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Thread sur les Rothschild đŸ§”
Sauce: @DrC_IET17

1743 : Mayer Amschel Bauer, un Juif Ă©domite ashkĂ©naze, naĂźt Ă  Francfort, en Allemagne, fils de Moses Amschel Bauer, prĂȘteur d'argent et propriĂ©taire d'une maison de comptabilitĂ©.

Moses Amschel Bauer place un panneau rouge au-dessus de la porte d'entrée de sa maison de comptabilité. Ce panneau est un hexagramme rouge (qui se traduit géométriquement et numériquement par le nombre 666) qui, sous les instructions de Rothschild, finira par figurer sur le drapeau israélien quelque deux siÚcles plus tard.Image
1760 : Au cours de cette décennie, Mayer Amschel Bauer travaille pour une banque appartenant aux Oppenheimer à Hanovre, en Allemagne. Il connaßt un grand succÚs et devient associé junior. Alors qu'il travaille dans la banque, il fait la connaissance du général von Estorff.

AprÚs la mort de son pÚre, Bauer retourne à Francfort pour reprendre l'entreprise de son pÚre. Bauer reconnaßt l'importance de l'hexagramme rouge et change son nom de Bauer en Rothschild, d'aprÚs l'hexagramme rouge ou le signe signifiant 666 suspendu au-dessus de la porte d'entrée (« Rot » signifie « rouge » en allemand, « Schild » signifie « signe » en allemand).

Devenu Mayer Amschel Rothschild, il dĂ©couvre que le gĂ©nĂ©ral von Estorff est dĂ©sormais attachĂ© Ă  la cour du prince Guillaume IX de Hesse-Hanau, l’une des maisons royales les plus riches d’Europe, qui a gagnĂ© sa fortune en louant des soldats hessois Ă  l’étranger pour d’énormes profits (une pratique qui se poursuit aujourd’hui sous la forme d’exportation de troupes de « maintien de la paix » dans le monde entier).

Il renoue donc avec le gĂ©nĂ©ral sous prĂ©texte de lui vendre des piĂšces de monnaie et des bibelots de valeur Ă  prix rĂ©duit. Comme il le prĂ©voit, Rothschild est ensuite prĂ©sentĂ© au prince Guillaume lui-mĂȘme qui est plus que ravi des prix rĂ©duits qu’il demande pour ses piĂšces et bibelots rares, et Rothschild lui offre une prime pour toute autre affaire que le prince peut lui proposer.

Rothschild devient ensuite un proche associĂ© du prince Guillaume et finit par faire des affaires avec lui et des membres de la cour. Il dĂ©couvre bientĂŽt que prĂȘter de l’argent aux gouvernements et Ă  la royautĂ© est plus rentable que de prĂȘter de l’argent Ă  des particuliers, car les prĂȘts sont plus importants et sont garantis par les impĂŽts de la nation.
1769 : Mayer Amschel Rothschild reçoit du prince William l'autorisation d'accrocher une pancarte sur la façade de ses locaux commerciaux déclarant qu'il est « M. A. Rothschild, nommé par nomination à la cour de son Altesse Sérénissime, le prince William de Hanau ».

1770 : Mayer Amschel Rothschild Ă©labore des plans pour la crĂ©ation des Illuminati et confie Ă  Adam Weishaupt, un juif ashkĂ©naze qui Ă©tait extĂ©rieurement catholique romain, son organisation et son dĂ©veloppement. Les Illuminati doivent ĂȘtre basĂ©s sur les enseignements du Talmud, qui sont Ă  leur tour les enseignements des juifs rabbiniques. Ils devaient ĂȘtre appelĂ©s les Illuminati car il s'agit d'un terme lucifĂ©rien qui signifie « gardiens de la lumiĂšre ».

Mayer Amschel Rothschild Ă©pouse Gutle Schnaper.
1776 : Adam Weishaupt achĂšve officiellement son organisation des Illuminati le 1er mai de cette annĂ©e. Le but des Illuminati est de diviser les goyim (tous les non-juifs) par des moyens politiques, Ă©conomiques, sociaux et religieux. Les camps opposĂ©s devaient ĂȘtre armĂ©s et des incidents devaient se produire afin qu'ils puissent : se battre entre eux ; dĂ©truire les gouvernements nationaux ; dĂ©truire les institutions religieuses ; et finalement se dĂ©truire les uns les autres.

Weishaupt infiltre bientÎt l'Ordre Continental des Francs-Maçons avec cette doctrine des Illuminati et établit les loges du Grand Orient pour en faire leur quartier général secret. Tout cela se faisait sous les ordres et le financement de Mayer Amschel Rothschild et le concept s'est répandu et est suivi dans les loges maçonniques du monde entier jusqu'à nos jours.

Weishaupt recrute également 2 000 adeptes rémunérés, dont les hommes les plus intelligents dans le domaine des arts et des lettres, de l'éducation, des sciences, de la finance et de l'industrie. Ils ont reçu pour instruction de suivre les méthodes suivantes afin de contrÎler les gens.

Ils utilisaient la corruption monĂ©taire et sexuelle pour obtenir le contrĂŽle d’hommes dĂ©jĂ  en haut lieu, Ă  diffĂ©rents niveaux de tous les gouvernements et dans d’autres domaines d’activitĂ©. Une fois que des personnes influentes Ă©taient tombĂ©es dans les mensonges, les tromperies et les tentations des Illuminati, elles devaient ĂȘtre maintenues en esclavage par l’application de chantages politiques et autres formes de chantage, de menaces de ruine financiĂšre, de dĂ©nonciation publique et de prĂ©judice fiscal, voire de mort pour elles-mĂȘmes et les membres de leur famille.
Les facultĂ©s des collĂšges et des universitĂ©s devaient former des Ă©tudiants possĂ©dant des capacitĂ©s mentales exceptionnelles appartenant Ă  des familles bien Ă©levĂ©es avec des tendances internationales, et les recommander pour une formation spĂ©ciale sur l’internationalisme, ou plutĂŽt sur la notion que seul un gouvernement mondial peut mettre un terme aux guerres et aux conflits rĂ©currents. Cette formation devait ĂȘtre fournie en accordant des bourses Ă  ceux sĂ©lectionnĂ©s par les Illuminati.
Toutes les personnes influentes piĂ©gĂ©es pour tomber sous le contrĂŽle des Illuminati, ainsi que les Ă©tudiants qui avaient Ă©tĂ© spĂ©cialement Ă©duquĂ©s et formĂ©s, devaient ĂȘtre utilisĂ©s comme agents et placĂ©s dans les coulisses de tous les gouvernements en tant qu’experts et spĂ©cialistes. C'Ă©tait pour qu'ils conseillent aux dirigeants d'adopter des politiques qui, Ă  long terme, serviraient les plans secrets de la conspiration mondiale des Illuminati et entraĂźneraient la destruction des gouvernements et des religions qu'ils avaient Ă©tĂ© Ă©lus ou nommĂ©s pour servir.
Pour obtenir le contrĂŽle absolu de la presse, Ă  l'Ă©poque le seul mĂ©dia de communication de masse qui diffusait des informations au public, afin que toutes les nouvelles et informations puissent ĂȘtre biaisĂ©es afin de faire croire aux masses qu'un gouvernement mondial est la seule solution Ă  nos nombreux et variĂ©s problĂšmes.
1784 : Adam Weishaupt donne l'ordre de lancer la Révolution française sous forme de livre, écrit par l'un des associés de Weishaupt, Xavier Zwack, et envoyé par courrier de Francfort à Paris. Cependant, en route, le courrier est frappé par la foudre, le livre détaillant ce plan est découvert par la police et remis aux autorités bavaroises.

En conséquence, le gouvernement bavarois ordonne à la police de perquisitionner les loges maçonniques de Weishaupt au Grand Orient et les domiciles de ses associés les plus influents. De toute évidence, les autorités bavaroises étaient convaincues que le livre découvert était une menace trÚs réelle émanant d'un groupe privé de personnes influentes, qui souhaitaient utiliser les guerres et les révolutions pour atteindre leurs objectifs politiques.

1785 : Le gouvernement bavarois interdit les Illuminati et ferme toutes les loges bavaroises du Grand Orient.

Mayer Amschel Rothschild déménage sa maison familiale dans une maison de cinq étages à Francfort qu'il partage avec la famille Schiff.
1786 : Le gouvernement bavarois publie les dĂ©tails du complot des Illuminati dans un document intitulĂ© « Les Ă©crits originaux de l’ordre et de la secte des Illuminati ». Il envoie ensuite ce document Ă  tous les chefs d’église et d’État d’Europe, mais malheureusement, leur avertissement est ignorĂ©.

1789 : En raison de l’ignorance europĂ©enne de l’avertissement du gouvernement bavarois, le plan des Illuminati pour une rĂ©volution française rĂ©ussit de cette annĂ©e Ă  1793. Cette rĂ©volution Ă©tait le rĂȘve des banquiers, elle a Ă©tabli une nouvelle constitution et a adoptĂ© des lois interdisant Ă  l’Église romaine de prĂ©lever des dĂźmes (impĂŽts) et a Ă©galement supprimĂ© son exemption d’impĂŽt.
1790 : Mayer Amschel Rothschild déclare :

« Laissez-moi Ă©mettre et contrĂŽler la monnaie d’une nation et je me fiche de savoir qui rĂ©dige les lois »

1791 : Les Rothschild obtiennent « le contrĂŽle de la monnaie d’une nation » par l’intermĂ©diaire d’Alexander Hamilton (leur agent dans le cabinet de George Washington) lorsqu’ils crĂ©ent une banque centrale aux États-Unis appelĂ©e la PremiĂšre Banque des États-Unis.

Cette institution est Ă©tablie avec une charte de 20 ans.
1798 : John Robison publie un livre intitulĂ© « Preuves d’une conspiration contre toutes les religions et tous les gouvernements d’Europe perpĂ©trĂ©e dans les rĂ©unions secrĂštes des francs-maçons, des Illuminati et des sociĂ©tĂ©s de lecture ». Dans ce livre, le professeur Robison de l’UniversitĂ© d’Édimbourg, l’un des plus grands intellectuels de son Ă©poque, Ă©lu en 1783 secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la Royal Society of Edinburgh, donne des dĂ©tails sur l’ensemble du complot des Illuminati de Rothschild.

Il explique qu’il avait Ă©tĂ© un franc-maçon de haut rang dans le rite Ă©cossais de la franc-maçonnerie et qu’il avait Ă©tĂ© invitĂ© par Adam Weishaupt en Europe, oĂč il avait reçu une copie rĂ©visĂ©e de la conspiration de Weishaupt. Cependant, bien qu’il ait prĂ©tendu y adhĂ©rer, le professeur Robison n’était pas d’accord et a donc publiĂ© son livre susmentionnĂ©. Le livre comprenait des dĂ©tails sur l’enquĂȘte du gouvernement bavarois sur les Illuminati et la RĂ©volution française.

Le 19 juillet de la mĂȘme annĂ©e, David Pappen, prĂ©sident de l'universitĂ© de Harvard, donna une confĂ©rence Ă  la classe de finissants sur l'influence que les LumiĂšres exerçaient sur la politique et la religion amĂ©ricaines.

A 21 ans, Nathan Mayer Rothschild quitte Francfort pour l'Angleterre, oĂč, grĂące Ă  une importante somme d'argent que lui a donnĂ©e son pĂšre, il crĂ©e une maison bancaire Ă  Londres.
1806 : Napoléon déclare que son « objectif est de retirer le pouvoir à la maison de Hesse-Cassel et de la rayer de la liste des puissances ».

En apprenant cela, le prince Guillaume IX de Hesse-Hanau fuit l'Allemagne, se rend au Danemark et confie sa fortune, évaluée à 3 000 000 $ à l'époque, à Mayer Amschel Rothschild pour qu'il la garde.

Nathan Mayer Rothschild Ă©pouse Hannah Barent Cohen, la fille d'un riche marchand londonien.

1808 : Nathan Mayer Rothschild a son premier fils, Lionel Nathan de Rothschild.

1810 : Sir Francis Baring et Abraham Goldsmid meurent. Nathan Mayer Rothschild reste le principal banquier d'Angleterre.

Salomon Mayer Rothschild se rend à Vienne, en Autriche, et crée la banque M. von Rothschild und Söhne.
1811 : La charte de la Banque Rothschild des États-Unis expire et le CongrĂšs vote contre son renouvellement. Nathan Mayer Rothschild n’est pas amusĂ© et dĂ©clare :

« Soit la demande de renouvellement de la charte est acceptĂ©e, soit les États-Unis se retrouveront impliquĂ©s dans une guerre des plus dĂ©sastreuses. »

Cependant, les États-Unis restent fermes et la charte n’est pas renouvelĂ©e, ce qui pousse Nathan Mayer Rothschild Ă  lancer une nouvelle menace :

« Donnez une leçon à ces Américains impudents. Ramenez-les au statut colonial. »

1812 : Soutenus par l’argent des Rothschild et les ordres de Nathan Mayer Rothschild, les Britanniques dĂ©clarent la guerre aux États-Unis. Le plan des Rothschild Ă©tait de faire en sorte que les États-Unis accumulent une telle dette dans cette guerre qu’ils devraient se rendre aux Rothschild et permettre le renouvellement de la charte de la First Bank of the United States, dĂ©tenue par les Rothschild.
1814 : En ce qui concerne les 3 000 000 $ que le prince Guillaume IX de Hesse-Hanau avait confiĂ©s Ă  Mayer Amschel Rothschild pour qu’il les garde, pour un compte rendu de ce qui s’est passĂ© ensuite, nous nous tournons vers l’EncyclopĂ©die juive, Ă©dition de 1905, volume 10, page 494, qui dĂ©clare :

« Selon la lĂ©gende, cet argent aurait Ă©tĂ© cachĂ© dans des tonneaux de vin et, Ă©chappant Ă  la recherche des soldats de NapolĂ©on lors de leur entrĂ©e Ă  Francfort, aurait Ă©tĂ© restituĂ© intact dans les mĂȘmes tonneaux en 1814, lorsque l’électeur (le prince Guillaume IX de Hesse-Hanau) serait revenu dans l’électorat (Allemagne). Les faits sont un peu moins romantiques et plus professionnels. »

Cette derniĂšre ligne indique que l’argent n’a jamais Ă©tĂ© restituĂ© par Rothschild au prince Guillaume IX de Hesse-Hanau.

