A tous,

Ce qui est en train de se passer est très grave. Ce qui importe, c'est la conjonction de toutes les opérations de censure totale des voix dissidentes qui se met en route en accéléré.
Au Etats-Unis, les passeports de Scott Ritter et de Judge Napolitano sont confisqués. Le gouvernement Biden et le deep state (dont le DNC - Democrates National Convention) instrumentalisent la justice, pour faire condamner Trump, sur des motifs inexistants et devant une "kangaroo court", coupable de 34 crimes dans son "procès" "kangaroo court" pour "hush money", (donc théoriquement, à passer sa vie en prison) ... , et deux jours après, tentent de faire fermer la chaine InfoWars d'Alex Jones, laquelle a des dizaines de millions d'auditeurs.
Et ça n'est que le début ...
En Europe, les Etats-membres dirigés par les partis mondialistes progressistes et bellicistes, tentent de museler la voix dissidente portée par la Hongrie de Viktor Orban, en le menaçant de supprimer le droit de vote de la Hongrie.
Tout se passe comme si les gouvernements des Etats-Unis et ses alliés de l'Otan, en panique devant la victoire inexorable de la Russie dans la guerre en Ukraine, étaient en train de se préparer à faire commettre par le SBU (et donc par la CIA et le MI6) une ou plusieurs opération sous faux drapeau, qui seront immédiatement mises sur le compte de la Russie, et qui justifieront l'entrée en guerre de l'Otan ... et donc la suppression des élections aux Etats-Unis, en Allemagne, en France, etc ... Et il faut bien évidemment faire préalablement taire toutes les voix dissidentes ....

1.
Confiscation du passeport de Scott Ritter - suite .

En confisquant arbitrairement le passeport de Scott Ritter, le Département d'Etat américain a violé les droits de Scott Ritter qui résultent du 1er et du 4ème Amendement de la Constitution des Etats-Unis. Rappelons que le passeport de Scott Ritter a été saisi alors qu'il embarquait dans un vol à destination de Saint Petersburg, Russie, pour se rendre au Forum Economique International de Saint Petersburg. Le passeport de Scott Ritter a été saisi par des officiers de la US Customs and Border Protection, agissant pour le compte du Département d'Etat américain.

Cet incident a déclenché des discussions et critiques, avec nombres d'accusations contre le gouvernement américain, lequel cherche à faire taire toutes les voix dissidentes. Le Département d'Etat a refusé de commenter le sujet, invoquant le respect de la vie privée .... 😡

Selon Dmitry Peskov, dans la mesure où Scott Ritter n'est normalement pas interdit de voyager à l'étranger, la confiscation de son passeport alors qu'il embarquait dans un vol à destination de Saint Petersburg, constitue la preuve manifeste d'une campagne destinée à empêcher les citoyens américains d'établir des contacts avec la Fédération de Russie.

2.
Notez bien que le passeport de Scott Ritter @RealScottRitter n'est pas le seul à avoir été confisqué par les US Customs pour le compte et selon les instruction du Département d'Etat. Le passeport de Judge Napoletano @Judgenap a également été confisqué. Le but est de faire taire les voix dissidentes, et de faire cesser toutes critiques sur le narratif guerrier du bloc occidental, emmené par les Etats-Unis.

3.
Cette affaire de confiscation de passeports de Scott Ritter et de Judge Napoletano, vient après celle d'Alex Jones, dont le site InfoWars va très prochainement être fermé par ordre d'un juge.

Les familles des personnes tuées dans la fusillade de l’école primaire Sandy Hook ont demandé à un juge de liquider la société de médias d’Alex Jones, y compris Infowars, immédiatement après que le légendaire animateur de talk-show a annoncé que le gouvernement fédéral orchestrait une prise de contrôle par la force de ses studios de diffusion.

Jones avait précédemment demandé au juge de lui donner le temps de réorganiser son entreprise alors que les familles de Sandy Hook exigeaient la collecte de 1,5 milliard de dollars qui leur avaient été accordés dans leurs verdicts farfelus contre lui.

Dimanche 2 juin 2024, les avocats des familles ont déposé une requête d’urgence devant le tribunal des faillites de Houston, doublant l’effort concerté pour fermer Infowars.

Free Speech Systems, la société mère d’Alex Jones, n’a "aucune perspective" d’élaborer un plan de réorganisation qui serait approuvé par le tribunal et n’a "pas réussi à démontrer l’espoir de commencer à satisfaire" leurs réclamations légales, ont écrit les avocats des familles de Sandy Hook.

