📌J’ai tenté d’apporter dans cet article quelques éléments de réponse à une question que je me pose depuis plusieurs mois : pourquoi le discours écologique semble-t-il dans une impasse au sein du monde populaire, majoritaire en France ? 🧐
@lvslmedia
Focus sur le travail prospectif de @ademe , « Futurs en Transition », moins connu que celui de RTE et aux conclusions tout aussi passionnantes pour atteindre la neutralité carbone
➡️Pour vous, j’ai extrait l’essentiel du rapport de 650 pages 🧐!
Un 🧵⬇️
📌L'ADEME propose 4 scénarios contrastés visant à atteindre la neutralité carbone en 2050. Chaque scénario repose sur des choix de société différents allant d'une sobriété accrue (S1, « Génération frugale ») au choix techno-solutionniste ultime (S4, « Pari réparateur »).
L'étude regarde les conséquences de chaque « choix de société » sur nos modes de vie, notre alimentation, nos déplacements, notre manière de nous loger, les ressources consommées et nos choix de gouvernance. Ils nous aident à nous projeter dans la France « bas-carbone » de 2050 !
Pour comprendre les politiques publiques qui seront discutées, je vous propose aujourd’hui une vue à 360° des enjeux écologiques sur la ville de Trappes et des leviers à la main de la commune pour chacun d’entre eux.
Présentons tout d’abord la typologie du territoire. Trappes est une ville avec un tissu urbain dense (2 481 hab./km2), avec en orange foncé, l’habitat collectif, en clair le pavillonnaire, et entourée de deux zones d’activité de taille moyenne (en violet).
Trappes est composée d’un important quartier politique de la ville (QPV) de France, Merisiers-Plaine de Neauphle au centre et au nord (18 000 habitants), qui fait l’objet de deux programmes de renouvellement urbain (Quartiers Camus et quartier Cité-Nouvelle).