L’encyclopĂ©die poursuit :

« Nathan Mayer Rothschild a investi ces 3 000 000 $ dans l’or de la Compagnie des Indes orientales, sachant qu’il en aurait besoin pour la campagne de Wellington dans la pĂ©ninsule. »

Nathan a rĂ©alisĂ© avec l’argent volĂ©,

« pas moins de quatre bénéfices :

sur la vente des titres de Wellington qu’il a achetĂ©s Ă  50 cents le dollar et encaissĂ©s au pair ;
sur la vente d’or à Wellington ;
sur son rachat ; et
sur son expédition au Portugal. »
1815 : Les cinq frĂšres Rothschild s’efforcent de fournir de l’or Ă  l’armĂ©e de Wellington (par l’intermĂ©diaire de Nathan en Angleterre) et Ă  l’armĂ©e de NapolĂ©on (par l’intermĂ©diaire de Jacob en France), et commencent leur politique de financement des deux camps dans les guerres. Les Rothschild aiment les guerres parce qu’elles gĂ©nĂšrent massivement des dettes sans risque.

C’est parce qu’elles sont garanties par le gouvernement d’un pays, et donc par les efforts de la population de ce pays, et peu importe si ce pays perd la guerre car les prĂȘts sont accordĂ©s sur la garantie que le vainqueur honorera les dettes du vaincu.

Alors que les Rothschild financent les deux camps dans cette guerre, ils utilisent les banques qu’ils ont rĂ©parties dans toute l’Europe pour leur donner l’opportunitĂ© de mettre en place un rĂ©seau de services postaux sans Ă©gal, composĂ© de routes secrĂštes et de coursiers rapides. Le courrier que ces coursiers transportaient devait ĂȘtre ouvert par ces coursiers et leurs coordonnĂ©es communiquĂ©es aux Rothschild afin qu’ils aient toujours une longueur d’avance sur les Ă©vĂ©nements en cours.

De plus, ces coursiers Rothschild étaient les seuls commerçants autorisés à traverser les blocus anglais et français. Ce sont eux qui tenaient également Nathan Mayer Rothschild au courant de l'évolution de la guerre afin qu'il puisse utiliser ces renseignements pour acheter et vendre à partir de sa position en bourse en fonction de ces renseignements.
L’un des coursiers de Rothschild Ă©tait un homme nommĂ© Rothworth. Lorsque la bataille de Waterloo fut remportĂ©e par les Britanniques, Rothworth s’envola pour la Manche et put transmettre cette nouvelle Ă  Nathan Mayer Rothschild, 24 heures avant le coursier de Wellington.

A cette époque, les obligations britanniques étaient appelées consuls et elles étaient négociées en bourse. Nathan Mayer Rothschild ordonna à tous ses employés de commencer à vendre des consuls. Ils firent croire à tous les autres négociants que les Britanniques avaient perdu la guerre, alors ils commencÚrent à vendre frénétiquement.

La valeur des consuls s’effondra donc et c’est Ă  ce moment-lĂ  que Nathan Mayer Rothschild ordonna discrĂštement Ă  ses employĂ©s d’acheter tous les consuls sur lesquels ils pouvaient mettre la main.

Lorsque la nouvelle arriva que les Britanniques avaient effectivement gagnĂ© la guerre, la valeur des consuls monta Ă  un niveau encore plus Ă©levĂ© qu’avant la fin de la guerre, laissant Ă  Nathan Mayer Rothschild un rendement d’environ 20 contre 1 sur son investissement.

Cela a donnĂ© Ă  la famille Rothschild le contrĂŽle total de l’économie britannique, devenue le centre financier du monde aprĂšs la dĂ©faite de NapolĂ©on, et a forcĂ© l’Angleterre Ă  crĂ©er une nouvelle Banque d’Angleterre, contrĂŽlĂ©e par Nathan Mayer Rothschild.

Il est intĂ©ressant de noter que 100 ans plus tard, le New York Times publiait un article affirmant que le petit-fils de Nathan Mayer Rothschild avait tentĂ© d’obtenir une ordonnance du tribunal pour empĂȘcher la publication d’un livre contenant cette histoire de dĂ©lit d’initiĂ©. La famille Rothschild a affirmĂ© que l’histoire Ă©tait fausse et diffamatoire, mais le tribunal a rejetĂ© la demande des Rothschild et a ordonnĂ© Ă  la famille de payer tous les frais de justice.

Retour en 1815, c’est l’annĂ©e oĂč Nathan Mayer Rothschild fait sa cĂ©lĂšbre dĂ©claration :

« Peu m’importe quelle marionnette est placĂ©e sur le trĂŽne d’Angleterre pour gouverner l’Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais. L’homme qui contrĂŽle la masse monĂ©taire britannique contrĂŽle l’Empire britannique, et je contrĂŽle la masse monĂ©taire britannique. »
Il se vantait d’avoir multipliĂ© par 2500, au cours des 17 annĂ©es qu’il avait passĂ©es en Angleterre, la somme de 20 000 ÂŁ que lui avait donnĂ©e son pĂšre, pour atteindre 50 millions de ÂŁ.

Les Rothschild utilisent Ă©galement leur contrĂŽle de la Banque d’Angleterre pour remplacer la mĂ©thode d’expĂ©dition de l’or d’un pays Ă  l’autre et utilisent Ă  la place leurs cinq banques rĂ©parties dans toute l’Europe pour mettre en place un systĂšme de dĂ©bits et de crĂ©dits papier, le systĂšme bancaire d’aujourd’hui.

À la fin de ce siĂšcle, une pĂ©riode connue sous le nom de « l’ùre des Rothschild », on estime que la famille Rothschild contrĂŽlait la moitiĂ© de la richesse mondiale.

Cependant, quelque chose qui ne s’est pas bien passĂ© pour les Rothschild cette annĂ©e-lĂ  a Ă©tĂ© le CongrĂšs de Vienne, qui a commencĂ© en septembre 1814 et s’est terminĂ© en juin de cette annĂ©e. La raison de ce CongrĂšs de Vienne Ă©tait que les Rothschild voulaient crĂ©er une forme de gouvernement mondial, pour leur donner un contrĂŽle politique complet sur une grande partie du monde civilisĂ©.
De nombreux gouvernements europĂ©ens Ă©taient endettĂ©s envers les Rothschild, ils pensaient donc pouvoir utiliser cette dette comme un outil de nĂ©gociation. Cependant, le tsar Alexandre Ier de Russie, qui n’avait pas succombĂ© Ă  la banque centrale Rothschild, n’a pas acceptĂ© le plan, de sorte que le plan de gouvernement mondial des Rothschild a Ă©chouĂ©.

EnragĂ© par cela, Nathan Mayer Rothschild a jurĂ© qu’un jour, lui ou ses descendants dĂ©truiraient toute la famille et les descendants du tsar Alexandre Ier. Malheureusement, il a tenu parole et 102 ans plus tard, les bolcheviks financĂ©s par les Rothschild ont tenu parole.

Il est intéressant de noter que le fanatique du gouvernement mondial et juif ashkénaze, Henry Kissinger, a fait sa thÚse de doctorat sur le CongrÚs de Vienne.
1816 : Le CongrĂšs amĂ©ricain adopte une loi autorisant une autre banque centrale dominĂ©e par les Rothschild, ce qui redonne aux Rothschild le contrĂŽle de la masse monĂ©taire amĂ©ricaine. Cette banque est appelĂ©e la Seconde Banque des États-Unis et bĂ©nĂ©ficie d'une charte de vingt ans. La guerre britannique contre l'AmĂ©rique se termine donc par la mort de milliers de soldats britanniques et amĂ©ricains, mais les Rothschild obtiennent leur banque.

1818 : AprĂšs que les Français eurent obtenu des prĂȘts massifs en 1817 afin de contribuer Ă  la reconstruction aprĂšs leur dĂ©faite dĂ©sastreuse Ă  Waterloo, les agents des Rothschild achetĂšrent de grandes quantitĂ©s d'obligations du gouvernement français, ce qui fit augmenter leur valeur.

Le 5 novembre, ils les vendirent sur le marchĂ© libre, provoquant une chute de leur valeur et une panique financiĂšre en France. Les Rothschild intervinrent alors pour prendre le contrĂŽle de la masse monĂ©taire française. C'Ă©tait la mĂȘme annĂ©e oĂč les Rothschild purent prĂȘter 5 000 000 ÂŁ au gouvernement prussien.
1821 : Kalmann (Carl) Mayer Rothschild est envoyĂ© Ă  Naples, en Italie. Il finit par faire beaucoup d’affaires avec le Vatican et le pape GrĂ©goire XVI lui confĂšre par la suite l’Ordre de Saint-Georges.

De plus, chaque fois que le pape reçoit Kalmann, il lui donne la main plutĂŽt que l’orteil habituel Ă  embrasser, ce qui montre l’étendue du pouvoir de Kalmann sur le Vatican.

1822 : L’empereur d’Autriche nomme les cinq frùres Rothschild barons. Nathan Mayer Rothschild choisit de ne pas prendre le titre.

1823 : Les Rothschild prennent le contrĂŽle des opĂ©rations financiĂšres de l’Église catholique dans le monde entier.

1827 : Sir Walter Scott publie son recueil en neuf volumes, La vie de NapolĂ©on et dans le deuxiĂšme volume, il dĂ©clare que la RĂ©volution française a Ă©tĂ© planifiĂ©e par les Illuminati (Adam Weishaupt) et financĂ©e par les changeurs d’argent d’Europe (les Rothschild).
1832 : Le prĂ©sident Andrew Jackson (7e prĂ©sident des États-Unis de 1829 Ă  1837) mĂšne la campagne pour son second mandat sous le slogan « Jackson et pas de banque ! » Ceci fait rĂ©fĂ©rence Ă  son plan de prendre le contrĂŽle du systĂšme monĂ©taire amĂ©ricain au profit du peuple amĂ©ricain, et non au profit des Rothschild.

1833 : Le prĂ©sident Andrew Jackson commence Ă  retirer les dĂ©pĂŽts du gouvernement de la deuxiĂšme banque des États-Unis contrĂŽlĂ©e par les Rothschild et les dĂ©pose plutĂŽt dans des banques dirigĂ©es par des banquiers dĂ©mocrates.

Cela provoque la panique chez les Rothschild qui font donc ce qu’ils font le mieux, Ă  savoir rĂ©duire la masse monĂ©taire, provoquant une dĂ©pression. Le prĂ©sident Jackson sait ce qu’ils manigancent et dĂ©clare plus tard :

« Vous ĂȘtes un repaire de voleurs et de vipĂšres, et j’ai l’intention de vous en chasser, et par l’Éternel Dieu, je vous en chasserai. »
1834 : Le leader révolutionnaire italien, Giuseppe Mazzini, est choisi par les Illuminati pour diriger leur programme révolutionnaire à travers le monde et occupera ce poste jusqu'à sa mort en 1872.

1835 : Le 30 janvier, un assassin tente de tirer sur le président Jackson, mais miraculeusement, les deux pistolets de l'assassin ratent leur coup. Le président Jackson affirmera plus tard qu'il savait que les Rothschild étaient responsables de cette tentative d'assassinat. Il n'est pas le seul, l'assassin, Richard Lawrence, qui a été déclaré non coupable pour cause de folie, s'est ensuite vanté que des personnes puissantes en Europe l'avaient embauché et ont promis de le protéger s'il était pris.

Les Rothschild acquiÚrent les droits sur les mines de mercure d'Almadén en Espagne. Il s'agissait à l'époque de la plus grande concession au monde et comme le mercure était un élément essentiel du raffinage de l'or ou de l'argent, cela donnait aux Rothschild un monopole mondial virtuel.
1836 : AprĂšs des annĂ©es de lutte contre les Rothschild et leur banque centrale en AmĂ©rique, le prĂ©sident Andrew Jackson rĂ©ussit finalement Ă  chasser la banque centrale des Rothschild du pays, lorsque la charte de la banque n’est pas renouvelĂ©e. Ce n’est qu’en 1913 que les Rothschild pourront crĂ©er leur troisiĂšme banque centrale en AmĂ©rique, la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale, et pour s’assurer qu’aucune erreur ne soit commise, ils confieront cette fois le projet Ă  l’un des leurs, Jacob Schiff.