Une audience dans l’affaire de faillite de Free Speech Systems était prévue lundi pour aborder le différend du plaignant sur les finances de la société.

Alex Jones a averti lors d’une émission d’urgence en direct samedi que les agents fédéraux pourraient verrouiller les portes du studio et liquider tous les actifs de diffusion au milieu des dépôts de bilan des familles devant le tribunal des faillites.

Dans une vidéo publiée vendredi 31 mai 2024 avec la légende : "BREAKING ! INFOWARS pourrait être fermé dans 48 heures", Alex Jones a déclaré que "L’État profond pense qu’il fait tomber Trump. Et quelques heures après avoir eu leur fausse condamnation, ils prennent des mesures pour fermer InfoWars dès maintenant."

Jones s’est exprimé sur les attaques contre sa plate-forme au cours des six dernières années, y compris la déplateformisation, l’ingérence de l’État profond et les procès truqués. Malgré ces défis, InfoWars a réussi à survivre grâce à un soutien public écrasant. Cependant, Alex Jones prévient que cette dernière attaque pourrait être le coup de grâce.

"J’ai appris à 16h00 aujourd’hui, il y a quelques heures à peine, qu’Infowars allait être fermé et fermé ce soir. Nous avons embauché des agents de sécurité ici, un entrepreneur privé. On leur a dit : "Préparez-vous à fermer les portes, à changer les serrures et InfoWars va être fermé", a déclaré Jones vendredi 31 mai.

La liquidation obligerait Jones à céder sa société, ses actifs et la plupart de ce qu’il possède à ses créanciers, y compris les familles Sandy Hook.
Sa maison et ses effets personnels seraient exemptés de liquidation de faillite.

Le tribunal n’a pas encore statué sur les stipulations de liquidation dans les cas de Jones.

Le 14 décembre 2012, une fusillade de masse à l’école primaire Sandy Hook de Newton, dans le Connecticut, a entraîné la mort de 20 enfants et de six membres du personnel. Adam Lanza a tué les enfants de l’école de Sandy Hook. La succession de Lanza a payé aux familles de Sandy Hook un total de 1,5 million de dollars dans son procès.

Jones a supposé à l’époque à l’antenne que le gouvernement américain avait peut-être falsifié ou dissimulé des informations sur la fusillade et a spéculé que le massacre aurait pu être mis en scène pour servir de prétexte ou de contrôle des armes à feu.

De nombreuses familles des victimes de Sandy Hook ont poursuivi Jones et ont gagné les deux procès dans le Connecticut et au Texas. Les proches affirment qu’ils ont été traumatisés par les remarques de Jones et que ses fans les ont harcelés et menacés de mort pendant des années.

La défense de Jones était son droit à la liberté d’expression et qu’il n’était pas responsable du harcèlement. Il a perdu.

Jones "dans de nombreux cas, n’a jamais mentionné les noms de nombreux plaignants qui l’ont poursuivi", rapporte Infowars. "Dans le deuxième montant le plus élevé pour les plaignants, le jury a accordé à l’agent du FBI William Aldenberg - que Jones n’a jamais mentionné par son nom - 90 millions de dollars de dommages compensatoires, malgré le fait qu’il n’avait aucun lien avec les enfants ou le personnel morts dans la fusillade de masse."

L’année dernière, Jones a démissionné pour déposer le bilan pour lui-même et Free Speech Systems après qu’un jury du Connecticut lui a ordonné de payer 965 millions de dollars de dommages et intérêts à 15 proches des victimes et 473 millions de dollars supplémentaires au jugement en honoraires d’avocat pour diffusion de "désinformation".

En octobre, le juge de district américain du Texas, Christopher Lopez, a statué que Jones ne pouvait pas utiliser les protections contre la faillite pour éviter de verser de l’argent aux familles des victimes de la fusillade de Sandy Hook.

thegatewaypundit.com/2024/06/sandy-…Image
4.
Un jour après que Donald Trump a été reconnu coupable de 34 crimes dans son "procès" (plutôt une véritable "kangaroo court") pour "hush money", un officier nommé par le tribunal supervisant la faillite d’InfoWars s’est apparemment rebellé vendredi 31 mai 2024, et a tenté de saisir et de fermer le studio d’Alex Jones sans ordonnance du tribunal, bien qu'Alex Jones ait déclaré avoir un "accord avec le juge [des faillites] pour continuer pendant des années".

Samedi 1er juin 2024, Jones a tenu un espace X de quatre heures, au cours duquel des partisans tels que le général Mike Flynn, Steve Bannon et Roger Stone ont commenté la situation. Tous trois ont suggéré à Jones de tenir bon et de résister pacifiquement.

