1. Prenant de cours le prétendu "sommet pour la paix" #uapisssummit qui doit se tenir en Suisse les 15 et 16 juin 2024 (voir mon 🧵sur le sujet ), Poutine précise son plan de paix en Ukraine, et nomme les conditions des pourparlers de paix en Ukraine: Kiev doit retirer ses troupes des nouveaux territoires russes, et annoncer formellement que l'Ukraine ne rejoindra jamais l'Otan.
2. L’Ukraine doit retirer ses troupes des nouvelles régions de la Russie avant que des pourparlers de paix significatifs ne puissent commencer, a déclaré le président Vladimir Poutine.
Moscou rejette les revendications de souveraineté de Kiev sur cinq régions anciennement ukrainiennes, dont quatre ont rejoint la Russie au milieu des hostilités en cours. Les habitants des Républiques populaires de Donetsk et de Lougansk et des régions de Kherson et de Zaporozhye ont voté pour la transition fin 2022, bien que les hostilités se poursuivent dans toutes ces régions.
Les troupes ukrainiennes doivent être retirées de ces territoires, a déclaré Poutine vendredi lors d’une réunion avec le ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov et d’autres diplomates russe de haut rang.
"J’insiste sur l’ensemble du territoire de ces régions tel que défini par leurs frontières administratives au moment où elles ont rejoint l’Ukraine [en août 1991]", a déclaré Poutine.
"Notre camp ordonnera un cessez-le-feu et entamera des négociations à la minute où Kiev déclarera qu’il est prêt à prendre cette décision et commencera le retrait effectif des troupes de ces régions, et nous informera également officiellement qu’il ne prévoit plus de rejoindre l’OTAN", a promis le dirigeant russe.
Poutine a décrit les conditions après avoir condamné les soutiens occidentaux de Kiev pour l’avoir prétendument empêché de tenir des pourparlers de paix avec Moscou tout en accusant la Russie de rejeter les négociations.
"Nous comptons sur Kiev pour prendre une telle décision sur le retrait, le statut neutre et le dialogue avec la Russie, dont dépend l’existence future de l’Ukraine, indépendamment sur la base des réalités actuelles et guidée par les véritables intérêts du peuple ukrainien et non sur ordre occidental", a ajouté Poutine.
3. À ce stade, Moscou n’acceptera pas un conflit gelé, ce qui permettrait aux États-Unis et à leurs alliés de réarmer et de reconstruire l’armée ukrainienne, a affirmé Poutine. La résolution complète de la question impliquera que Kiev reconnaisse les quatre nouvelles régions ainsi que la Crimée comme faisant partie de la Russie, a-t-il insisté.
"À l’avenir, toutes ces positions de principe fondamentales devront être inscrites dans des accords internationaux fondamentaux. Naturellement, cela inclut la levée de toutes les sanctions occidentales contre la Russie", a déclaré Poutine.
L’acceptation de ces conditions permettra à toutes les personnes impliquées de tourner la page et de reconstruire progressivement les relations endommagées, a déclaré le président. À terme, un système de sécurité paneuropéen qui fonctionne pour toutes les nations du continent pourrait être créé, a ajouté Vladimir Poutine, notant que Moscou cherchait ce résultat depuis des années.
Les remarques liminaires du président russe ont eu lieu avant un sommet organisé par la Suisse censé promouvoir la paix en Ukraine. Kiev a insisté sur le fait que Moscou ne pouvait pas être invité à l’événement parce qu’il tenterait de le "détourner" en promouvant des alternatives à la "formule de paix" poussée par le gouvernement ukrainien.
Poutine a affirmé que l’événement visait à détourner l’attention de l’opinion publique des "vraies racines" du conflit et que #ZelenskyWarCriminal #ZelenskyIllegitimate #ZelenskyDictator avait usurpé le pouvoir en Ukraine après l’expiration de son mandat présidentiel le mois dernier. Rien d’autre que de la démagogie et des accusations contre la Russie ne peut sortir de la réunion suisse, a-t-il prédit.
4. Bien évidemment il y a fort à parier que les Etats-Unis n'accepterons jamais ce plan de paix, et ne permettront jamais à Kiev d'arrêter la guerre avant l'élection présidentielle américaine, prévue le 5 novembre 2024.