Nathan Mayer Rothschild décÚde et le contrÎle de sa banque, N. M. Rothschild & Sons, est transmis à son frÚre cadet, James Mayer Rothschild.

1837 : Les Rothschild envoient l’un des leurs, August Belmont, un juif ashkĂ©naze, en AmĂ©rique pour sauver leurs intĂ©rĂȘts bancaires dĂ©faits par le prĂ©sident Andrew Jackson.

1840 : Les Rothschild deviennent les courtiers en lingots de la Banque d’Angleterre. Ils crĂ©ent des agences en Californie et en Australie.

1841 : Le prĂ©sident John Tyler (10e prĂ©sident des États-Unis de 1841 Ă  1845) oppose son veto Ă  la loi visant Ă  renouveler la charte de la Banque des États-Unis. Il reçoit alors des centaines de lettres le menaçant d’assassinat.

1844 : Salomon Mayer Rothschild achùte la United Coal Mines of Vítkovice and Austro-Hungarian Blast Furnace Company, qui deviendra l’une des dix plus grandes entreprises industrielles mondiales.

Benjamin Disraeli, un Juif ashkĂ©naze (qui deviendra par la suite Premier ministre britannique Ă  deux reprises – le seul Juif ashkĂ©naze reconnu Ă  le faire) publie Coningsby, dans lequel il dĂ©crit Nathan Mayer Rothschild comme,

« le Seigneur et le MaĂźtre des marchĂ©s monĂ©taires du monde, et bien sĂ»r virtuellement le Seigneur et le MaĂźtre de tout le reste. Il tenait littĂ©ralement en gage les revenus de l’Italie du Sud, et les monarques et les ministres de tous les pays sollicitaient ses conseils et Ă©taient guidĂ©s par ses suggestions. »
1845 : Le grand patriote amĂ©ricain, Andrew Jackson (7e prĂ©sident des États-Unis) dĂ©cĂšde.
Avant sa mort, on lui demande quelle a été sa plus grande réussite. Il répond sans hésitation :
« J'ai tué la banque ».

Cela fait rĂ©fĂ©rence au fait qu'il a banni la deuxiĂšme banque des États-Unis, les Rothschild, en 1836.
Jacob (James) Mayer Rothschild (qui avait épousé sa niÚce, Betty, la fille de Salomon Mayer Rothschild), désormais connu sous le nom de baron James de Rothschild, remporte le contrat de construction de la premiÚre grande ligne de chemin de fer à travers le pays.

Cette ligne s'appelait le Chemin de Fer du Nord et reliait initialement Paris à Valenciennes, puis rejoignit le réseau ferroviaire autrichien construit par son frÚre (et pÚre de sa femme, tout cela semble un peu sordide, n'est-ce pas) Salomon Mayer Rothschild.

1847 : Lionel De Rothschild, désormais marié à la fille de son oncle, Kalmann (Carl) Mayer Rothschild, est élu au siÚge parlementaire de la City de Londres.

Pour entrer au parlement, il fallait prĂȘter serment dans la vraie foi d'un chrĂ©tien. Lionel De Rothschild a refusĂ© de le faire car il Ă©tait juif et son siĂšge au parlement est restĂ© vacant pendant 11 ans jusqu'Ă  ce que de nouveaux serments soient autorisĂ©s. Il a dĂ» ĂȘtre un reprĂ©sentant inestimable pour sa circonscription, sachant qu'il n'a jamais pu voter sur aucun projet de loi puisqu'il n'a jamais Ă©tĂ© Ă©lu au parlement ! Je me demande comment il a rĂ©ussi Ă  conserver son siĂšge parlementaire pendant 11 ans ?
1848 : Karl Marx, un Juif ashkĂ©naze, publie « Le Manifeste communiste ». Il est intĂ©ressant de noter qu’au moment mĂȘme oĂč il travaille sur ce projet, Karl Ritter de l’UniversitĂ© de Francfort rĂ©digeait l’antithĂšse qui allait servir de base au « nietzschĂ©isme » de Friedrich Wilhelm Nietzsche. Ce nietzschĂ©isme a ensuite donnĂ© naissance au fascisme, puis au nazisme, et a Ă©tĂ© utilisĂ© pour fomenter les premiĂšre et deuxiĂšme guerres mondiales.

Marx, Ritter et Nietzsche Ă©taient tous financĂ©s et sous la direction des Rothschild. L’idĂ©e Ă©tait que ceux qui dirigeaient la conspiration globale pourraient utiliser les diffĂ©rences entre ces deux soi-disant idĂ©ologies pour leur permettre de diviser des factions de plus en plus grandes de la race humaine en camps opposĂ©s afin qu’elles puissent ĂȘtre armĂ©es et ensuite soumises Ă  un lavage de cerveau pour se battre et se dĂ©truire les unes les autres, et en particulier, pour dĂ©truire toutes les institutions politiques et religieuses. Le mĂȘme plan avait Ă©tĂ© avancĂ© par Weishaupt en 1776.

1849 : Gutle Schnaper, l’épouse de Mayer Amschel Rothschild, dĂ©cĂšde. Avant de mourir, elle dĂ©clarait nonchalamment :

« Si mes fils ne voulaient pas de guerres, il n’y en aurait pas. »
1858 : Lionel De Rothschild prend enfin son siĂšge au parlement lorsque l’obligation de prĂȘter serment dans la vraie foi d’un chrĂ©tien est Ă©largie pour inclure d’autres serments. Il devient le premier membre juif du parlement britannique.

1861 : Le prĂ©sident Abraham Lincoln (16e prĂ©sident des États-Unis de 1860 jusqu’à son assassinat en 1865) s’adresse aux grandes banques de New York pour tenter d’obtenir des prĂȘts afin de soutenir la guerre civile amĂ©ricaine en cours. Comme ces grandes banques Ă©taient fortement sous l’influence des Rothschild, elles lui proposent un accord qu’elles savent qu’il ne peut pas accepter, Ă  savoir un intĂ©rĂȘt de 24 % Ă  36 % sur toutes les sommes prĂȘtĂ©es.

Lincoln est trĂšs en colĂšre contre ce niveau d’intĂ©rĂȘt Ă©levĂ© et il imprime donc sa propre monnaie sans dette et informe le public que celle-ci a dĂ©sormais cours lĂ©gal pour les dettes publiques et privĂ©es.

1862 : En avril, 449 338 902 $ de la monnaie sans dette de Lincoln ont été imprimés et distribués. Il déclare à ce propos :

« Nous avons donnĂ© au peuple de cette rĂ©publique la plus grande bĂ©nĂ©diction qu’il ait jamais eue, sa propre monnaie papier pour payer ses propres dettes. »

La mĂȘme annĂ©e, le Times de Londres publie un article contenant la dĂ©claration suivante :

« Si cette politique financiĂšre malveillante, qui trouve son origine dans la RĂ©publique nord-amĂ©ricaine, devait devenir une rĂ©alitĂ©, alors ce gouvernement fournirait sa propre monnaie gratuitement. Il rembourserait ses dettes et serait sans dette. Il aurait tout l’argent nĂ©cessaire pour poursuivre son commerce. Il deviendrait prospĂšre au-delĂ  de tout prĂ©cĂ©dent dans l’histoire des gouvernements civilisĂ©s du monde. Les cerveaux et la richesse de tous les pays iront en AmĂ©rique du Nord. Ce gouvernement doit ĂȘtre dĂ©truit ou il dĂ©truira toutes les monarchies du globe. »
1863 : Le prĂ©sident Abraham Lincoln dĂ©couvre que le tsar de Russie, Alexandre II (1855-1881), a des problĂšmes avec les Rothschild et qu’il refuse leurs tentatives continuelles de crĂ©er une banque centrale en Russie. Le tsar apporte alors au prĂ©sident Lincoln une aide inattendue.

Le tsar donne l’ordre que si l’Angleterre ou la France interviennent activement dans la guerre civile amĂ©ricaine et aident le Sud, la Russie considĂ©rera cette action comme une dĂ©claration de guerre et prendra le parti du prĂ©sident Lincoln. Pour montrer qu’il ne plaisante pas, il envoie une partie de sa flotte du Pacifique au port de San Francisco et une autre partie Ă  New York.

La maison bancaire Rothschild de Naples, en Italie, C. M. de Rothschild e figli, ferme aprĂšs l’unification de l’Italie. Les Rothschild utilisent l’un des leurs en AmĂ©rique, John D. Rockefeller, pour crĂ©er une entreprise pĂ©troliĂšre appelĂ©e Standard Oil qui finit par prendre le dessus sur tous ses concurrents.
7 mars 1861 Lincoln nomme Salmon P. Chase, membre du CongrĂšs, au poste de secrĂ©taire au TrĂ©sor pour l’aider Ă  trouver un moyen de financer la guerre civile. (guerre = coĂ»teuse)

1864 : Rothschild, August Belmont, qui est dĂ©sormais le prĂ©sident national du parti dĂ©mocrate, soutient le gĂ©nĂ©ral George McClellan comme candidat dĂ©mocrate pour se prĂ©senter contre le prĂ©sident Abraham Lincoln lors des Ă©lections de cette annĂ©e. À la grande colĂšre de Belmont, le prĂ©sident Lincoln remporte l’élection.

1865 : Dans une déclaration au CongrÚs, le président Abraham Lincoln déclare :

« J’ai deux grands ennemis, l’armĂ©e du Sud devant moi et les institutions financiĂšres Ă  l’arriĂšre. Des deux, celui qui est Ă  l’arriĂšre est mon plus grand ennemi. »

Plus tard cette année-là, le 14 avril, le président Lincoln est assassiné, moins de deux mois avant la fin de la guerre civile américaine.
AprĂšs une brĂšve pĂ©riode de formation dans la banque londonienne des Rothschild, Jacob Schiff, un Rothschild nĂ© dans leur maison de Francfort, arrive en AmĂ©rique Ă  l’ñge de 18 ans, avec des instructions et le financement nĂ©cessaire pour acheter une maison bancaire lĂ -bas. Le but Ă©tait d’accomplir les tĂąches suivantes.

Prendre le contrÎle du systÚme monétaire américain en créant une banque centrale.
Trouver des hommes dĂ©sirables, qui, moyennant un prix, seraient prĂȘts Ă  servir de larbins aux Illuminati et les promouvoir Ă  des postes Ă©levĂ©s au sein du gouvernement fĂ©dĂ©ral, du CongrĂšs, de la Cour suprĂȘme et de toutes les agences fĂ©dĂ©rales.
Créer des conflits entre groupes minoritaires dans toutes les nations, en ciblant particuliÚrement les Blancs et les Noirs.
CrĂ©er un mouvement pour dĂ©truire la religion aux États-Unis, avec le christianisme comme cible principale.
Nathaniel de Rothschild devient dĂ©putĂ© d’Aylesbury dans le Buckinghamshire.
Le CongrÚs a adopté la premiÚre des propositions de Salmon P Chase et a permis au Trésor d'emprunter jusqu'à 250 millions de dollars pour l'effort de guerre en émettant des obligations et des billets appelés « Demand Notes » en coupures de 5, 10 et 20 $ qui pouvaient circuler comme « monnaie ».

En 1868, Chase occupe le poste de juge en chef et a présidé le procÚs de destitution du président américain Andrew Johnson en 1868.

Juge en chef ET secrétaire au Trésor ?

WOW !!
1871 : Un général américain du nom d'Albert Pike, qui avait été attiré par les Illuminati par Guissepe Mazzini, achÚve son plan militaire pour trois guerres mondiales et diverses révolutions à travers le monde, aboutissant à déplacer cette grande conspiration vers sa phase finale.

La premiĂšre guerre mondiale doit ĂȘtre menĂ©e dans le but de dĂ©truire le tsar en Russie, comme promis par Nathan Mayer Rothschild en 1815. Le tsar doit ĂȘtre remplacĂ© par le communisme qui doit ĂȘtre utilisĂ© pour attaquer les religions, principalement le christianisme. Les diffĂ©rences entre les empires britannique et allemand doivent ĂȘtre utilisĂ©es pour fomenter cette guerre.

La deuxiĂšme guerre mondiale doit ĂȘtre utilisĂ©e pour fomenter la controverse entre le fascisme et le sionisme politique, le massacre des Juifs en Allemagne Ă©tant un Ă©lĂ©ment clĂ© pour susciter la haine contre le peuple allemand. Cela est conçu pour dĂ©truire le fascisme (que les Rothschild ont crĂ©Ă©) et accroĂźtre le pouvoir du sionisme politique. Cette guerre a Ă©galement pour but d’accroĂźtre la puissance du communisme jusqu’à ce qu’elle Ă©gale celle de la chrĂ©tientĂ© unie.

La troisiĂšme guerre mondiale doit se jouer en attisant la haine du monde musulman dans le but de monter le monde islamique et les sionistes politiques les uns contre les autres. Pendant ce temps, les autres nations seraient obligĂ©es de se battre jusqu’à un Ă©tat d’épuisement mental, physique, spirituel et Ă©conomique.