Selon le commentateur et avocat 'Viva Frei' (David Freiheit), le Chief Restructuring Officer (CRO) nommé par le tribunal dans la faillite d’Infowars, Patrick Magill, "s’est présenté pour verrouiller l’endroit", ajoutant "apparemment en l’absence d’une ordonnance du tribunal".

"Ce sera le dernier spectacle d’Infowars, parce que j’ai appris hier qu’ils allaient cadenasser la porte et nous expulser hier soir." Jones a déclaré lors de l’espace InfoWars de samedi.

"Ils essaient de nous faire taire", nous a dit Jones lorsqu’on l’a contacté pour commenter.

Un CRO est généralement nommé en période de stress financier important et est chargé de superviser les sociétés de restructuration en faillite. Samedi, Jones a suggéré que son équipe juridique s’était entendue avec le juge dans la procédure de faillite concernant un calendrier à long terme pour la transition, et a plutôt été surprise par une embuscade de Magill pour saisir son studio.

"Ils veulent que nous fermions parce qu’en cas de faillite et de ce qui se passait, nous avons un chemin avec le juge pour continuer pendant des années, et le juge l’a signalé. Ainsi, différents groupes impliqués dans la faillite qui sera bientôt exposée ont littéralement pris la décision de fermer cet endroit et de mettre fin à mon émission", a déclaré Jones.

Le général Mike Flynn (à la retraite) a suggéré que cela faisait partie d’un jeu pour que le parti au pouvoir reste au pouvoir et paralyse les voix de l’opposition avant un éventuel faux drapeau instigué par l’OTAN en Europe afin de déclencher l’article 5 et de déclencher une guerre avec la Russie.
"Ils cherchent de grandes excuses pour rester au pouvoir et mettre fin à l’élection", a ajouté Flynn.

"C’est 2024. Donald Trump est condamné sur de fausses accusations de crime, et deux jours plus tard, la voix populiste la plus populaire qui a sans doute abouti à l’élection de Donald Trump en 2016, est maintenant fermée illégalement. Ils vont être au tribunal lundi, mais c’est ce qui se passe", a conclu Frei.

Jones a fondu en larmes samedi, en disant : « Nous allons battre ces gens. Je n’essaie pas d’être dramatique, mais cela a été un combat difficile », ajoutant "J’ai été la cible d’abus. J’ai été dupé par quelqu’un. Des dossiers fédéraux en secret ont affirmé que je commettais des crimes. C’était faux, bien sûr[...] C’est peut-être ma dernière performance."

Jones a cependant reçu une vague de soutien sur sa situation.



Voir ci-dessous la vidéo de Viva Frei @thevivafrei , un avocat connu pour sa couverture du mouvement des "Truckers For Feedom" au Canada en février 2022. Son associé Robert Barnes, présent dans les diffusions de @thevivafrei tous les dimanches, est Robert Barnes, et il est également l'avocat d'Alex Jones (Pro Bono). C'est pourquoi @thevivafrei connait tous les détails du procès truqué et instrumentalisé contre Alex Jones depuis plus de 4 ans.

zerohedge.com/political/alex…
5.
Mise à jour au 3 juin 2024:

La situation concernant la saisie des actifs d’Infowars pourrait s’aggraver dès demain, selon Health Ranger, un invité fréquent d’Infowars. Dimanche, Health Ranger a posté :

"La situation avec InfoWars fermé par le gouvernement s’accélère. Bien qu’InfoWars ait évité une balle au cours du week-end, probablement en raison de toute l’énorme vague de sensibilisation du public, les choses se réchauffent dès demain, et il y a une possibilité très réelle que les tribunaux tentent de fermer les bureaux d’InfoWars (verrouillage des portes, saisie d’équipement, etc.) DEMAIN (lundi 3 juin), et les forcer à rester hors ligne jusqu’à une prochaine audience d’urgence le 14 juin, au cours de laquelle le tribunal va apparemment décider si les actifs d’InfoWars doivent être immédiatement liquidés, mettant ainsi fin à l’infrastructure de diffusion d’InfoWars, ce qui a toujours été l’objectif de la cabale au pouvoir."

Le Post Millennial a contacté Owen Shroyer d’Infowars, qui a fourni un commentaire :

"Infowars est toujours le cas d’école, le premier à frapper les barbelés. La censure, la guerre juridique, l’emprisonnement et potentiellement la fermeture. J’espère que les gens tiendront compte de l’avertissement avant de se rendre compte que le gouvernement Biden et le deep state veulent fermer tout le monde t museler toutes les voix dissidentes. Mais s’ils ferment Infowars, ce sera comme le coup de feu entendu dans le monde entier."

thepostmillennial.com/breaking-alex-…
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Jun 6
1.
A tous,

Gravissime !!