Mais l'histoire retiendra que Poutine a une nouvelle fois proposé à l'Ukraine de faire la paix.
Ceci est très important, surtout pour les Européens, et pour le peuple Ukrainien. Peut-être y aura-t-il une chance pour que d'autres généraux tentent un coup de force contre #ZelenskyWarCriminal #ZelenskyIllegitimate #ZelenskyDictator et négocie ensuite la paix avec la Russie, afin de sauvegarder le peuple ukrainien.
5. Enfin et surtout, le plan de paix proposé par Poutine enfonce un coin entre les dirigeants européens et les Etats-Unis. L'Allemagne est notoirement frileuse quant à une guerre sans fin menée en Ukraine et qui serait financée par l'Europe. Tant qu'une paix durable n'est pas négociée, l'économie allemande continuera de sombrer. #MacronLeFléau #MacronDémission #MacronLeTraitre #MacronLePsychopathe , quant lui, est fragilisé par la situation nationale en France, qu'il a lui même provoqué. Il en est devenu inaudible sur la scène internationale.
Poutine est parfaitement au courant de la vague des droites nationalistes qui ont submergé la très grande majorité des Etats membres de l'UE. Les peuples ne veulent plus financer cette guerre sans fin en Ukraine, qui les inquiète mais qui de fait ne les concerne pas.
C'est donc pour Poutine exactement le moment de proposer un plan de paix, et de réserver une déclaration aux peuples européens.
#Dernière_chance – "Le danger pour l’Europe n’est pas la Russie, mais sa dépendance critique - presque totale - à l’égard des Etats-Unis": Poutine tend la main aux Européens
"Si l'Europe veut rester l'un des centres indépendant du développement mondial et un pôle culturel et civilisationnel de la planète, elle doit entretenir de bonnes relations avec la Russie", a-t-il lancé.
"Ce qui nécessite de s'émanciper de sa relation toxique avec Washington que tout le monde peut voir à travers des «politiciens européens [qui] "avalent" la pression américaine, les scandales, la surveillance et l’achat de gaz américain coûteux".
Qualifiant de "pure absurdité» les spéculations sur une attaque russe de l’Europe, le chef d'Etat a estimé que «le moment [était] venu d’engager un large débat sur les garanties bilatérales et multilatérales de sécurité collective".
"Nous nous sommes approchés de manière inacceptable du point de non-retour", a-t-il souligné.
"Les appels à infliger une défaite stratégique à la Russie, qui possède le plus grand arsenal d’armes nucléaires, démontrent l’extrême aventurisme des politiciens occidentaux. Soit ils ne comprennent pas l’ampleur de la menace qu’ils créent eux-mêmes, soit ils sont obsédés par la croyance en leur propre impunité et en leur propre exclusivité."
"Ces deux éléments peuvent aboutir à une tragédie."
Il faut bien écouter le grand gaulliste qu'est @Guaino_Henri au micro de l'excellente journaliste qu'est @BlaiseElise , dont l'interview avec des questions pleines de sens, en respectant absolument les réponses et les temps de réflexion de son intervenant, sont un modèle du genre. C'est du vrai journalisme, comme celui dont font preuve @Houdiakova et @Poulin2012 , et dont les journaleux serpillères de @LCI @BFMTV @FranceTV et @TF1 feraient bien de s'inspirer.
Merci à @SierraTango74 pour l'info.
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2. Pour Henri Guaino, la situation explosive actuelle de la France s'inscrit dans un long processus de dégradation, dans tous les pays occidentaux, non seulement du niveau politique mais également de la cohésion sociale, de la vie en société.
Toutes les sociétés occidentales se fracturent, et selon les mots de René Girard, toute société trop divisée finit toujours par reconstruire son unité dans la violence.