Le 15 août de cette année, Albert Pike écrit une lettre (maintenant cataloguée au British Museum) à Giuseppe Mazzini dans laquelle il déclare ce qui suit :

« Nous allons libĂ©rer les nihilistes et les athĂ©es et nous provoquerons un grand cataclysme social qui, dans toute son horreur, montrera clairement Ă  toutes les nations les effets de l’athĂ©isme absolu ; « Les origines de la sauvagerie et des troubles les plus sanglants. Ensuite, partout, les peuples seront obligĂ©s de se dĂ©fendre contre la minoritĂ© mondiale des rĂ©volutionnaires mondiaux et extermineront ces destructeurs de la civilisation et les multitudes dĂ©sillusionnĂ©es par le christianisme dont les esprits seront Ă  partir de ce moment sans direction ni direction et avides d'un idĂ©al, mais sans savoir oĂč envoyer son adoration, recevront la vraie lumiĂšre Ă  travers la manifestation universelle de la pure doctrine de Lucifer finalement mise Ă  la vue du public. Une manifestation qui rĂ©sultera d'un mouvement rĂ©actionnaire gĂ©nĂ©ral qui suivra la destruction du christianisme et de l'athĂ©isme ; tous deux conquis et exterminĂ©s en mĂȘme temps. »
Pike, qui, ayant Ă©tĂ© Ă©lu Souverain Grand Commandeur de la Juridiction Sud du Rite Écossais de la Franc-Maçonnerie en 1859, Ă©tait le Franc-Maçon le plus puissant d’AmĂ©rique.

Il conservera ce poste pendant 32 ans jusqu’à sa mort en 1891. Il publia Ă©galement un livre sur le sujet en 1872 intitulĂ© « MoralitĂ© et dogme du Rite Écossais Ancien et AcceptĂ© de la Franc-Maçonnerie », dans lequel il dĂ©clare candidement ce qui suit : « LUCIFER, le porteur de lumiĂšre !

Nom Ă©trange et mystĂ©rieux Ă  donner Ă  l’Esprit des TĂ©nĂšbres ! Lucifer, le Fils du Matin ! Est-ce lui qui porte la LumiĂšre, et dont les splendeurs intolĂ©rables aveuglent les Ăąmes faibles, sensuelles ou Ă©goĂŻstes ? N’en doutez pas ! »
1872 : Avant sa mort cette année-là, Giuseppe Mazzini nomme un autre dirigeant révolutionnaire, Adrian Lemmy, comme successeur. Lénine et Trotsky lui succÚderont ensuite, puis Staline. Les activités révolutionnaires de tous ces hommes sont financées par les Rothschild.

1873 : Les mines de cuivre dĂ©ficitaires de Rio Tinto en Espagne sont achetĂ©es par un groupe de financiers Ă©trangers, dont les Rothschild. Ces mines reprĂ©sentaient la plus grande source de cuivre d’Europe.
1875 : Le 1er janvier de cette annĂ©e, Jacob Schiff, devenu gendre de Solomon Loeb aprĂšs avoir Ă©pousĂ© sa fille Teresa, prend le contrĂŽle de la banque Kuhn, Loeb & Co. Il finance ensuite la Standard Oil Company de John D. Rockefeller, l’Empire ferroviaire d’Edward R. Harriman et l’Empire de l’acier d’Andrew Carnegie. Tout cela avec l’argent des Rothschild.

Il identifie ensuite les autres plus grands banquiers amĂ©ricains de l’époque. Il s’agit de J.P. Morgan qui contrĂŽle Wall Street, et des Drexels et des Biddles de Philadelphie. Tous les autres financiers, grands et petits, dansent au rythme de ces trois grandes maisons. Schiff demande alors aux Rothschild europĂ©ens de crĂ©er des succursales europĂ©ennes de ces trois grandes banques, Ă©tant entendu que Schiff, et donc Rothschild, sera le patron du secteur bancaire Ă  New York et donc en AmĂ©rique.

La sociĂ©tĂ© N M Rothschild & Sons a lancĂ© une Ă©mission d’actions pour lever des capitaux pour le premier projet de tunnel sous la Manche devant relier la France Ă  l’Angleterre, la moitiĂ© de son capital provenant de la Compagnie du Chemin de Fer du Nord, propriĂ©tĂ© des Rothschild.

Cette annĂ©e, Lionel De Rothschild a Ă©galement prĂȘtĂ© au Premier ministre Benjamin Disraeli le financement nĂ©cessaire pour que le gouvernement britannique achĂšte les actions du canal de Suez au KhĂ©dive SaĂŻd d’Égypte. Cela a Ă©tĂ© fait parce que les Rothschild avaient besoin que cette voie d’accĂšs soit dĂ©tenue par un gouvernement qu’ils contrĂŽlaient, afin de pouvoir utiliser l’armĂ©e de ce gouvernement pour protĂ©ger leurs Ă©normes intĂ©rĂȘts commerciaux au Moyen-Orient.
1876 ​​: Otto von Bismarck dĂ©clare :

« La division des États-Unis en deux fĂ©dĂ©rations de force Ă©gale a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e bien avant la guerre civile par la haute puissance financiĂšre de l’Europe. Ces banquiers craignaient que les États-Unis, s’ils restaient un bloc et une nation, n’atteignent une indĂ©pendance Ă©conomique et financiĂšre qui bouleverserait leur domination financiĂšre sur le monde. La voix des Rothschild prĂ©dominait. Ils prĂ©voyaient le butin Ă©norme qu’ils allaient obtenir s’ils pouvaient substituer deux dĂ©mocraties faibles, endettĂ©es auprĂšs des financiers, Ă  la RĂ©publique vigoureuse, confiante et autonome. C’est pourquoi ils envoyĂšrent leurs Ă©missaires afin d’exploiter la question de l’esclavage et de creuser ainsi un abĂźme entre les deux parties de la RĂ©publique. »
1880 : Les agents des Rothschild commencent à fomenter une série de pogroms, principalement en Russie, mais aussi en Pologne, en Bulgarie et en Roumanie. Ces pogroms ont entraßné le massacre de milliers de Juifs innocents, provoquant la fuite d'environ 2 millions de personnes, principalement à New York, mais aussi à Chicago, Philadelphie, Boston et Los Angeles.

La raison pour laquelle ces pogroms ont Ă©tĂ© lancĂ©s Ă©tait de crĂ©er une large base juive en AmĂ©rique, qui, une fois arrivĂ©e, serait Ă©duquĂ©e pour s'inscrire comme Ă©lecteurs dĂ©mocrates. Une vingtaine d'annĂ©es plus tard, cela allait donner naissance Ă  une base de pouvoir dĂ©mocrate massive aux États-Unis et servir Ă  Ă©lire des hommes de main des Rothschild, tels que Woodrow Wilson, Ă  la prĂ©sidence, pour exĂ©cuter les ordres des Rothschild.

1881 : Le prĂ©sident James A. Garfield (le 20e prĂ©sident des États-Unis, qui n’a durĂ© que 100 jours) dĂ©clare deux semaines avant son assassinat :

« Quiconque contrĂŽle le volume de la monnaie dans notre pays est le maĂźtre absolu de toute l’industrie et du commerce
 et lorsque vous rĂ©alisez que l’ensemble du systĂšme est trĂšs facilement contrĂŽlĂ©, d’une maniĂšre ou d’une autre, par quelques hommes puissants au sommet, vous n’aurez plus besoin qu’on vous explique comment les pĂ©riodes d’inflation et de dĂ©pression se produisent. »
1883 : AprĂšs le creusement d’un tunnel de 1800 mĂštres dans le cadre du projet de tunnel sous la Manche, le gouvernement britannique arrĂȘte le projet en invoquant le fait qu’il constituerait une menace pour la sĂ©curitĂ© de la Grande-Bretagne.

1885 : Nathaniel Rothschild, fils de Lionel De Rothschild, devient le premier pair juif et prend le titre de Lord Rothschild.

1886 : La banque française Rothschild, de Rothschild FrÚres, obtient des quantités substantielles de champs pétroliers russes et crée la Caspian and Black Sea Petroleum Company, qui devient rapidement le deuxiÚme producteur mondial de pétrole.

1887 : Le trafiquant d’opium en Chine, Edward Albert Sassoon, Ă©pouse Aline Caroline de Rothschild, la petite-fille de Jacob (James) Mayer Rothschild. Le pĂšre d’Aline Caroline, Gustave, et son frĂšre, Alphonse, ont repris la branche française des Rothschild aprĂšs la mort de leur pĂšre Jacob.

Les Rothschild financent la fusion des mines de diamants de Kimberley en Afrique du Sud. Ils deviennent ensuite les principaux actionnaires de cette société, De Beers, et exploitent des pierres précieuses en Afrique et en Inde.
1891 : Le leader travailliste britannique fait la déclaration suivante au sujet des Rothschild :

« Cette bande de suceurs de sang a Ă©tĂ© la cause de mĂ©faits et de misĂšres incalculables en Europe au cours du siĂšcle prĂ©sent, et a accumulĂ© ses richesses prodigieuses principalement en fomentant des guerres entre des États qui n’auraient jamais dĂ» se quereller. Chaque fois qu’il y a des troubles en Europe, partout oĂč des rumeurs de guerre circulent et oĂč les esprits sont bouleversĂ©s par la peur du changement et de la calamitĂ©, vous pouvez ĂȘtre sĂ»r qu’un Rothschild au nez crochu est Ă  ses jeux quelque part prĂšs de la rĂ©gion des troubles. »

Des commentaires comme celui-ci inquiĂštent les Rothschild et vers la fin des annĂ©es 1800, ils achĂštent l’agence de presse Reuters afin de pouvoir avoir un certain contrĂŽle sur les mĂ©dias.
1895 : Edmond James de Rothschild, le plus jeune fils de Jacob (James) Mayer Rothschild, visite la Palestine et fournit ensuite les fonds nécessaires à la fondation des premiÚres colonies juives dans ce pays, afin de poursuivre leur objectif à long terme de créer un pays appartenant aux Rothschild.

1897 : Les Rothschild fondent le CongrĂšs sioniste pour promouvoir le sionisme (un mouvement politique dont le seul but est de rassembler tous les Juifs dans un État-nation exclusivement juif) et organisent sa premiĂšre rĂ©union Ă  Munich. Cependant, en raison de l'opposition extrĂȘme des Juifs locaux, qui sont trĂšs heureux lĂ  oĂč ils se trouvent, cette rĂ©union doit ĂȘtre dĂ©placĂ©e Ă  BĂąle, en Suisse, et a lieu le 29 aoĂ»t. La rĂ©union est prĂ©sidĂ©e par le Juif ashkĂ©naze Theodor Herzl, qui dira dans son journal :

« Il est essentiel que les souffrances des Juifs
 s’aggravent
 cela contribuera Ă  la rĂ©alisation de nos plans
 J’ai une excellente idĂ©e
 Je vais inciter les antisĂ©mites Ă  liquider les richesses juives
 Les antisĂ©mites nous aideront ainsi en renforçant la persĂ©cution et l’oppression des Juifs. Les antisĂ©mites seront nos meilleurs amis. »

Herzl est ensuite Ă©lu prĂ©sident de l’Organisation sioniste qui adopte l’« Hexagramme ou signe rouge Rothschild » comme drapeau sioniste qui, 51 ans plus tard, deviendra le drapeau d’IsraĂ«l.
En 1893, une panique bancaire massive (ruĂ©e bancaire) coĂŻncida avec la pire dĂ©pression que les États-Unis aient jamais connue et, au dĂ©but de 1895, la situation du prĂ©sident amĂ©ricain Grover Cleveland devint dĂ©sespĂ©rĂ©e.

L’économie du pays s’effondrait en raison de la chute des prix et de la hausse du chĂŽmage qui avaient commencĂ© avec la panique de 1893. Dix-huit mois plus tard, des millions de personnes Ă©taient au chĂŽmage et les rĂ©serves du TrĂ©sor baissaient Ă©galement.

Le 24 janvier 1895, le TrĂ©sor ne disposait que de 68 millions de dollars. À peine une semaine plus tard, il en manquait 45 millions. Le prĂ©sident Cleveland tenta d’éviter le dĂ©sastre. Avec le secrĂ©taire au TrĂ©sor John Carlisle, le prĂ©sident avait proposĂ© un plan visant Ă  vendre des obligations d’État au public pour lever 60 millions de dollars.

L’inquiĂ©tude Ă  la Maison Blanche s’accrut encore davantage lorsque Carlisle informa confidentiellement le prĂ©sident que le TrĂ©sor disposait de 9 millions de dollars de rĂ©serves d’or et qu’un seul investisseur dĂ©tenait une traite d’une valeur de 10 millions de dollars. L’insolvabilitĂ© du gouvernement Ă©tait inĂ©vitable Ă  moins qu’une source de financement ne soit trouvĂ©e – en effet, un renflouement du gouvernement amĂ©ricain Ă©tait le seul espoir.

J.P. Morgan « sauva la situation » en offrant 100 millions de dollars en or au gouvernement fĂ©dĂ©ral, et le prĂ©sident Cleveland n’en accepta que 60 millions Ă  contrecƓur.

Comme promis, les obligations furent vendues et l’or remplit le TrĂ©sor. La ruĂ©e cessa et l’économie se stabilisa. Morgan avait cosignĂ© la dette amĂ©ricaine et l’économie dĂ©colla. Morgan pouvait dĂ©sormais gagner des millions de plus que ce qu’il avait payĂ©.

Pendant ce temps, les Rothschild aidĂšrent Ă©galement J.P. Morgan et les Drexels et Biddles de Philadelphie Ă  Ă©tablir des succursales europĂ©ennes de leurs banques respectives en Ă©change de l’autorisation pour les Rothschild de contrĂŽler le secteur bancaire Ă  New York et, par consĂ©quent, en AmĂ©rique.