La Commission européenne mène une guerre contre la liberté d’expression depuis un certain temps déjà.
Elle s’attaque à la propagation de la désinformation et de la mésinformation en ligne pour "assurer la protection des valeurs européennes et des systèmes démocratiques". Puis le 5 juillet 2022, le Parlement européen a approuvé la loi sur les services numériques (DSA) pour "régir les pratiques de modération du contenu des plateformes de médias sociaux" et lutter contre les contenus illégaux.

Mais maintenant, l’UE envisage d’étendre la surveillance numérique à tous les citoyens. La Commission européenne souhaiterait accéder à des "portes dérobées" dans n’importe quoi, des applications de messagerie aux assistants domestiques en ligne.

La Commission européenne envisage donc une expansion majeure des pratiques de surveillance dans le bloc qui pourrait potentiellement affecter tous les citoyens de l’UE, a rapporté mardi le média allemand t-online, citant des projets de recommandations confidentiels qu’il avait vus. Ce groupe d'experts a été mandaté par la Commission européenne. Pour le moment, ce document n'est pas visible en ligne.

Ce document propose 42 points "pour une surveillance plus stricte" sur 28 pages. Des travaux sont également en cours sur la mise en œuvre éventuelle de ces plans. Les défenseurs des données tirent la sonnette d’alarme. Ils craignent une réduction sans précédent de la vie privée de chaque citoyen de l’UE par le biais de ces plans.Image
3.
Le projet est intitulé "Recommandations du Groupe de haut niveau sur l’accès aux données pour une application efficace de la loi". En allemand, donc : recommandations du groupe d’experts sur la manière dont l’accès aux données numériques peut être réglementé afin de garantir des poursuites efficaces.
La Commission veut prendre des mesures contre la criminalité organisée et également reconnaître et combattre le terrorisme à un stade précoce. De cette manière, la législation pourrait être adaptée aux nouvelles possibilités techniques des criminels, qui opèrent de plus en plus dans l’espace numérique et planifient d’éventuels actes.
Ca, ce sont les raisons officielles .... "lutter contre le terrorisme".
Mais dans la réalité, il s'agit de mettre tous les Européens sous surveillance totale.
Read 11 tweets
Jun 5
1.
Le 5 juin 2024, jour de l'annuelle "marche des drapeaux à Jérusalem", des colons Israéliens violents ont attaqué un journaliste Palestinien, et des Palestiniens âgés. La marche qui s'est déroulé dans le vieux Jérusalem a été marquée par des slogans racistes et des appels à détruire les villages Palestiniens. Des hommes politiques d'extrême droite ont participé à cette marche des drapeaux, lesquels sont réputés pour leur agressivité et leur mépris des droits des Palestiniens. Malgré la présence de la police israélienne, il n'y a pas eu d'interventions pour éviter cette violence.
2.
Des Israéliens d’extrême droite ont attaqué des journalistes et des commerçants palestiniens mercredi 5 juin 2024, alors que des centaines de personnes défilaient à travers Jérusalem-Est occupée pour célébrer la domination israélienne de la ville.

La "marche du drapeau" annuelle, qui fait partie de la fête de la Journée de Jérusalem, commémore l’occupation de la ville par Israël en 1967. Elle traverse des quartiers à majorité musulmane de la vieille ville de Jérusalem-Est.

Mercredi après-midi, un grand nombre de colons israéliens ont commencé à défiler à proximité de la porte de Damas, la principale entrée de la vieille ville pour les Palestiniens de Cisjordanie occupée et de Jérusalem-Est.

Les colons ont affronté les propriétaires de magasins palestiniens, exigeant qu’ils ferment leurs magasins avant le rassemblement.

Les colons ont jeté des pierres et des bouteilles sur les Palestiniens et ont scandé des slogans incendiaires, notamment "mort aux Arabes" et "Mahomet est mort".
3.
Le journaliste de Haaretz, Nir Hasson, a été jeté au sol et frappé à coups de pied par des jeunes Israéliens avant que les policiers n’interviennent, a rapporté le journal.

Plusieurs vidéastes ont également été attaqués, alors que de jeunes Israéliens tentaient d’empêcher violemment les journalistes de les filmer.

Le photographe palestinien Ghassan Eid figurait parmi les blessés lors des affrontements.

