des régions de Sverdlovsk et de Tcheliabinsk, de Bachkirie, de Bouriatie et de la région de Volgograd. Les statistiques mensuelles sont les suivantes.
1/ Comment fonctionne la "ligne Surovkin": Depuis le 4 juin, les AFU ont lancé 263 attaques contre des positions russes dans le cadre de la contre-offensive. Toutes les attaques ont été repoussées, mais peu comprennent pourquoi l'offensive des FAU a bloqué.
2/ Qu'est-ce que la "Ligne Surovkine" ?
Il s'agit d'un système défensif, dont les premières positions se composent de dizaines postes de tir fortifiés, de vastes champs de mines et d'obstacles pour bloquer et canaliser les FAU vers des killing zones (artillerie, appui AS).
3/ Cette ligne a nécessité près de huit mois de construction et s'étend sur plusieurs dizaines de kilomètres de profondeur. Elle s'appuie sur un réseau logistique permettant aux forces russes de transférer rapidement des réserves mobiles tactiques d'un secteur à un autre.
1/ Trop de preuves tue la preuve. @EliMartichoux. Destruction du #barrage de #Kakhovka C'est les russes (of course). Hypothèse de l'accident? A écarter (of course parce que sinon c'est pas les russes). De spéculations en affirmations gratuites sans élément de preuve terrain.
2/ En fait on en revient au bon sens. Les russes ont la main sur les vannes qu’ils peuvent ouvrir et fermer à loisir pour provoquer, si nécessaire, une crue pouvant balayer les moyens de franchissement ukrainiens en aval. Détruire une installation stratégique pour la Crimée?
3/ Ce risque est majeur pour les ukrainiens. A contrario, une fois le barrage détruit dans le temps où le Dniepr retrouve son cours d’avant, cette menace disparaît pour les moyens de franchissement ukrainiens. Avantage militaire : temporaire russe, long terme ukrainien
2/ Addendum à l'étude initiale (thèse accident) . Pourquoi la thèse d’une démolition de l’évacuateur de crues à l’explosif semble très douteuse.
3/ Comment expliquer qu’il n’y ait qu’une seule secousse sismique enregistrée, alors que l’on voit sur des vidéos prises par le drone que l’évacuateur de crues et l’usine ne se sont pas rompus en même temps ?
1/Quid du rôle des hélicoptères russes sur le front de #Zaporizhzhia (Ka 52, Mi 28, Mi 24) ? Un hélicoptère d'attaque est l'une des armes anti-blindage les plus puissantes sur le champ de bataille moderne. asiatimes.com/2023/06/russia…
2/ Frank Barnaby estime dans le livre The Role and Control of Weapons in the 1990s qu'un hélicoptère au combat devrait être capable de détruire 17 fois sa valeur en chars avant d'être tué, hors coût de soutien et d'entretien des chars.
3/ Un rapport de novembre 2022 du @RUSI_org note que la Russie a initialement utilisé ses hélicoptères d'attaque pour mener des raids jusqu'à 50 km derrière les lignes de front ukrainiennes, mais a été forcée de changer de tactique en raison de lourdes pertes.
1/@LCI@DariusRochebin : « Est ce qu’il existe le risque que nous ayons été un peu trompé par de l’autosuggestions positives ? » Analyse rapide des raisons (pourquoi?) d'une Berezina médiatique qui s'annonce dans le fil qui suit.
2/ L'information à charge : en considérant que la communication ukrainienne relate la vérité et que celle des russes est de la propagande systématique. Alors que les deux belligérants pratiquent la propagande et le mensonge.
3/ La désinformation : en mettant en avant sans vérification et sans une élémentaire prudence les informations à la défaveur des russes.