AprĂšs une AUTRE panique bancaire particuliĂšrement grave (je me demande qui a provoquĂ© cela ???) et la rĂ©cession qui s’ensuivit en 1907, les banquiers et le CongrĂšs dĂ©cidĂšrent qu’il Ă©tait temps de reconsidĂ©rer la crĂ©ation d’une banque nationale centralisĂ©e. (Banque centrale)

Les seules personnes capables de les arrĂȘter et qui se sont publiquement opposĂ©es Ă  la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale Ă©taient Ă  bord du « Titanic » en 1912. Le mĂȘme « Titanic » que J.P. Morgan avait Ă©tĂ© chargĂ© de construire, et qui devait Ă©galement ĂȘtre Ă  bord mais a annulĂ© Ă  la derniĂšre minute. 1 an et 8 mois aprĂšs le naufrage du « Titanic », la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale (Banque centrale amĂ©ricaine) est crĂ©Ă©e en 1913. Et qui possĂšde les banques centrales ? Qui prĂȘte aux gouvernements ? LES MÊMES BANQUIERS ILLUMINATI qui se trouvent ĂȘtre amis avec J.P. Morgan qui possĂšde Ă©galement aujourd'hui une grande partie de la dette du gouvernement amĂ©ricain ? Les MÊMES BANQUIERS ILLUMINATI qui ont financĂ© la RĂ©volution française et possĂšdent la Banque d'Angleterre, contrĂŽlant ainsi Ă©galement la Couronne ?

Pour lui rendre hommage, Salmon P. Chase figure sur le billet de 10 000 dollars, de la « monnaie » papier qui s'appelle aujourd'hui Federal Reserve Notes et qui est encore utilisée comme monnaie connue sous le nom de « dollar ».

VOUS VOYEZ LE LONG JEU(PLAN)???????"
1901 : Les Juifs des colonies établies en Palestine par Edmond James de Rothschild lui envoient une délégation qui lui dit :

« Si vous souhaitez sauver le Yishouv (la colonie juive), retirez-vous d’abord de lĂ  et
 permettez pour une fois aux colons d’avoir la possibilitĂ© de corriger eux-mĂȘmes ce qui doit ĂȘtre corrigĂ©. »

Edmond James de Rothschild est trÚs en colÚre à ce sujet et déclare :

« J’ai crĂ©Ă© le Yishouv, moi seul. Par consĂ©quent, aucun homme, ni colon, ni organisation, n’a le droit d’interfĂ©rer dans mes plans. »

La maison bancaire Rothschild de Francfort, en Allemagne, M. A. von Rothschild und Söhne, ferme car il n’y a pas d’hĂ©ritier Rothschild mĂąle pour la reprendre.
1905 : Un groupe de juifs sionistes soutenus par les Rothschild et dirigĂ© par Georgi Apollonovich Gapon tente de renverser le tsar en Russie par un coup d’État communiste. Ils Ă©chouent et sont contraints de fuir la Russie pour se rĂ©fugier en Allemagne.

L’EncyclopĂ©die juive (Vol. 2, p. 497) dĂ©clare :

« C’est une suite quelque peu curieuse de la tentative de crĂ©er un concurrent catholique aux Rothschild que ces derniers soient Ă  l’heure actuelle les gardiens du trĂ©sor papal. »

1906 : Les Rothschild affirment qu’en raison de l’instabilitĂ© croissante dans la rĂ©gion et de la concurrence croissante de la Standard Oil dĂ©tenue par Rockefeller (la famille Rockefeller est descendante des Rothschild par une lignĂ©e fĂ©minine), c’est pourquoi ils vendent leur Caspian and Black Sea Petroleum Company Ă  Royal Dutch et Shell. C’est un autre exemple de la façon dont les Rothschild tentent de cacher leur vĂ©ritable richesse.
1907 : Rothschild, Jacob Schiff, le patron de Kuhn, Loeb and Co., dans un discours à la Chambre de commerce de New York, prévient :

« Si nous n’avons pas une banque centrale avec un contrĂŽle adĂ©quat des ressources de crĂ©dit, ce pays va subir la panique monĂ©taire la plus grave et la plus profonde de son histoire.»

L’AmĂ©rique se retrouve soudain au milieu d’une autre crise financiĂšre typiquement orchestrĂ©e par Rothschild, qui ruine comme d’habitude la vie de millions de personnes innocentes Ă  travers l’AmĂ©rique et rapporte des milliards aux Rothschild.

1909 : Jacob Schiff fonde la National Advancement for the Association of the Coloured People (NAACP). Cette initiative a Ă©tĂ© prise pour inciter les Noirs Ă  se livrer Ă  des escroqueries, Ă  des pillages et Ă  d’autres formes de dĂ©sordre, afin de provoquer une rupture entre les communautĂ©s noires et blanches. L’historien juif Howard Sachar dĂ©clare ce qui suit dans son livre,

« A History of the Jews in America » : « En 1914, le professeur Ă©mĂ©rite Joel Spingarn de l’UniversitĂ© de Columbia est devenu prĂ©sident de la NAACP et a recrutĂ© pour son conseil d’administration des dirigeants juifs tels que Jacob Schiff, Jacob Billikopf et le rabbin Stephen Wise. »

Parmi les autres cofondateurs juifs ashkĂ©nazes figuraient Julius Rosenthal, Lillian Wald et le rabbin Emil G. Hirsch. Ce n’est qu’en 1920 que la NAACP a nommĂ© son premier prĂ©sident noir, James Weldon Johnson.
1911 : Werner Sombart, dans son livre « Les Juifs et le capitalisme moderne », dĂ©clare qu’à partir de 1820, nous sommes dans l’« ùge des Rothschild » et conclut qu’il n’y a « qu’une seule puissance en Europe, et c’est Rothschild ».

1912 : Dans le numĂ©ro de dĂ©cembre du magazine « Truth », George R. Conroy dĂ©clare Ă  propos du banquier Jacob Schiff : « M. Schiff est Ă  la tĂȘte de la grande maison de banque privĂ©e Kuhn, Loeb et compagnie, qui reprĂ©sente les intĂ©rĂȘts des Rothschild de ce cĂŽtĂ©-ci de l’Atlantique.

Il a Ă©tĂ© dĂ©crit comme un stratĂšge financier et a Ă©tĂ© pendant des annĂ©es le ministre des finances de la grande puissance impersonnelle connue sous le nom de Standard Oil. Il Ă©tait de mĂšche avec les Harriman, les Gould et les Rockefeller dans toutes leurs entreprises ferroviaires et est devenu la puissance dominante dans le domaine ferroviaire et financier de l’AmĂ©rique. »
Ils ont adoptĂ© la loi de Paul Warburg sur la rĂ©serve fĂ©dĂ©rale de 1913, qui a cĂ©dĂ© les rĂ©serves d’or et d’argent des États-Unis (et le contrĂŽle total de l’économie amĂ©ricaine) Ă  la Federal Reserve Bank.
La plupart des AmĂ©ricains croient encore que la FED appartient au gouvernement, mais ce n’est pas le cas.
La FED est un systÚme bancaire privé dont les actionnaires majoritaires de classe A comprennent les Rothschild, les Warburg, J.P. Morgan, les Rockefeller et les frÚres Lehman.

La Chase Bank et JPMorgan Chase porteront plus tard son nom.
1913 : Le 4 mars, Woodrow Wilson est Ă©lu 28e prĂ©sident des États-Unis. Peu aprĂšs son investiture, il reçoit Ă  la Maison Blanche la visite du Juif ashkĂ©naze Samuel Untermyer, du cabinet d’avocats Guggenheim, Untermyer et Marshall, qui tente de le faire chanter pour la somme de 40 000 dollars en lien avec une liaison que Wilson a eue alors qu’il Ă©tait professeur Ă  l’universitĂ© de Princeton, avec la femme d’un autre professeur.

Le prĂ©sident Wilson n’a pas l’argent, alors Untermyer se porte volontaire pour payer les 40 000 dollars de sa poche Ă  la femme avec laquelle Wilson a eu une liaison, Ă  condition que Wilson promette de nommer au premier poste vacant Ă  la Cour suprĂȘme des États-Unis un candidat que Untermyer recommandera au prĂ©sident Wilson. Wilson accepte.
Jacob Schiff crĂ©e la Ligue anti-diffamation (ADL) aux États-Unis. Cette organisation est crĂ©Ă©e pour calomnier quiconque remet en question ou conteste la conspiration mondiale des Rothschild en le qualifiant d’« antisĂ©mite ».

Curieusement, la mĂȘme annĂ©e oĂč ils font cela, ils crĂ©ent Ă©galement leur derniĂšre et actuelle banque centrale en AmĂ©rique, la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale. Le dĂ©putĂ© Charles Lindbergh a dĂ©clarĂ© aprĂšs l’adoption de la loi sur la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale le 23 dĂ©cembre :

« La loi Ă©tablit le plus gigantesque trust sur terre. Lorsque le prĂ©sident signera ce projet de loi, le gouvernement invisible du pouvoir monĂ©taire sera lĂ©galisé  Le plus grand crime de tous les temps est perpĂ©trĂ© par ce projet de loi sur les banques et la monnaie. »

Il est important de noter que la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale est une entreprise privĂ©e, elle n’est ni fĂ©dĂ©rale ni dotĂ©e d’une rĂ©serve. On estime de maniĂšre prudente que les bĂ©nĂ©fices dĂ©passent 150 milliards de dollars par an et la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale n’a jamais publiĂ© de comptes dans son histoire.
1914 : DĂ©but de la PremiĂšre Guerre mondiale. Au cours de cette guerre, les Rothschild allemands prĂȘtent de l'argent aux Allemands, les Rothschild britanniques prĂȘtent de l'argent aux Britanniques et les Rothschild français prĂȘtent de l'argent aux Français.

De plus, les Rothschild contrÎlent les trois agences de presse européennes, Wolff (fondée en 1849) en Allemagne, Reuters (fondée en 1851) en Angleterre et Havas (fondée en 1835) en France.

Les Rothschild utilisent Wolff pour manipuler le peuple allemand et le pousser Ă  la ferveur pour la guerre. À partir de cette Ă©poque, les Rothschild sont rarement mentionnĂ©s dans les mĂ©dias, car ils sont propriĂ©taires des mĂ©dias.
1916 : Le 4 juin, le Juif ashkĂ©naze Louis Dembitz Brandeis est nommĂ© Ă  la Cour suprĂȘme des États-Unis par le prĂ©sident Wilson, conformĂ©ment Ă  son accord de chantage avec Samuel Untermyer trois ans plus tĂŽt. Le juge Brandeis est Ă©galement le chef Ă©lu du ComitĂ© exĂ©cutif des affaires sionistes, poste qu’il occupe depuis 1914.

Au milieu de la Seconde Guerre mondiale, l’Allemagne gagnait la guerre car elle Ă©tait financĂ©e par les Rothschild dans une plus grande mesure que la France, l’Italie et l’Angleterre, car les Rothschild ne voulaient pas soutenir le tsar en Russie, et bien sĂ»r la Russie Ă©tait du mĂȘme cĂŽtĂ© que la France, l’Italie et l’Angleterre.

Un Ă©vĂ©nement important se produisit alors. L’Allemagne, bien qu’elle gagnait la guerre et qu’aucun soldat Ă©tranger n’ait mis les pieds sur son sol, proposa un armistice Ă  la Grande-Bretagne sans exiger de rĂ©parations. Les Rothschild Ă©taient soucieux de s’assurer que cela n’arriverait pas car ils espĂ©raient gagner beaucoup plus d’argent avec cette guerre, alors ils ont jouĂ© une autre carte qu’ils avaient dans leur manche.

Alors que les Britanniques Ă©tudiaient l’offre de l’Allemagne, l’agent des Rothschild, Louis Brandeis, envoie une dĂ©lĂ©gation sioniste d’AmĂ©rique en Grande-Bretagne pour promettre d’amener l’AmĂ©rique dans la guerre aux cĂŽtĂ©s des Britanniques, Ă  condition que les Britanniques acceptent de donner la terre de Palestine aux Rothschild.

Les Rothschild voulaient la Palestine pour la raison suivante. Ils avaient de grands intĂ©rĂȘts commerciaux en ExtrĂȘme-Orient et souhaitaient avoir leur propre État dans cette rĂ©gion ainsi que leur propre armĂ©e qu’ils pourraient utiliser comme agresseur contre tout État qui menacerait leurs intĂ©rĂȘts.

Les Britanniques acceptĂšrent ensuite l’accord pour la Palestine et les sionistes Ă  Londres contactĂšrent leurs homologues amĂ©ricains et les informĂšrent de ce fait. Soudain, tous les grands journaux amĂ©ricains qui jusque-lĂ  avaient Ă©tĂ© pro-allemands se retournĂšrent contre l’Allemagne en publiant des articles de propagande tels que : les soldats allemands tuaient des infirmiĂšres de la Croix-Rouge ; les soldats allemands coupaient les mains des bĂ©bĂ©s, etc., afin de manipuler l’opinion publique amĂ©ricaine contre les Allemands.

Cette mĂȘme annĂ©e, le prĂ©sident Woodrow Wilson a menĂ© une campagne de rĂ©Ă©lection sous le slogan « RĂ©Ă©lire l’homme qui gardera vos fils hors de la guerre ».