Cinq personnes ont été arrêtées pour avoir attaqué des journalistes, a annoncé la police israélienne mercredi après-midi.
Read 14 tweets
Jun 5
1.
Vous savez tous que le gouvernement des Maldives, devant la situation dramatique à Gaza et le génocide en cours commis par l'armée israélienne (sans oublier la purification ethnique à bas bruit, en cours à l'encontre des Palestiniens de Cisjordanie), a décidé d'interdire à tout israélien de se rendre sur l'île et l'archipel. Le président maldivien Mohamed Muizzu a ainsi annoncé dimanche 2 juin 2024 qu’il allait imposer une interdiction des passeports israéliens, sans donner de détails sur la date d’entrée en vigueur de la nouvelle loi.

En réponse, le ministère israélien des Affaires étrangères a recommandé à ses citoyens de ne pas se rendre aux Maldives, y compris ceux qui ont la double nationalité.

Et les Etats-Unis, fous de rage, ont décidé par mesure de rétorsion de prendre des sanctions contre les Maldives ... C'est dire le degré de soumission des politiciens américains à Israël !! Le législateur américain décide donc de retirer son aide aux Maldives en raison de l’interdiction des passeports israéliens .... 😡😡
2.
Le démocrate Josh Gottheimer veut restreindre l’aide américaine aux Maldives en réponse à l’interdiction du pays pour les détenteurs de passeports israéliens..

Les législateurs américains envisagent de légiférer pour punir les Maldives d’avoir interdit aux détenteurs de passeports israéliens de visiter la nation insulaire idyllique à majorité musulmane.

La législation est dirigée par le législateur démocrate pro-israélien Josh Gottheimer, selon Axios. Cela conditionnerait l’aide américaine aux Maldives à l’autorisation des détenteurs de passeports israéliens d’entrer dans le pays.Image
3.
Il faut savoir qu'Israël et les Maldives n’ont pas de relations diplomatiques depuis 1974, mais les Israéliens ont été autorisés à visiter la pittoresque nation insulaire depuis le début des années 1990, lorsqu’elle a levé une interdiction précédente sur le tourisme israélien. Selon le ministère du Tourisme des Maldives, 528 Israéliens ont visité le pays au premier trimestre de cette année, soit une baisse de 89 % par rapport aux 4 644 du premier trimestre 2023.

La nation de l’océan Indien a reçu 36 millions de dollars d’aide étrangère bilatérale des États-Unis depuis 2018, selon le département d’État.

"L’argent des contribuables ne devrait pas être envoyé à un pays étranger qui a interdit à tous les citoyens israéliens de se rendre dans leur pays", a déclaré Gottheimer dans une déclaration à Axios.

La nation insulaire a une longue histoire de soutien à la Palestine et d’opposition à Israël. Les groupes pro-israéliens affirment que les Maldives ont voté à 100 % contre Israël à l’ONU depuis 2015.
Read 5 tweets
Jun 5
1.
A tous,

Israël a secrètement ciblé les législateurs américains avec une campagne d’influence sur la guerre de Gaza, afin d'obtenir leur approbation.
C'est ce qui vient d'être révélé par le NYT, journal pourtant mainstream et outil de la CIA ....
2.
Israël a organisé et financé une campagne d’influence fin 2023, ciblant les législateurs américains et le public américain avec des messages pro-israéliens, dans le but de favoriser le soutien à ses actions dans la guerre dans la bande de Gaza, selon des responsables impliqués et des documents liés à l’opération.

La campagne secrète a été commandée par le ministère israélien des Affaires de la diaspora, un organisme gouvernemental qui relie les Juifs du monde entier à l’État d’Israël, ont déclaré quatre responsables israéliens. Le ministère a alloué environ 2 millions de dollars à l’opération et a engagé Stoic, une société de marketing politique à Tel Aviv, pour la mener à bien, selon les responsables et les documents.
3.
La campagne a débuté en octobre 2023, et reste encore active sur la plateforme sociale X.

À son apogée, la société Stoic, mandatée par le Ministère israélien de la Diaspora, a utilisé des centaines de faux comptes qui se faisaient passer pour de vrais Américains sur X, Facebook et Instagram pour publier des commentaires pro-israéliens.
Les comptes se concentraient sur les législateurs américains, en particulier ceux qui sont noirs et démocrates, comme le représentant Hakeem Jeffries, le chef de la minorité à la Chambre des représentants de New York, et le sénateur Raphael Warnock de Géorgie, avec des messages les exhortant à continuer à financer l’armée israélienne.