En France, après les trente glorieuses, il y a eu de nombreux conflits pendant la guerre froide, mais tous ont été finalement maîtrisés, afin de ne pas sombrer dans un conflit généralisé, les souvenirs de WWII imprégnaient toutes les mémoires. Des règles économiques et politiques ont été mises en place pour contenir la violence du monde, et elles ont fonctionné. Et les dirigeants occidentaux et russes, confrontés à des crises comme celle des missiles de Cuba, n'ont pas écouté leurs va-t-en guerre qui voulaient chacun détruire l'empire du mal que représentait le camps d'en face. Kennedy et Krouchtiev ont désamorcés le conflit.
Tous les dirigeants doivent être capables de fixer des limites et de s'y tenir. Albert Camus rappelle toujours (dans sa pièce Caligula) que fixer des limites est fondamental. Et qu'il n'y a rien de pire que les absolutisme, quand vous poussez la logique jusqu'au bout, vous sombrez dans le crime. Personne n'a le droit d'être sans limite, sauf à s'autodétruire et à détruire tous les autres. Quand on a de grands pouvoirs, les responsabilité est encore plus grande, car on engage la vie des autres sur une grande échelle.
Pour un président de la république, la limite c'est celle du consentement de la société. Si par exemple 10% de la société estime qu'elle ne respectera pas les lois passées par la majorité, il n'y a plus de démocratie possible, plus de vie en société. Un président de la république en France ne peut pas gouverner contre son peuple, ne pas chercher à diviser, mais il doit gouverner pour l'ensemble de la société, rechercher l'unanimité. A défaut, la société explose. La question du consentement social est absolument essentielle.
Or on le voit par exemple sur le sujet de l'UE et sur le sujet de la guerre en Ukraine. Il y a une volonté absolue, chez Macron, de ne discuter avec personne, de ne pas associer les Français à une réflexion sur leur avenir global, sur les risques considérables encours dans le conflit ukrainien. Il y a une volonté constante, chez Macron, de ne pas tenir compte de l'avis du peuple français.
Et quand il n'a plus de limites, que ce soit pour des pans entiers de la société qui sombrent dans la violence, et les quartiers tenus par les dealers, ou pour les dirigeants tels que Macron, alors il n'y a plus de société, on va vers la guerre de tous contre tous.
3. Dans la pièce de théâtre écrite par Albert Camus sur l'empereur Caligula, celui-ci est en deuil car il vient de perdre son amante et soeur, Drusilla, il est désespéré. A la mort de Drusilla, Caligula avait besoin de tester ses limites en obtenant l'impossible. Il voulait la lune, mais il n'a pas réussi à l'obtenir.
Entre l'intendant, qui explique à Caligula qu'il doit se pencher sur des questions de Trésor Public de l'Empire à l'empereur fou. Caligula fait sortir tous les patriciens et dit à l'intendant qu'il souhaite s'entretenir avec lui d'un plan qu'l souhaite réaliser pour "bouleverser l'économie politique en deux temps".
Caligula se révèle alors tyrannique. Il souhaite s'arranger pour que tous les patriarches qui disposent d'une grande ou petite fortune déshérite leur enfant en faveur de l'Etat. Il compte également annoncer, de manière arbitraire, leur exécution à tour de rôle.
Scipion le conseiller de Caligula, dit que cette demande est impossible. C'est justement ce que souhaite Caligula, rendre possible l'impossible. Il prend conscience que son pouvoir n'a pas de limite et il veut en disposer. Caligula se rend compte qu'à part lui, personne n'est libre, et il compte enseigner la liberté à ses conseillers.
Caligula est obsédé par son pouvoir absolu et sa liberté illimitée, ce qui le pousse à poser des gestes tyranniques, comme ordonner l'exécution de jeunes innocents.
Sa maîtresse, Caesonia, essaie de l'avertir contre la notion de l'hybris, ou démesure, qui peut faire perdre leur humanité aux personnes occupant un position très élevée, mais Caligula refuse de l'écouter, et oblige même Caesonia à devenir sa complice dans de futurs actes immondes.
Cette pièce est d'une actualité brûlante, s'agissant de #MacronLeFléau #MacronLePsychopathe #MacronPervers #MacronLeTraitre .