Le 12 dĂ©cembre, l’Allemagne et ses alliĂ©s proposent des conditions de paix pour mettre fin Ă  la guerre.
1917 : En consĂ©quence de l’offre de paix de l’Allemagne, la machine de guerre des Rothschild s’emballe en AmĂ©rique, diffusant une propagande qui conduit le prĂ©sident Wilson, sous les instructions du leader sioniste amĂ©ricain et juge de la Cour suprĂȘme, Louis Dembitz Brandeis, Ă  renier sa promesse faite Ă  l’électorat et Ă  entraĂźner l’AmĂ©rique dans la premiĂšre guerre mondiale le 6 avril.

ConformĂ©ment Ă  la promesse sioniste des Rothschild aux Britanniques d’entraĂźner l’AmĂ©rique dans la guerre, ils dĂ©cident qu’ils veulent quelque chose par Ă©crit des Britanniques pour prouver qu’ils respecteront leur part du marchĂ©. Le ministre britannique des Affaires Ă©trangĂšres, Arthur James Balfour, rĂ©dige alors une lettre connue sous le nom de « DĂ©claration Balfour ».

Les Rothschild ordonnent l’exĂ©cution par les bolcheviks qu’ils contrĂŽlent du tsar Nicolas II et de toute sa famille en Russie, mĂȘme si le tsar avait dĂ©jĂ  abdiquĂ© le 2 mars.

Il s’agit Ă  la fois de prendre le contrĂŽle du pays et d’un acte de vengeance pour le tsar Alexandre Ier qui a bloquĂ© leur projet de gouvernement mondial en 1815 au CongrĂšs de Vienne, et pour le tsar Alexandre II qui s’est rangĂ© du cĂŽtĂ© du prĂ©sident Abraham Lincoln en 1864.

Il est extrĂȘmement important pour eux de massacrer toute la famille, y compris les femmes et les enfants, afin de tenir la promesse faite par Nathan Mayer Rothschild en 1815.

Cette déclaration est destinée à montrer au monde ce qui se passe si jamais vous essayez de contrarier les Rothschild.
Le membre du CongrĂšs amĂ©ricain Oscar Callaway informe le CongrĂšs que J. P. Morgan est une façade des Rothschild et a pris le contrĂŽle de l’industrie mĂ©diatique amĂ©ricaine.

Il déclare :

« En mars 1915, les intĂ©rĂȘts de J. P. Morgan, les intĂ©rĂȘts de l’acier, de la construction navale et de la poudre, et leurs organisations subsidiaires, ont rĂ©uni 12 hommes haut placĂ©s dans le monde de la presse et les ont employĂ©s pour sĂ©lectionner les journaux les plus influents des États-Unis et un nombre suffisant d’entre eux pour contrĂŽler de maniĂšre gĂ©nĂ©rale la politique de la presse quotidienne

Ils ont constatĂ© qu’il Ă©tait seulement nĂ©cessaire d’acheter le contrĂŽle de 25 des plus grands journaux
 Un accord a Ă©tĂ© conclu. La politique des journaux a Ă©tĂ© achetĂ©e, pour ĂȘtre payĂ©e au mois, un rĂ©dacteur en chef a Ă©tĂ© dĂ©signĂ© pour chaque journal afin de superviser et d’éditer correctement les informations concernant les questions de prĂ©paration, de militarisme, de politiques financiĂšres et d’autres choses de nature nationale et internationale considĂ©rĂ©es comme vitales pour les intĂ©rĂȘts des acheteurs. »
1919 : En janvier, les juifs ashkĂ©nazes Karl Liebknecht et Rosa Luxemburg sont tuĂ©s alors qu'ils tentaient de mener un autre coup d'État communiste financĂ© par les Rothschild, cette fois Ă  Berlin, en Allemagne.

La confĂ©rence de paix de Versailles se tient pour dĂ©cider des rĂ©parations que les Allemands doivent payer aux vainqueurs aprĂšs la fin de la premiĂšre guerre mondiale. Une dĂ©lĂ©gation de 117 sionistes dirigĂ©e par le juif ashkĂ©naze Bernard Baruch Ă©voque la question de la promesse de la Palestine pour eux. À ce stade, les Allemands comprennent pourquoi l'AmĂ©rique s'est retournĂ©e contre eux et sous l'influence de qui, les Rothschild.

Les Allemands, naturellement, ont le sentiment d'avoir Ă©tĂ© trahis par les sionistes. En effet, Ă  l'Ă©poque oĂč les Rothschild ont conclu leur accord avec la Grande-Bretagne pour la Palestine, en Ă©change de l'entrĂ©e de l'AmĂ©rique dans la guerre, l'Allemagne Ă©tait le pays le plus amical au monde envers les Juifs. En effet, l'Ă©dit d'Ă©mancipation allemand de 1822 garantissait aux Juifs d'Allemagne tous les droits civils dont jouissent les Allemands.

L'Allemagne Ă©tait Ă©galement le seul pays d'Europe Ă  ne pas imposer de restrictions aux Juifs, leur offrant mĂȘme refuge lorsqu'ils durent fuir la Russie aprĂšs l'Ă©chec de leur premiĂšre tentative de coup d'État communiste en 1905.
NĂ©anmoins, les Rothschild ont tenu leur part du marchĂ© en versant le sang de millions d’innocents et, par consĂ©quent, la Palestine est confirmĂ©e comme patrie juive, et pendant sa remise aux Rothschild, elle restera sous le contrĂŽle de la Grande-Bretagne, puisque les Rothschild contrĂŽlent la Grande-Bretagne. À cette Ă©poque, moins d’un pour cent de la population de la Palestine Ă©tait juive. Il est intĂ©ressant de noter que l’hĂŽte de la confĂ©rence de paix de Versailles est son patron, le baron Edmond de Rothschild.

La confĂ©rence de paix de Versailles est Ă©galement utilisĂ©e par les Rothschild comme une tentative de mettre en place un gouvernement mondial sous prĂ©texte de mettre fin Ă  toutes les guerres (qu’ils crĂ©ent). Cela s’appelait la « SociĂ©tĂ© des Nations ». Heureusement, trop peu de pays l’ont acceptĂ©e et elle a donc rapidement disparu.

Le 29 mars, le Times de Londres rapporte sur les bolcheviks en Russie :

« L’une des caractĂ©ristiques curieuses du mouvement bolchevique est le pourcentage Ă©levĂ© d’élĂ©ments non russes parmi ses dirigeants. « Des vingt ou trente commissaires, ou dirigeants, qui assurent l’appareil central du mouvement bolchevique, pas moins de 75 % Ă©taient juifs. »
Il semblerait que les Rothschild Ă©taient en colĂšre contre les Russes parce qu’ils n’étaient pas prĂȘts Ă  leur permettre de former une banque centrale au sein de leur nation. Ils ont donc rassemblĂ© des groupes d’espions juifs et les ont envoyĂ©s en Russie pour fomenter une rĂ©volution au profit de l’homme du commun, ce qui Ă©tait en fait une prise de contrĂŽle de la Russie par une Ă©lite satanique contrĂŽlĂ©e par les Rothschild.

Ces espions juifs portaient, selon la vieille tradition ashkĂ©naze trompeuse, des noms russes, par exemple Trotsky Ă©tait membre du premier groupe et son nom d’origine Ă©tait Bronstein. Ces groupes ont Ă©tĂ© envoyĂ©s dans des rĂ©gions de toute la Russie pour inciter aux Ă©meutes et Ă  la rĂ©bellion.

L’édition internationale du Jewish Post, semaine se terminant le 24 janvier 1991, confirme que Vladimir LĂ©nine Ă©tait juif. LĂ©nine a Ă©galement dĂ©clarĂ© :

« La crĂ©ation d’une banque centrale reprĂ©sente 90 % de la communisation d’une nation. »
Ces bolcheviks juifs, financĂ©s par les Rothschild, ont continuĂ© au cours de l’histoire Ă  massacrer 60 millions de chrĂ©tiens et de non-juifs sur le territoire contrĂŽlĂ© par l’Union soviĂ©tique. En effet, l’auteur Alexandre Soljenitsyne dans son ouvrage « L’Archipel du Goulag, Vol. 2 » affirme que les juifs sionistes ont crĂ©Ă© et administrĂ© le systĂšme de camps de concentration soviĂ©tique organisĂ© dans lequel ces dizaines de millions de chrĂ©tiens et de non-juifs sont morts.

À la page 79 de ce livre, il nomme mĂȘme les administrateurs de cette plus grande machine Ă  tuer de l’histoire du monde. Il s’agit d’Aron Solts, Yakov Rappoport, Lazar Kogan, Matvei Berman, Genrikh Yagoda et Naftaly Frenkel. Tous les six sont des juifs sionistes. En 1970, Soljenitsyne a reçu le prix Nobel de la paix de littĂ©rature.

La sociĂ©tĂ© N. M. Rothschild & Sons se voit confier un rĂŽle permanent dans la fixation du prix quotidien de l’or dans le monde. Cela se passe dans les bureaux de la City de Londres, tous les jours Ă  11 heures, dans la mĂȘme salle jusqu'en 2004.
1920 : Winston Churchill (dont la mĂšre, Jenny (Jacobson) Jerome, Ă©tait juive – ce qui signifie qu’il est juif selon la loi ashkĂ©naze puisqu’il est nĂ© d’une mĂšre juive) Ă©crit dans un article du Illustrated Sunday Herald, datĂ© du 8 fĂ©vrier :

« Depuis l’époque du chef des Illuminati Weishaupt, jusqu’à celle de Karl Marx et de Trotsky, cette conspiration mondiale n’a cessĂ© de croĂźtre. Et maintenant, enfin, cette bande de personnalitĂ©s extraordinaires issues du monde souterrain des grandes villes d’Europe et d’AmĂ©rique, a saisi le peuple russe par les cheveux et est devenue les maĂźtres incontestĂ©s de cet immense empire. »

1921 : Sous les ordres de Jacob Schiff, le Council on Foreign Relations (CFR) est fondĂ© par des juifs ashkĂ©nazes, Bernard Baruch et le colonel Edward Mandell House. Schiff donna ses ordres avant sa mort en 1920, car il savait qu'une organisation devait ĂȘtre crĂ©Ă©e en AmĂ©rique pour sĂ©lectionner les politiciens qui mĂšneraient Ă  bien la conspiration des Rothschild, et la formation du CFR fut effectivement convenue lors d'une rĂ©union le 30 mai 1919 Ă  l'HĂŽtel Majestic Ă  Paris, en France.

Au dĂ©but, le CFR comptait environ 1 000 membres aux États-Unis. Parmi ces membres figuraient les dirigeants de pratiquement tous les empires industriels d'AmĂ©rique, tous les banquiers internationaux basĂ©s aux États-Unis et les dirigeants de toutes leurs fondations exonĂ©rĂ©es d'impĂŽts. En substance, tous ceux qui fourniraient le capital nĂ©cessaire Ă  quiconque souhaitait se prĂ©senter au CongrĂšs, au SĂ©nat ou Ă  la prĂ©sidence.

La premiÚre tùche du CFR fut de prendre le contrÎle de la presse. Cette tùche fut confiée à John D. Rockefeller qui créa un certain nombre de magazines d'information nationaux tels que Life et Time. Il finança Samuel Newhouse pour qu'il rachÚte et crée une chaßne de journaux dans tout le pays, ainsi qu'EugÚne Meyer qui allait par la suite racheter de nombreuses publications telles que le Washington Post, Newsweek et The Weekly Magazine.

Le CFR devait également contrÎler la radio, la télévision et l'industrie cinématographique. Cette tùche fut répartie entre les banquiers internationaux Kuhn Loeb, Goldman Sachs, les Warburg et les Lehmann.
1925 : L’EncyclopĂ©die juive de cette annĂ©e fait Ă©tat de l’existence des Juifs ashkĂ©nazes (qui reprĂ©sentent environ 90 % de la prĂ©tendue communautĂ© juive mondiale), avec l’aveu surprenant que le soi-disant ennemi des Juifs, ÉsaĂŒ (Ă©galement connu sous le nom d’Édom, voir GenĂšse 36:1), reprĂ©sente dĂ©sormais en rĂ©alitĂ© la race juive, alors qu’à la page 42 du volume V il est indiquĂ© : « Édom fait partie de la communautĂ© juive moderne ».

Ce qu’ils disent donc en gros, c’est que ces Juifs ashkĂ©nazes, qui reprĂ©sentent 90 % de la prĂ©tendue population juive, sont en fait des gentils ou des goyim eux-mĂȘmes.

1926 : N. M. Rothschild & Sons refinancent la Underground Electric Railways Company of London Ltd qui dĂ©tient une participation majoritaire dans l’ensemble du systĂšme de transport souterrain de Londres.

Maurice de Rothschild a un fils, Edmond de Rothschild.

1929 : Les Rothschild font s’effondrer l’économie amĂ©ricaine en contractant la masse monĂ©taire.

1930 : La premiĂšre banque mondiale Rothschild, la « Banque des rĂšglements internationaux (BRI) », est fondĂ©e Ă  BĂąle, en Suisse. C’est lĂ  mĂȘme que s’est tenu, 33 ans plus tĂŽt, le tout premier CongrĂšs sioniste mondial.
1933 : Le 30 janvier, Adolf Hitler devient chancelier de l'Allemagne. Il chasse les Juifs, dont beaucoup étaient communistes, des postes gouvernementaux en Allemagne. En conséquence, en juillet, les Juifs organisent une conférence mondiale à Amsterdam au cours de laquelle ils exigent qu'Hitler rétablisse chaque Juif dans ses anciennes fonctions.