Ceci est tout à fait explicable, étant donné que les membres du Congrès et du Sénat républicains sont très favorables à Israël, compte tenu du financement massif de leur campagnes électorales par l'énorme lobby pro-sioniste qu'est L'AIPAC (lequel n'est évidemment pas répertorié par la loi FARA comme un organisme d'influence étranger ...)
Read 14 tweets
Jun 5
1.
Incroyable ! Ils n'ont absolument aucune honte !!
Après que les pressions exercées par le Mossad contre les juges du TPI ont été révélées, c'est maintenant les Etats-Unis, agissant comme le bras armé d'Israël, et dans le propre intérêts des criminels de guerre américains, coupables de crimes dans les guerres sans fin menées par les Etats-Unis au Moyen-Orient, qui tentent de faire passer un projet de loi sanctionnant les juges du TPI.
La Chambre des Représentants, à majorité républicaine, a en effet voté en faveur d'un projet de loi qui imposerait des sanctions contre le TPI, après que son procureur a requis un mandat d'arrêt contre #NetanyahuToTheHague , et contre #GallantToTheHague , pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. La proposition de loi votée par la Chambre des Représentants vise à bloquer l'entrée sur le territoire américains, aux officiels du TPI chargés de l'enquête.
Ce projet de loi a soulevé des critiques virulentes, dont celles adressées aux Etats-Unis qui protègent Israël et qui violent la loi internationale.

Un 🧵sur le sujet.
2.
Le 29 mai 2024, une enquête publiée par @guardian révèle comment les services de renseignement israéliens ont surveillé, diffamé et menacé pendant neuf ans des responsables de la CPI.
Avec un objectif : éviter une enquête sur les crimes de guerre en Palestine.

Selon l'enquête du @guardian , l’ex-directeur des services secrets israéliens a tenté de faire pression et menacé la procureure de la CPI de l’époque afin qu’elle n’ouvre pas d’enquête sur des accusations de crimes de guerre en territoires palestiniens.

Pour empêcher les juridictions pénales internationales d’enquêter sur ses crimes commis dans les territoires palestiniens, Israël est prêt à tout.
Israël a mené une "guerre' secrète contre la Cour pénale internationale (CPI) pendant près de 10 ans.
@guardian et deux médias indépendants, révèlent comment l’Etat hébreu a tenté, durant 9 ans, de saboter les poursuites pour crimes de guerre à son encontre.

Selon ces 3 médias, l’Etat hébreu a déployé ses agences de renseignement pour "surveiller, pirater, faire pression, diffamer et menacer" les hauts responsables de la CPI afin de faire dérailler les investigations qui pourraient lui porter préjudice.

Une enquête menée par le Guardian et les magazines israéliens +972 et Local Call a en effet révélé comment Israël a mené une "guerre" secrète de près de dix ans contre la Cour. Le pays a déployé ses agences de renseignement pour surveiller, pirater, faire pression, salir et menacer les hauts responsables de la CPI dans le but de faire dérailler les enquêtes de la CPI.

Les services de renseignement israéliens ont capturé les communications de nombreux responsables de la CPI, dont Khan et son prédécesseur au poste de procureur, Fatou Bensouda, interceptant des appels téléphoniques, des messages, des courriels et des documents.

La surveillance s’est poursuivie ces derniers mois, fournissant au Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, une connaissance préalable des intentions du procureur. Une récente communication interceptée a suggéré que Khan voulait émettre des mandats d’arrêt contre des Israéliens mais subissait "une pression énorme de la part des États-Unis".

Netanyahu s’est intéressé de près aux opérations de renseignement contre la CPI et a été décrit par une source du renseignement comme étant "obsédé" par les interceptions sur l’affaire. Supervisés par ses conseillers à la sécurité nationale, les efforts ont impliqué l’agence d’espionnage nationale, le Shin Bet, ainsi que la direction du renseignement de l’armée, Aman, et la division de cyber-renseignement, l’unité 8200. Les renseignements glanés lors des interceptions étaient, selon des sources, diffusés aux ministères de la Justice, des Affaires étrangères et des Affaires stratégiques.

Pour arriver à ses fins, le Mossad a intercepté les communications (appels téléphoniques, messages, emails et documents) de plusieurs fonctionnaires de la juridiction basée à La Haye, dont le procureur général actuel, Karim Khan, et sa prédécesseure, Fatou Bensouda.
Des enregistrements, des photos prises lors de voyages privés, des pièges dans des hôtels...