Ecoutez bien l'extrait lu par le grand écrivain Albert Camus (extrait ORTF - disques Hadès 1966)
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1. Et voilà, les technocrates des institutions européennes continuent d'accélérer dans l'intégration folle de l'Ukraine et de la Moldavie, pays parmi les plus corrompus du monde, et ce dans un mépris total des peuples d'Europe, qui ont très largement exprimé leur défiance vis-à-vis de l'UE actuelle, par leurs votes aux élections du 9 juin 2024.
Les États membres de l’UE viennent en effet, le 14 juin 2024, de donner leur feu vert aux cadres de négociation de l’Ukraine et de la Moldavie. La procédure formelle d'accession à la qualité d'Etat membre de l'UE sera officialisée lors de la conférence intergouvernementale, prévue pour le 25 juin 2024. Bien évidemment, la Commission européenne s'engage pour le succès de ces négociations, c'est Pustula La Hyène elle-même qui le dit 😡😡
2. Les ambassadeurs auprès de l’UE se sont mis d’accord sur le principe des cadres de négociation pour les négociations d’adhésion de l’Ukraine et de la Moldavie.
La présidence belge de l’UE a déclaré qu’elle convoquerait les premières conférences intergouvernementales (CIG) le 25 juin, lorsque les ministres des Affaires européennes doivent se réunir à Luxembourg.
3. Une conférence intergouvernementale avec un pays candidat marque le début officiel des négociations d’adhésion, un processus qui prend généralement des années.
L’accord politique de vendredi 14 juin 2024 est intervenu après que la Commission européenne a déclaré le 7 juin 2024 que l’Ukraine et la Moldavie étaient suffisamment prêtes pour l’ouverture formelle des négociations d’adhésion à l’UE et qu’une majorité d’États membres avaient fait pression pour leur approbation.
La Hongrie, qui avait été le dernier Etat membre à résister à la décision, a retiré son veto de longue date après l’ajout d’une formulation supplémentaire sur les minorités nationales et la protection des langues minoritaires au cadre de négociation de l’Ukraine.
Cher @TribunePop23 , merci pour cette info.
J'ai alors pris le temps de regarder la totalité de l'entretien du Président serbe, Aleksandar Vucic, par le journaliste de l'hebdomadaire suisse Die Weltwoche.
Le journaliste est respectueux de son interlocuteur, et pose des questions intelligentes ... ce qui change de nos journaleux français serpillères du pouvoir macroniste.
Le président Vucic est très pessimiste, mais son raisonnement et tous les éléments évoqués sur la guerre du Kosovo et le deux poids deux mesure de l'ordre du monde défendu par un Bloc occidental en panique, dont les 300 ans de domination sur le reste du monde sont remis en question depuis une dizaine d'années, et accéléré avec la guerre en Ukraine, sont tous passionnant.
Voici la vidéo sous-titrée en français, de la totalité de l'interview du président serbe, Aleksandar Vucic, par le journaliste de l'hebdomadaire suisse Die Weltwoche' réalisée le 11 juin 2024.
Je vous conseille de bien l'écouter, ça vaut le coup !
2. Voici les points les plus importants de l'interview du président de la République de Serbie, Aleksandar Vucic, par un journaliste de l’hebdomadaire suisse Weltwoche – 11 juin 2024
✅La rhétorique s’aggrave de jour en jour et me rappelle la phrase d’un historien célèbre : "Le train a quitté la gare et personne ne peut l’arrêter."
✅Si les grandes puissances ne font rien bientôt, oui, je suis presque sûr que nous allons assister à un véritable désastre.
✅Si vous pariez que quelqu’un bluffe, cela signifie que vous n’avez pas de meilleures mains. Vous pensez simplement que l’autre personne a des cartes plus faibles. Vous n’en êtes pas sûr parce que vous ne connaissez pas et n’avez pas vu ses feuilles. Je suis toujours très prudent et prudent lorsque j’évalue les souhaits de Poutine ou son éventuel mouvement futur.
✅Ce qui complique encore la situation, c’est que tout le monde ne parle que de guerre. Personne ne cherche la paix. Personne ne parle de paix. La paix est presque un mot interdit !
✅Il est très étrange pour moi que personne n’essaie d’arrêter la guerre. Il y a une théorie différente – que je peux comprendre.