Hitler refuse et, Ă  la suite de cela, Samuel Untermyer, le Juif ashkĂ©naze qui a fait chanter le prĂ©sident Wilson et qui est maintenant le chef de la dĂ©lĂ©gation amĂ©ricaine et le prĂ©sident de toute la confĂ©rence, revient aux États-Unis et prononce un discours Ă  la radio qui a Ă©tĂ© retranscrit dans le New York Times du lundi 7 aoĂ»t 1933. Dans son discours, il a fait les dĂ©clarations suivantes :

« 
 les Juifs sont les aristocrates du monde
 Notre campagne est
 le boycott Ă©conomique de tous les produits, navires et services allemands
 Ce que nous proposons
 c’est de poursuivre un boycott Ă©conomique purement dĂ©fensif qui sapera le rĂ©gime hitlĂ©rien et ramĂšnera le peuple allemand Ă  la raison en dĂ©truisant son commerce d’exportation dont dĂ©pend son existence mĂȘme
 Chacun d’entre vous, Juif comme Gentil
 doit refuser de traiter avec tout marchand ou commerçant qui vend des produits de fabrication allemande ou qui frĂ©quente des navires ou des navires allemands. »
Comme les deux tiers de l’approvisionnement alimentaire de l’Allemagne devaient ĂȘtre importĂ©s et ne pouvaient l’ĂȘtre qu’avec les recettes de ses exportations, si l’Allemagne ne pouvait pas exporter, les deux tiers de la population allemande mourraient de faim, car il n’y aurait pas assez de nourriture pour plus d’un tiers de la population.

À la suite de ce boycott, les Juifs de toute l’AmĂ©rique manifestaient Ă  l’extĂ©rieur et endommageaient tous les magasins dans lesquels ils trouvaient des produits portant l’inscription « Made in Germany », obligeant les magasins Ă  se dĂ©barrasser de ces produits sous peine de faillite.

Une fois que les effets de ce boycott ont commencĂ© Ă  se faire sentir en Allemagne, les Allemands, qui n’avaient jusque-lĂ  manifestĂ© aucune violence envers les Juifs, ont tout simplement commencĂ© Ă  boycotter les magasins juifs de la mĂȘme maniĂšre que les Juifs l’avaient fait envers les magasins vendant des produits allemands en AmĂ©rique.

Rothschild a financĂ© IBM, fournissant aux Nazis des machines qui produisent des cartes perforĂ©es pour aider Ă  organiser et Ă  gĂ©rer l’identification initiale et l’expulsion sociale des Juifs, la confiscation de leurs biens et leur extermination.

Le 16 novembre, le prĂ©sident Roosevelt reconnaĂźt le rĂ©gime sioniste de Staline en Russie sans consultation du CongrĂšs, alors mĂȘme que 8 000 Ukrainiens manifestent Ă  New York.

Cette annĂ©e encore, le prĂ©sident Roosevelt, nĂ© d’une mĂšre juive, et donc conforme aux rĂšgles ashkĂ©nazes du judaĂŻsme, ordonne que l’Ɠil omniscient soit placĂ© sur tous les nouveaux billets de dollars, ainsi que la devise « Novus Ordo Seclorum », qui signifie en latin « Un nouvel ordre des Ăąges ».
1934 : Les lois suisses sur le secret bancaire sont rĂ©formĂ©es et la violation du secret bancaire devient un dĂ©lit passible d’emprisonnement pour tout employĂ© de banque. Tout cela est en prĂ©paration de la Seconde Guerre mondiale orchestrĂ©e par les Rothschild, au cours de laquelle, comme d’habitude, ils financeront les deux camps.

Edmond de Rothschild meurt.

1936 : En ce qui concerne la montĂ©e de l’antisĂ©mitisme en Allemagne, Samuel Landman (Ă  l’époque secrĂ©taire de l’Organisation sioniste mondiale), dans son livre de 1936, Great Britain, The Jews, and Palestine, dĂ©clare ce qui suit Ă  propos de l’entrĂ©e des États-Unis dans la PremiĂšre Guerre mondiale :

« Le fait que ce soit l’aide juive qui ait amenĂ© les États-Unis Ă  entrer en guerre aux cĂŽtĂ©s des AlliĂ©s a irritĂ© depuis lors les esprits allemands – en particulier nazis – et a contribuĂ© dans une large mesure Ă  l’importance que l’antisĂ©mitisme occupe dans le programme nazi. »
1938 : Le 7 novembre, un Juif, Herschel Grynszpan, assassine Ernst vom Rath, un fonctionnaire subalterne de l'ambassade d'Allemagne à Paris. En conséquence, l'hostilité allemande envers les Juifs en Allemagne commence à devenir violente.

La banque autrichienne des Rothschild à Vienne, S. M. von Rothschild und Söhne, ferme ses portes aprÚs l'occupation nazie de l'Autriche.

1939 : I.G. Farben, le premier producteur mondial de produits chimiques et le plus grand producteur allemand d'acier, augmente considérablement sa production. Cette production accrue est presque exclusivement utilisée pour armer l'Allemagne en vue de la Seconde Guerre mondiale. Cette entreprise était contrÎlée par les Rothschild et allait continuer à utiliser les Juifs et d'autres personnes mécontentes comme esclaves dans les camps de concentration. I.G. Farben a également créé le gaz mortel Zyklon B qui a été utilisé pour exterminer les Juifs.

Le 1er septembre, la Seconde Guerre mondiale éclate lorsque l'Allemagne envahit la Pologne. C'était parce que les dirigeants allemands étaient des dirigeants chrétiens, qui comprenaient que la Russie soviétique était dirigée par des communistes financés par les Rothschild, et ils craignaient qu'à mesure que l'Union soviétique devenait plus forte, ces communistes juifs envahissent et rayent tous les chrétiens de la carte.
1940 : Hansjurgen Koehler, dans son livre « Inside The Gestapo », dĂ©clare ce qui suit Ă  propos de Maria Anna Schicklgruber, la grand-mĂšre d’Adolf Hitler :

« Une petite servante
 est venue Ă  Vienne et est devenue domestique
 au manoir Rothschild
 et le grand-pĂšre inconnu d’Hitler doit probablement ĂȘtre recherchĂ© dans cette magnifique maison. »

Cela est confirmé par Walter Langer dans son livre « The Mind Of Hitler », dans lequel il déclare :

« Le pĂšre d’Adolf, Alois Hitler, Ă©tait le fils illĂ©gitime de Maria Anna Schicklgruber

.Maria Anna Schicklgruber vivait Ă  Vienne au moment de sa conception. À cette Ă©poque, elle Ă©tait employĂ©e comme domestique dans la maison du baron Rothschild. DĂšs que la famille a dĂ©couvert sa grossesse, elle a Ă©tĂ© renvoyĂ©e chez elle

.oĂč Alois est nĂ©. »

À premiĂšre vue, il semble peu probable qu’Hitler soit un Rothschild, mais lĂ  encore, lorsque l’on dĂ©couvre les avantages que les Rothschild ont tirĂ©s de cette guerre, Ă  la fois financiĂšrement et politiquement, un lien avec les Rothschild ne semble pas aussi farfelu qu’il n’y paraĂźt au premier abord.
1941 : Le prĂ©sident Roosevelt entraĂźne l’AmĂ©rique dans la Seconde Guerre mondiale en refusant de vendre au Japon de la ferraille d’acier ou du pĂ©trole. Le Japon Ă©tait en pleine guerre contre la Chine et sans cette ferraille d’acier et ce pĂ©trole, il n’aurait pas pu continuer cette guerre. Le Japon Ă©tait totalement dĂ©pendant des États-Unis pour la ferraille d’acier et le pĂ©trole. Roosevelt savait que cette action inciterait les Japonais Ă  attaquer l’AmĂ©rique, ce qu’ils firent par la suite Ă  Pearl Harbor.

1942 : Prescott Bush, pĂšre des futurs prĂ©sidents amĂ©ricains George Herbert Walker et George W, voit sa sociĂ©tĂ© saisie en vertu de la loi sur le « commerce avec l’ennemi ». Il finançait Hitler depuis l’AmĂ©rique, tandis que des soldats amĂ©ricains Ă©taient tuĂ©s par des soldats allemands.

Des juifs sont Ă©galement massacrĂ©s par ces mĂȘmes soldats. Il est intĂ©ressant de noter que l’ADL ne critique jamais aucun des Bush pour cela.
1943 : le 18 fĂ©vrier, le sioniste Izaak Greenbaum, chef du ComitĂ© de sauvetage de l’Agence juive, dĂ©clare dans un discours au Conseil exĂ©cutif sioniste :

« Si on me demande si vous pourriez donner de l’argent de l’UJA (United Jewish Appeal) pour sauver des Juifs, je dis non et je rĂ©pĂšte non !»

Il poursuit en déclarant :

« Une vache en Palestine vaut plus que tous les Juifs en Pologne !»

Ce n’est pas une surprise, l’idĂ©e mĂȘme du soutien sioniste au massacre de Juifs innocents Ă©tait d’effrayer les survivants en leur faisant croire que leur seul lieu de sĂ©curitĂ© Ă©tait IsraĂ«l. Comment pensez-vous que les sionistes pourraient autrement faire en sorte que les Juifs quittent les belles villes europĂ©ennes dans lesquelles ils vivent pour s’installer dans un dĂ©sert !
1944 : Le 6 novembre, Lord Moyne, ministre britannique rĂ©sident au Moyen-Orient, est assassinĂ© au Caire par deux membres du groupe terroriste juif, le gang Stern, dirigĂ© par le futur Premier ministre d'IsraĂ«l, Yitzhak Shamir. Il est Ă©galement responsable d'une tentative d'assassinat contre Harold MacMichael, le haut-commissaire du mandat britannique de Palestine, la mĂȘme annĂ©e.

Il est également à l'origine d'un autre assassinat réussi cette année contre le représentant des Nations Unies au Moyen-Orient, le comte Folke Bernadotte qui, bien qu'il ait obtenu la libération de 21 000 prisonniers des camps allemands pendant la Seconde Guerre mondiale, était considéré par Yitzhak Shamir et ses collaborateurs terroristes comme un antisioniste.

À Bretton Woods, dans le New Hampshire, deux autres banques mondiales Rothschild sont crĂ©Ă©es : le Fonds monĂ©taire international (FMI) et la Banque mondiale.
1945 : Fin de la Seconde Guerre mondiale. Il semblerait que les usines d'IG Farben n'aient pas été spécifiquement ciblées lors des bombardements sur l'Allemagne. Il est intéressant de noter qu'à la fin de la guerre, on a constaté qu'elles n'avaient subi que 15 % de dommages.

Les tribunaux instituĂ©s Ă  la fin de la Seconde Guerre mondiale pour enquĂȘter sur les crimes de guerre nazis ont censurĂ© tout document faisant Ă©tat de l'aide occidentale Ă  Hitler.

Les Rothschild ont fait un pas de géant vers leur objectif de domination mondiale lorsque la deuxiÚme « Société des Nations », appelée « Nations Unies », a été approuvée cette année-là.

1946 : Le 22 juillet, le futur Premier ministre d'IsraĂ«l, le Juif ashkĂ©naze David Ben Gourion, ordonne Ă  un autre futur Premier ministre d'IsraĂ«l, le Juif ashkĂ©naze Menachem Begin, de mener une attaque terroriste contre l'hĂŽtel King David en Palestine, pour tenter de chasser les Britanniques. En consĂ©quence, 91 personnes ont Ă©tĂ© tuĂ©es, la plupart d’entre elles Ă©taient des civils : 28 Britanniques, 41 Arabes, 17 Juifs et 5 autres. Environ 45 personnes ont Ă©tĂ© blessĂ©es.

Menachem Begin s’est ensuite fiĂšrement proclamĂ© « le pĂšre du terrorisme moderne ». Pour mettre en perspective la gravitĂ© de l’attaque contre l’hĂŽtel King David, il s’agissait Ă  l’époque du plus grand nombre de morts jamais enregistrĂ© Ă  la suite d’une seule action terroriste et il n’a Ă©tĂ© dĂ©passĂ© que plus de quarante ans plus tard par l’attentat contre le vol 103 de la Pan Am au-dessus de Lockerbie.
1947 : Les Britanniques qui, avant la Seconde Guerre mondiale, avaient dĂ©clarĂ© qu’il n’y aurait plus d’immigration de Juifs en Palestine afin de protĂ©ger les Palestiniens de leurs actes de terreur contre eux et les soldats britanniques, transfĂšrent le contrĂŽle de la Palestine aux Nations Unies. Les Nations Unies dĂ©cident de diviser la Palestine en deux États, l’un sioniste et l’autre arabe, JĂ©rusalem demeurant une zone internationale dont toutes les confessions religieuses pourraient profiter.

Ce transfert devait avoir lieu le 15 mai 1948. Les Nations Unies n’avaient pas le droit de donner des biens arabes Ă  qui que ce soit, car mĂȘme si les Juifs possĂ©daient 6 % de la Palestine Ă  cette Ă©poque, la rĂ©solution 181 leur accordait 57 % du territoire, laissant aux Arabes qui en possĂ©daient alors 94 % seulement 43 %.

