Pour info à @BenoitDeveaud @GarciaVictor_ @FranckRamus @Acermendax
Quelques commentaires sur les propos de M. Pierre-Jean Benghozi, directeur de thèse de M. Idriss Aberkane
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1 "A l’époque, les logiciels antiplagiat n’étaient pas autant diffusés et pas encore utilisés spontanément"
-> Ben... les logiciels antiplagiat sont utilisés depuis 10 ans pour au moins 30 établissements universitaires français (dispos/obligatoires), sur les fichiers natifs et pas sur des pdf. Or, le chapitre 13 est un copier-coller de la documentation CEF sous forme d'image!
2. "mes collègues en informatique ne pensaient peut-être pas que le plagiat pouvait toucher leur discipline"
-> C'est faux. Des vérificateurs de code existent depuis 20 ans, y compris dans les universités où les projets Open Source sont courants, pour assurer l'originalité des docs soumis, et pour éviter des réutilisation non autorisée de code propriétaire (violation de brevets)
3. "J’ai accepté de superviser la partie qui concernait des modèles de gestion d’affaires, mais, comme je n’étais pas compétent en informatique et en science cognitive, j’ai demandé que d’autres collègues puissent me certifier que tout était régulier"
-> J'ai lu toute la thèse, et je n'ai pas pu détecter de traces de "modèles de gestion d'affaires". Si quelqu'un peut m'éclairer à ce sujet, ce serait volontiers.
"J’ai accepté de superviser la partie qui concernait des modèles de gestion d’affaires"
= les 12 premiers chapitres de la thèse
-> M. Benghozi, spécialiste du plagiat, et donc de la citation académique, ne détecte pas les problèmes de citations et références dans les 12 premiers chapitres de la thèse?
-> Des appels de citation sont absents ou incorrects, des références sont incomplètes, des références de de bibliographie de chapitres sont redondantes avec la bibliographie de la fin, des références appelées dans le texte sont mélangées à des références générales.
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