✅Je ne dis pas que j’approuve – que l’Occident pense qu’il peut facilement vaincre Poutine, qu’il veut l’épuiser en Ukraine et qu’ensuite il entrera dans l’espace et que la Russie avec son territoire actuel n’existera plus et que Poutine sera renversé, etc. Peut-être que c’est possible, mais...
✅Pourquoi est-ce que je dis que nous marchons au bord de l’abîme ? Analyser la situation de l’OTAN et des États-Unis. Ils ne peuvent pas se permettre de perdre la guerre en Ukraine.
✅Deuxièmement, la position de l’Europe et de l’Occident collectif en termes géopolitiques se détériorera tellement que personne ne pourra la régénérer et la renouveler.
✅Troisièmement, cela ouvrira une boîte de Pandore pour plus de mouvements et d’hostilités contre l’Occident collectif à l’avenir. Mais prenez l’autre côté. Si Poutine perd la guerre, il perdra (d’abord) personnellement tout. (Deuxièmement) Il n’aura pas la réputation de quelqu’un qui a créé un dénominateur commun pour Ivan, Pierre le Grand et Catherine la Grande.
✅Et troisièmement, la Russie n’existera pas et n’aura pas sa forme actuelle. Et puis quand vous avez ces deux parties si éloignées en termes de désirs et d’attentes, alors vous voyez que tout est en jeu !
✅Tout. Personne ne peut se permettre de perdre. Dans cette situation, nous nous rapprochons probablement d’un véritable désastre. Et puis nous arrivons à une autre question. Qui est prêt à perdre 1 million, 2 millions, 5 et 10 millions de personnes ? Demandez-vous. Je ne suis pas prêt à perdre une seule personne. Et nous n’y participerons pas. Mais c’est une question pour les autres.
✅Je ne peux pas dire la Troisième Guerre mondiale, mais je ne pense pas que nous soyons loin de ce grand conflit ! Pas plus de 3-4 mois ! Et il y a un risque que cela se produise encore plus tôt.
✅En Europe, les dirigeants agissent comme de grands héros, mais ils ne sont pas honnêtes et ils ne disent pas à leurs citoyens qu’ils paieront tous un lourd tribut en cas de guerre.
✅Le monde change même si nous ne voulons pas l’accepter et l’admettre, mais il change en effet quotidiennement et beaucoup plus rapidement que jamais. Et quand vous avez ce genre d’intérêts contradictoires, alors vous vous rapprochez de grands conflits et de grandes guerres. Et je ne vois pas comment quelqu’un peut l’arrêter.
✅J’aimerais le voir plus que tout pour être honnête. Aujourd’hui, je vérifiais les données concernant nos stocks d’huile, de farine, de sucre, de sel et tout le reste parce que je ne sais pas ce que demain nous apportera à tous.
1. Comme prévu, les alliés de l'Otan, menés par les Etats-Unis, et sa marionnette le régime de Kiev avec son président illégitime #ZelenskyWarCriminal #Zelenskyillegitimate #ZelenskyDictator , ont à l'unanimité immédiatement rejeté la proposition de paix que Vladimir Poutine a énoncée hier 14 juin 2024.
Rejet immédiat, les alliés de l'Otan, menés par les Etats-Unis, et sa marionnette le régime de Kiev avec son président illégitime #ZelenskyWarCriminal #Zelenskyillegitimate #ZelenskyDictator , estimant que la proposition Russe revenait à demander à l'Ukraine d'abandonner plus de 20% de son territoire. Le plan de paix proposé par la Russie a été discuté avant le #uepisssummit prévu aujourd'hui et demain en Suisse ... et auquel ne seront présent que les pays de l'Otan, ainsi que les pays financièrement ou militairement largement obligés des Etats-Unis. A l'exception de l'Inde, non alignée et faisant partie des BRICS, qui ne devrait envoyer qu'un diplomate de second rang ...
2. Réponse idiote de Stoltenterg, l'inamovible secrétaire général de l'Otan :
"Ce n'est pas à l'Ukraine de retirer ses forces, c'est à la Russie de le faire. C'est la preuve que Poutine n'est pas de bonne foi en proposant son plan de paix".