L’ancien directeur du Mossad israéliens a voulu recruter Fatou Bensouda comme agent étranger d'Israël pendant qu'elle était Procureur de la Cour pénale internationale.
Le Mossad a obtenu des transcriptions d’enregistrements secrets de son mari, des enregistrements qu'ils auraient voulu utilisé pour l'influencer.
Le Mossad a également menacé la fille du procureur de la Cour pénale internationale

L'ancien directeur de cette agence d'espionnage israélienne, Yossi Cohen, a été impliqué dans un complot contre Fatou Bensouda, alors procureure générale de la CPI, pour lui faire abandonner une enquête ouverte en 2015 sur les crimes contre l'humanité commis par Israël contre les Palestiniens, dans les territoires occupés.
À l'époque, Cohen dirigeait encore le Mossad et l'utilisait pour tenter de soudoyer Bensouda, mais lorsque cela a échoué, il a continué à l'extorquer "avec un comportement de plus en plus persistant et menaçant", l'avertissant qu'ils feraient du mal même à sa fille.
"Vous devriez nous aider et nous laisser prendre soin de vous, car vous ne voulez pas vous lancer dans quelque chose qui pourrait mettre en danger votre sécurité ou celle de votre famille."
Le Mossad est devenu obsédé par la famille de Bensouda et a obtenu des transcriptions des enregistrements de son mari pour la faire chanter ou la discréditer.
Cohen avait même sous contrôle le président d'un pays, Joseph Kabila, qui gouvernait à l'époque la République démocratique du Congo et l'avait aidé à préparer un piège pour le procureur de la CPI dans un hôtel de Manhattan.

Mais Cohen a échoué et Bensouda a poursuivi son enquête jusqu'à la fin de son mandat en 2021. Son travail sera poursuivi par son successeur, Karim Khan, qui a finalement émis un mandat d'arrêt contre le Premier ministre israélien et son ministre de la Défense.

Le Mossad a aussi bénéficié de l’aide de l’administration Trump, car Bensouda enquêtait également sur les soldats américains qui avaient commis des crimes contre l’humanité lors de l’invasion américaine de l’Afghanistan.
L'ancien président Donald Trump aurait pris part aux tentatives de manipulation. Entre 2019 et 2020, son administration aurait imposé des restrictions de visa et des sanctions à la procureure en chef.

Bien lire l'article ci-dessous, extrêmement complet, et qui fait froid dans le dos. Israël et #NetanyahuToTheHague ne reculent devant rien, et ce depuis largement plus de 10 ans ....

theguardian.com/world/article/…
3.
Et maintenant, aux Etats-Unis, la Chambre des Représentant, à majorité républicaine, a adopté le 4 juin 2024 une résolution qui imposerait des sanctions à la Cour pénale internationale si elle tentait de poursuivre les États-Unis ou leurs alliés, une décision défendue par les républicains alors que le parti se vante d’un fort soutien à Israël dans sa guerre contre le Hamas.

La loi sur la contre-action judiciaire illégitime, présentée par le représentant Chip Roy (R-TX), a été adoptée par la chambre basse, 247 contre 155, avec deux membres votant "présents". 27 membres n’ont pas voté. 42 démocrates se sont joints à 205 républicains pour voter en faveur de la résolution.
La résolution imposerait des sanctions à la CPI si elle s’engage dans des efforts pour "enquêter, arrêter, détenir ou poursuivre toute personne protégée des États-Unis et de ses alliés". Certaines de ces sanctions pourraient prendre la forme d’un blocage des transactions immobilières américaines, d’une interdiction de territoire aux États-Unis et de la révocation de tout visa que ces personnes pourraient posséder.

Le président Mike Johnson (R-LA) a fait l’éloge de la législation avant le vote lors d’une conférence de presse plus tôt mardi.
"Nous ne pouvons pas permettre que cela se poursuive", a déclaré Johnson à propos de la poursuite par la CPI de mandats d’arrêt contre les dirigeants israéliens. "Si la CPI était autorisée à faire cela et à s’en prendre aux dirigeants des pays dont elle n’est pas d’accord avec les actions, pourquoi ne s’en prendraient-elles pas à l’Amérique ?"
"Pourquoi n’émettraient-ils pas alors des mandats d’arrêt contre le prochain président des États-Unis ou l’un de nos responsables de la défense ? Pourquoi pas?" Johnson a poursuivi. "Nous savons que le président n’aime pas nous écouter, mais j’espère qu’il écoutera les membres d’au moins son propre parti."

