« (...) trois experts soulignent qu’il y a de plus en plus d’études qui démontrent un lien entre une infection et un risque accru de développer des maladies auto-immunes, des cancers ainsi que des maladies neurodégénératives et cardiovasculaires. »
« Le virus [SRAS-CoV-2] comporte un risque important de développer des maladies chroniques. Nous n’avons pas suffisamment communiqué cette information aux gens. Trop de personnes croient que la seule issue de la COVID-19 est d’être guéri ou de mourir. »
« Il y a encore un nombre ridicule de gens qui tombent malades. Ces millions de personnes malades [qui développent ensuite la COVID longue] s’ajoutent à toutes les personnes atteintes [de maladies post-infection]... »
Compte-rendu d'étude : « Les résultats montrent non seulement que le virus SARS-CoV-2 est retrouvé dans les poumons de certains individus jusqu’à 18 mois après l’infection, mais aussi que sa persistance semble liée à une défaillance de l’immunité innée »
« Certains virus, après avoir provoqué une infection, persistent dans l’organisme de façon discrète et indétectable. Ils subsistent dans ce que l’on appelle les "réservoirs viraux". (...) Cela pourrait également être le cas pour le virus SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19. »
« Autre résultat : la quantité de virus persistants dans les poumons était plus faible pour la souche Omicron que pour la souche originale du SARS-CoV-2. "Nous avons été vraiment surpris de retrouver des virus au sein de certaines cellules immunitaires, les macrophages...
« Des chiens infectés de façon expérimentale avec le variant Delta mais ne montrant pas de signes respiratoires ou neurologiques du Covid avaient des traces de maladie dégénérative du cerveau à l'autopsie »
« De l'ADN de SARS-CoV-2 a été détecté dans le cerveau [des chiens] aux semaines 10, 12 et 14 post-infection seulement. Les chiens infectés présentaient des changements anormaux à la barrière hémato-encéphalique (...). Les autopsies ont découvert des preuves que le virus...
... avait sévèrement endommagé les cellules de la barrière hémato-encéphalique et l'avaient traversée »
« Une étude sur 45 398 patients Covid diagnostiqués entre mars 2020 et août 2022 suggère que l'infection SARS-CoV-2 est liée à l'apparition d'une hypertension artérielle »
"L'hypertension a été évaluée durant le suivi dans les 3 à 9 mois suivant un test positif au Covid ou à la grippe (...). L'hypertension était définie comme une tension artérielle supérieure ou égale à 130/80 mmHg"
"Une nouvelle hypertension persistante a été vue chez 20,6% des Covid+ hospitalisés et 10,9% des Covid+ non hospitalisés."
Le nouveau variant avec 31 mutations sur le spicule trouvé en Israël et au Danemark a été appelé BA.2.86. Une autre séquence est apparue dans un troisième pays, les États-Unis (dans le Michigan).