Réponse infantile, à l'image de Bloc occidental en panique ... Poutine a joué de main de maître en prenant le Bloc de cours😂😂😂
3. Et Vladimir Poutine avertit aujourd'hui 15 juin 2024, que 700.000 soldats russes sont engagés en Ukraine .
... Avis à bon entendeur salut, à l'intention de #ZelenskyyWarCriminal #ZelenskyyIllegitimayte #ZelenskyyDictator et à l'Otan ... 🤣🤣
1. Un sénateur américain de premier plan a trahi le secret le moins bien gardé de Washington sur l’Ukraine.
Le sénateur warmonger taré qu'est Lindsey Graham, a confirmé ce tous les prétendus défenseurs de l'Ukraine disent à voix basse: L'Ukraine est une "mine d'or" que les Etats-Unis ne peuvent pas se permettre de perdre ....
Le sénateur américain Lindsey Graham, un républicain belliciste taré qui aime les déclarations provocatrices, a provoqué un nouveau remue-ménage en claronnant ce qui reste le secret le moins bien gardé aux Etats-Unis. Dans une récente interview dans l’émission "Face the Nation" de CBS, Graham a fait valoir que Washington ne doit pas permettre à la Russie de gagner la guerre en Ukraine en raison des riches gisements de minéraux critiques sur le territoire ukrainien, qui valent 10 à 12 billions de dollars, selon le sénateur.
2. En particulier, Graham a fait trois affirmations : premièrement, que le contrôle russe sur cette "mine d’or" enrichirait Moscou et lui permettrait de partager les minéraux extraits avec la Chine ; deuxièmement, que l’Ukraine, si elle en garde le contrôle, pourrait être "le pays le plus riche de toute l’Europe" et "le meilleur partenaire commercial dont nous ayons jamais rêvé" ; et, troisièmement, que l’issue de la guerre en Ukraine est donc un "très gros problème". En effet, selon Graham, les enjeux sont si élevés que les États-Unis doivent aider Kiev à gagner "une guerre que nous ne pouvons pas nous permettre de perdre".
Il y avait d’autres déclarations frappantes dans cette interview, mais c’est ce passage qui a attiré le plus d’attention et de condamnation : Graham, soulignent les critiques, a révélé ce que le Hindustan Times, par exemple, appelle la "vraie raison pour laquelle les États-Unis aident l’Ukraine". Cette raison, en fin de compte, est commerciale, égoïste et stratégique. Voilà pour tous ces discours sur la "démocratie" et la "liberté" de Kiev.
3. L’Ukraine, pour les États-Unis, est un atout à utiliser – et à utiliser – dans un jeu géopolitique mondial beaucoup plus vaste, ou pour être précis, un ensemble d’actifs : en dehors d’un emplacement stratégique, de minéraux critiques, d’un sol de terre noire et d’un peu de gaz, il y a, bien sûr, des gens.
Graham a également appelé à une plus grande mobilisation militaire en Ukraine. Il est également tristement célèbre pour son immonde commentaire de mai 2023, lors d’une conversation avec Vladimir Zelensky, selon lequel "les Russes meurent" dans la guerre, alors que l’aide américaine était le "meilleur argent que nous ayons jamais dépensé". Outre la bêtise impardonnable et la méchanceté générale de la façon de penser fièrement brutale de Graham, pour faire "mourir" ces Russes, beaucoup d’Ukrainiens, bien sûr, doivent mourir aussi. Zelensky n’a pas semblé s’en soucier.
1. Les États-Unis craignent qu’Israël ne déclenche "de manière proactive" une guerre totale avec le Hezbollah.
Les tensions transfrontalières se sont intensifiées après qu’Israël a assassiné un haut commandant de la résistance dans le sud du Liban cette semaine, incitant le Hezbollah à lancer un barrage massif de roquettes.
De hauts responsables américains disent que le gouvernement est préoccupé par le fait qu’Israël envisage de prendre une "mesure proactive" contre la résistance libanaise sur son front nord et de déclencher une guerre à grande échelle "sans stratégie claire", selon un rapport du quotidien hébreu Walla.