Le projet de loi se dirige maintenant vers le Sénat, où il sera probablement ignoré par les dirigeants démocrates.
L’administration #BidenCorruption a en effet déclaré la semaine dernière qu’elle s’opposeraient à cette résolution.
"L’administration est profondément préoccupée par la précipitation insouciante du procureur de la CPI à demander des mandats d’arrêt contre de hauts responsables israéliens", a déclaré lundi un porte-parole de l’administration #BidenAttacksDemocracy #BidenDementia #BidenIsAJoke dans un communiqué. "Dans le même temps, l’administration s’oppose à l’imposition de sanctions contre la CPI, son personnel, ses juges ou ceux qui l’aident dans son travail".
"Il existe des moyens plus efficaces de défendre Israël, de préserver les positions américaines sur la CPI et de promouvoir la justice internationale et la responsabilité, et l’administration est prête à travailler avec le Congrès sur ces options", poursuit le communiqué.
Le porte-parole de la Maison Blanche, John Kirby, a fait écho à ce sentiment, déclarant aux journalistes : "Nous ne pensons pas que sanctionner la CPI soit la solution."

L’opposition de la Maison Blanche aux sanctions de la CPI marque une sorte de départ pour l’administration après que le secrétaire d’État Antony Blinken a semblé ouvert à pénaliser la Cour par le biais d’une législation.
Lors d’une audition devant la commission des relations étrangères du Sénat la semaine dernière, Blinken a déclaré aux législateurs "nous serons heureux de travailler avec le Congrès, avec cette commission sur une réponse appropriée" à la décision de la CPI, qu’il a qualifiée de "totalement erronée".

Le représentant Michael McCaul (R-Texas), chef de la commission des affaires étrangères, a été en pourparlers avec les démocrates des deux chambres et l’administration sur cette législation visant à imposer des sanctions aux responsables de la CPI pour avoir recommandé des accusations de crimes de guerre contre les dirigeants israéliens, y compris #NetanyahuToTheHague , pour leur conduite tout au long du conflit. McCaul avait espéré faire passer rapidement le projet de loi à la Chambre lorsque le Congrès retournera à Washington la semaine prochaine.





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Jun 5
1.
A tous, urgent!

D'après @DougAMacgregor , l'Otan est en train de planifier les moyens d'amener des troupes américains (boots on the ground in Ukraine) en première ligne, afin que les Etats-Unis, avec ses alliés de l'Otan, se batte contre la Russie, en cas de survenance d'un conflit à grande échelle avec la Russie.

Des corridors terrestres sont en train d'être mis en place afin d'accélérer les mouvements de troupes à travers l'Europe centrale, passant outre les obstacles des bureaucraties nationales.

Cette stratégie devrait permettre aux forces de l'Otan de réagir très vite, si Poutine devait décider que les forces Russes s'attaquent, au-delà de l'Ukraine, vers l'ouest, à des pays de l'Otan.

Des rapports suggèrent cependant que ces plans contiennent également des dispositions relatives à une attaque des forces Russes par l'Otan. Dans ce type de scenarios, les troupes de l'Otan pourraient être mobilisées à travers les corridors commençant en Italie, en Grèce, et en Turquie, afin de leur permettre de rejoindre les Balkans. Alternativement, les troupes de l'Otan pourraient avancer vers la frontière Nord de la Russie, à partir des pays Scandinaves.

Tous ces détails ont été précisés par @Telegraph .

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2.


Le Pentagone amasse du matériel dans les ports néerlandais depuis 2023.
3.
En théorie, les soldats américains pourraient arriver à l’un des cinq ports désignés, puis être transportés le long de routes logistiques prédéterminées sur le continent si une guerre européenne éclatait.

Le bloc militaire dirigé par les États-Unis prépare des couloirs terrestres qui permettraient aux troupes américaines de se précipiter sur les lignes de front en cas de guerre européenne, dans le but d’éviter une éventuelle "attaque russe", a rapporté le Telegraph.

En théorie, les soldats américains pourraient arriver dans l’un des cinq ports désignés, puis être transportés le long de routes logistiques prédéterminées sur le continent.

Selon les plans, Forces américaines atterrirait aux Pays-Bas et serait ensuite emmené aux Pays-Bas Pologne via l’Allemagne en train. D’autres options potentielles incluent l’utilisation des ports des Balkans, de la Norvège, de la Suède, de la Finlande, de l’Italie, de la Grèce et de la Turquie.

Le conflit ukrainien a démontré que les bases logistiques de Kiev sont particulièrement sensibles aux frappes de précision russes.
Selon le général de corps d’armée Alexander Sollfrank, commandant du Commandement interarmées de soutien et de facilitation (JSEC) de l’OTAN, les bases plus grandes, comme celles observées en Afghanistan ou en Irak, ne sont plus réalisables car elles peuvent être facilement ciblées et détruites.
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