"Les États-Unis craignent qu’Israël ne prenne une mesure proactive qui conduira à une guerre avec le Hezbollah ou qu’il ne soit entraîné dans une telle guerre sans stratégie claire et sans réfléchir quelques pas à l’avance aux conséquences d’un tel scénario", a déclaré le journaliste israélien Barak Ravid, citant des responsables américains anonymes.
Un 🧵rapide sur le sujet.
2. Washington a intensifié ses efforts diplomatiques pour éviter un tel scénario, le secrétaire américain à la Défense Lloyd Austin ayant récemment fait part de ces craintes à son homologue israélien, Yoav Gallant. Selon Ravid, les préoccupations de Washington découlent principalement de la possibilité d’être entraîné plus loin dans le conflit qui couve.
"Nous constatons une augmentation de l’activité dans le nord [d’Israël], et nous ne voulons pas que les choses dégénèrent en un conflit régional plus large... C’est quelque chose dont le secrétaire a longuement parlé avec M. Gallant hier", a déclaré jeudi 13 juin 2024 la porte-parole du Pentagone, Sabrina Singh.
3. Les États-Unis ont mis en garde Israël contre la guerre au Liban, ont déclaré des responsables américains et israéliens à Axios le 6 juin 2024.
Les responsables ont déclaré au média qu’une "guerre limitée" contre le Hezbollah au Liban, qui impliquerait une invasion terrestre israélienne, "pousserait probablement l’Iran à intervenir", même si l’opération reste dans des zones proches de la frontière.
Selon Axios, les États-Unis ont mis en garde Israël contre un scénario où des combattants pro-iraniens de Syrie, d’Irak et d’ailleurs pourraient affluer au Liban pour rejoindre les combats en cas d’extension de la guerre. Les responsables au Pentagone ont déclaré que l’armée israélienne et l’establishment de la défense sont de plus en plus préoccupés par le fait que la situation au Liban "atteint un tournant", a ajouté Axios.
"La situation s’est aggravée depuis mai parce que le Hezbollah a mené des attaques de drones plus réussies contre des cibles israéliennes qui n’ont pas été interceptées", a déclaré un haut responsable de l’armée israélienne.
Washington a averti que l’escalade n’était pas une "option réaliste", car il serait difficile de l’empêcher de "devenir incontrôlable", selon des responsables américains. L L’administration Biden estime qu’il est impossible de désamorcer la situation au Liban sans parvenir d’abord à un cessez-le-feu à Gaza. Cela survient après des mois de Washington et de Paris poussant des propositions de désescalade irréalisables pour le sud du Liban.
Les responsables israéliens ont récemment signalé que l’expansion de la campagne déjà aveugle de frappes aériennes contre le Sud-Liban, potentiellement en une invasion terrestre, pourrait être imminente. Les médias israéliens et les journalistes israéliens ont souligné qu’une décision de ce type serait dévastatrice pour Israël.
"La guerre avec le Hezbollah apportera un grand défi au front intérieur, car le nord et le centre seront confrontés à une menace d’une taille et d’une intensité auxquelles ils n’ont jamais été confrontés auparavant", a déclaré Amos Harel du journal Haaretz.
Il est difficile d’annoncer de bonnes nouvelles à l’horizon. Alors qu'Israël dans le neuvième mois de la guerre... une série de conversations menées au cours des deux dernières semaines avec des responsables des institutions de sécurité et militaires apportent "de plus en plus de preuves qu’Israël se dirige vers un échec multidimensionnel", a ajouté Harel.
Le journal Israel Hayom a rapporté le 7 juin 2024 que huit mois après le début de la guerre, seules deux réunions du cabinet ont eu lieu sur la situation dans le nord. "Il n’y a pas encore eu de discussion à ce sujet au niveau politique", a écrit le journal, ajoutant qu’aucun plan de guerre pour le Liban n’avait même été approuvé. Quels que soient les plans en cours d’élaboration, ils n’ont pas été fournis à la majorité des dirigeants politiques et du cabinet de guerre.
Les analystes israéliens ont déterminé que le lancement d’une attaque à grande échelle contre le Liban inciterait le Hezbollah à tirer des milliers de roquettes et de missiles de précision sur Israël par jour, ce qui, selon eux, ferait s’effondrer ses systèmes de défense aérienne.