Les informations recueillies par l’ADL dans ses opĂ©rations d’espionnage sur les citoyens amĂ©ricains sont utilisĂ©es par la commission spĂ©ciale de la Chambre des reprĂ©sentants sur les activitĂ©s anti-amĂ©ricaines. La prĂ©sidente de la sous-commission, Clare Hoffman, rejette les rapports de l’ADL sur les communistes prĂ©sumĂ©s comme Ă©tant des « ouĂŻ-dire ».
1948 : Au printemps de cette annĂ©e, les Rothschild soudoient le prĂ©sident Harry S. Truman (33e prĂ©sident des États-Unis de 1945 Ă  1953) pour qu'il reconnaisse IsraĂ«l (territoire sioniste et non juif appartenant aux Rothschild) comme État souverain, en lui versant 2 000 000 $ qu'ils lui remettent dans son train de campagne.

Ils dĂ©clarent ensuite qu'IsraĂ«l est un État juif souverain en Palestine et, dans la demi-heure qui suit, le prĂ©sident Truman dĂ©clare que les États-Unis sont la premiĂšre nation Ă©trangĂšre Ă  le reconnaĂźtre.

Le drapeau d'Israël est dévoilé. Malgré une opposition énorme, l'emblÚme sur le drapeau est une version bleue du Rothschild, « l'hexagramme ou le signe rouge ».

Cela met en colĂšre de nombreux Juifs qui rĂ©alisent que cet hexagramme Ă©tait utilisĂ© dans les anciennes religions mystĂ©rieuses comme symbole de « Moloch » (dĂ©crit comme un dĂ©mon du sacrifice involontaire et qui est aussi curieusement le nom du hibou de pierre que l’élite vĂ©nĂšre Ă  Bohemian Grove) et « Astaroth » (dĂ©crit comme le Seigneur TrĂ©sorier de l’Enfer).

L’hexagramme Ă©tait Ă©galement utilisĂ© pour reprĂ©senter Saturne, qui a Ă©tĂ© identifiĂ© comme le nom Ă©sotĂ©rique de « Satan ». Cela indique que toute personne tuĂ©e au nom d’IsraĂ«l est en fait un sacrifice Ă  Satan. Ces Juifs dissidents croient que la « Menorah », le plus ancien symbole juif, devrait ĂȘtre utilisĂ©e et ont soulignĂ© que l’hexagramme n’est mĂȘme pas un symbole juif, mais bien sĂ»r, comme les sionistes Rothschild l’utilisent, c’est ce qui finit sur le drapeau Rothschild, je veux dire sioniste, je veux dire le drapeau israĂ©lien.
Le 19 avril, aux premiÚres heures de la nuit, 132 terroristes juifs de l'Irgoun, dirigé par le futur Premier ministre israélien Menachem Begin, et du gang Stern, dirigé par le futur Premier ministre israélien Yitzhak Shamir, massacrent brutalement 200 hommes, femmes et enfants qui dormaient paisiblement dans le village arabe de Deir Yassin.

AprĂšs le transfert de la Palestine Ă  un État juif indĂ©pendant et Ă  un État arabe indĂ©pendant par les Nations Unies le 15 mai, les IsraĂ©liens ont lancĂ© une attaque militaire contre les Arabes avec des haut-parleurs hurlants sur leurs camions, informant les Arabes que s'ils ne fuyaient pas immĂ©diatement, ils seraient massacrĂ©s.

800 000 Arabes, avec le souvenir rĂ©cent du massacre de Deir Yassin en tĂȘte, ont fui, paniquĂ©s. Ils ont demandĂ© de l'aide aux États arabes voisins, mais ces États n'ont pas participĂ© car ils n'Ă©taient pas de taille face aux IsraĂ©liens dont le matĂ©riel militaire moderne avait Ă©tĂ© fourni par le rĂ©gime juif stalinien de Russie. AprĂšs cette attaque, les Juifs contrĂŽlaient dĂ©sormais 78 % de l’ancienne Palestine, contre 57 % qui leur avaient Ă©tĂ© donnĂ©s illĂ©galement par les Nations Unies.

Les Palestiniens, dont beaucoup Ă©taient chrĂ©tiens, n’ont jamais reçu d’indemnisation pour leurs maisons, leurs biens et leurs entreprises qui leur avaient Ă©tĂ© volĂ©s lors de cette attaque juive illĂ©gale, et ces personnes se sont retrouvĂ©es dans des bidonvilles de tentes. De plus, au moins la moitiĂ© des Palestiniens, dans leur hĂąte de fuir, ont laissĂ© derriĂšre eux leurs certificats de naissance. L’État d’IsraĂ«l a alors adoptĂ© une loi selon laquelle seuls ceux qui pouvaient prouver leur citoyennetĂ© Ă©taient autorisĂ©s Ă  retourner en IsraĂ«l, ce qui signifie que ces 400 000 Palestiniens ne pouvaient pas revenir et ont perdu tous les biens qu’ils avaient laissĂ©s lĂ -bas.

Le Juif ashkĂ©naze, David Ben Gourion, l’un des pĂšres fondateurs d’IsraĂ«l et son premier Premier ministre, dĂ©crit avec candeur les objectifs sionistes dans son journal (21 mai 1948) comme suit :

« Le talon d’Achille de la coalition arabe est le Liban. La suprĂ©matie musulmane dans ce pays est artificielle et peut facilement ĂȘtre renversĂ©e. Il faudrait y Ă©tablir un État chrĂ©tien, dont la frontiĂšre sud serait sur le fleuve Litani. Nous signerions avec cet État un traitĂ© d’alliance. Ainsi, lorsque nous aurions brisĂ© la force de la LĂ©gion arabe et bombardĂ© Amman, nous pourrions anĂ©antir la Transjordanie, aprĂšs quoi la Syrie tomberait. Et si l’Égypte osait encore nous faire la guerre, nous bombarderions Port-SaĂŻd, Alexandrie et Le Caire. Nous aurions ainsi mis fin Ă  la guerre et n’aurions fait que payer Ă  l’Égypte, Ă  l’Assyrie et Ă  la ChaldĂ©e au nom de nos ancĂȘtres.
1949 : Le 1er octobre, Mao Tse Tsung proclame la fondation de la République populaire de Chine sur la place Tiananmen à Pékin. Il est financé par le communisme créé par Rothschild en Russie et par les agents Rothschild suivants : Solomon Adler, un ancien fonctionnaire du Trésor américain qui était un espion soviétique ; Israël Epstein, le fils d'un bolchevik juif emprisonné par le tsar en Russie pour avoir tenté de fomenter une révolution dans ce pays ; et Frank Coe, un haut fonctionnaire du FMI détenu par Rothschild.

1950 : IsraĂ«l adopte sa loi du retour, garantissant Ă  chaque Juif du monde le droit de rĂ©sider dans l'État d'IsraĂ«l, mais les Palestiniens, bien qu'ils y aient vĂ©cu pendant 1300 ans, se sont vu refuser ce droit.

John Davitt, ancien chef de la section de sĂ©curitĂ© intĂ©rieure du ministĂšre de la Justice, note que les services de renseignement israĂ©liens sont les deuxiĂšmes plus actifs aux États-Unis aprĂšs les SoviĂ©tiques et bien sĂ»r, IsraĂ«l et l'Union soviĂ©tique sont tous deux dirigĂ©s par une direction juive ashkĂ©naze.

1951 : Le 1er avril, l’agence de renseignement secrĂšte israĂ©lienne, le Mossad, qui va continuer Ă  terroriser le monde, est crĂ©Ă©e. La devise du Mossad est probablement la devise la plus dĂ©goĂ»tante des services secrets au monde :

« Par la tromperie,
tu feras la guerre ».
1953 : N. M. Rothschild & Sons fonde la British Newfoundland Corporation Limited pour dĂ©velopper 60 000 miles carrĂ©s de terres Ă  Terre-Neuve, au Canada, qui comprennent une centrale Ă©lectrique pour exploiter l'Ă©nergie des chutes Hamilton (plus tard rebaptisĂ©es Churchill). À l'Ă©poque, il s'agissait du plus grand projet de construction jamais entrepris par une entreprise privĂ©e.

1954 : « L'affaire Lavon ». Des agents israĂ©liens recrutent des citoyens Ă©gyptiens d'origine juive pour bombarder des cibles occidentales en Égypte et pour introduire des preuves afin de piĂ©ger les Arabes, dans une tentative apparente de perturber les relations amĂ©ricano-Ă©gyptiennes. Le ministre israĂ©lien de la DĂ©fense, un Juif ashkĂ©naze, Pinhas Lavon, est finalement dĂ©mis de ses fonctions, bien que beaucoup pensent que la vĂ©ritable responsabilitĂ© incombe Ă  David Ben Gourion.

Un microphone cachĂ© placĂ© par les IsraĂ©liens est dĂ©couvert dans le bureau de l'ambassadeur des États-Unis Ă  Tel-Aviv.
1956 : Des Ă©coutes tĂ©lĂ©phoniques sont dĂ©couvertes dans la rĂ©sidence de l’attachĂ© militaire amĂ©ricain Ă  Tel-Aviv.

1957 : James de Rothschild dĂ©cĂšde et il est rapportĂ© (par les mĂ©dias appartenant aux Rothschild) qu’il lĂšgue une importante somme d’argent Ă  l’État d’IsraĂ«l pour financer la construction de son parlement, la Knesset. Il dĂ©clare que la Knesset devrait ĂȘtre,

« un symbole, aux yeux de tous les hommes, de la permanence de l’État d’IsraĂ«l ».

À la page 219 de son livre, « Tales of the British Aristocracy », L.G. Pine, rĂ©dacteur en chef de Burke’s Peerage, dĂ©clare que les Juifs,

« se sont liĂ©s si Ă©troitement Ă  la noblesse britannique que les deux classes ne risquent pas de subir une perte qui ne soit pas mutuelle. Les Juifs et les seigneurs sont si Ă©troitement liĂ©s qu’un coup portĂ© aux Juifs dans ce pays ne serait pas possible sans nuire Ă©galement Ă  l’aristocratie ».
1962 : de Rothschild FrĂšres crĂ©e ImĂ©tal, une sociĂ©tĂ© mĂšre pour tous ses intĂ©rĂȘts miniers.

Frédéric Morton publie son livre, The Rothschilds, dans lequel il déclare :

« Bien qu’ils contrĂŽlent des dizaines de sociĂ©tĂ©s industrielles, commerciales, miniĂšres et touristiques, aucune ne porte le nom de Rothschild. Étant des sociĂ©tĂ©s privĂ©es, les maisons familiales n’ont jamais besoin de publier un seul bilan public, ni aucun autre rapport sur leur situation financiĂšre, et ne le font jamais. »

Cette attitude révÚle le véritable objectif des Rothschild, éliminer toute concurrence et créer leur propre monopole mondial.
1963 : Le 4 juin, le prĂ©sident John F. Kennedy (35e prĂ©sident des États-Unis de 1961 Ă  1963) signe le dĂ©cret exĂ©cutif 11110 qui redonne au gouvernement amĂ©ricain le pouvoir d'Ă©mettre de la monnaie, sans passer par la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale dĂ©tenue par les Rostschild.

Moins de 6 mois plus tard, le 22 novembre, le prĂ©sident Kennedy est assassinĂ© par les Rothschild pour la mĂȘme raison qu'ils ont assassinĂ© le prĂ©sident Abraham Lincoln en 1865, il voulait imprimer de la monnaie amĂ©ricaine pour le peuple amĂ©ricain, plutĂŽt que pour le bĂ©nĂ©fice d'une Ă©lite Ă©trangĂšre avide d'argent et belliciste. Il voulait Ă©galement inspecter la centrale nuclĂ©aire de Dimona contre la volontĂ© d'IsraĂ«l.

Ce dĂ©cret exĂ©cutif 11110 est annulĂ© par le prĂ©sident Lyndon Baines Johnson (36e prĂ©sident des États-Unis de 1963 Ă  1969) Ă  bord d'Air Force One de Dallas Ă  Washington, le jour mĂȘme de l'assassinat du prĂ©sident Kennedy.

Une autre raison, et probablement la principale, de l’assassinat de Kennedy est le fait qu’il ait clairement fait savoir au Premier ministre israĂ©lien, David Ben Gourion, qu’en aucun cas il n’accepterait qu’IsraĂ«l devienne un État nuclĂ©aire. Le journal israĂ©lien Ha’aretz du 5 fĂ©vrier 1999, dans une critique du livre d’Avner Cohen, « IsraĂ«l et la bombe », dĂ©clare ce qui suit :

« L’assassinat du prĂ©sident amĂ©ricain John F. Kennedy a mis un terme brutal Ă  la pression massive exercĂ©e par l’administration amĂ©ricaine sur le gouvernement d’IsraĂ«l pour qu’il mette fin au programme nuclĂ©aire
 Le livre sous-entendait que, si Kennedy Ă©tait restĂ© en vie, il est peu probable qu’IsraĂ«l ait aujourd’hui l’option nuclĂ©aire. »
1965 : IsraĂ«l obtient illĂ©galement de l’uranium enrichi auprĂšs de la NUMEC (Nuclear Materials and Equipment Corporation).

1967 : Le traitement des Palestiniens par les juifs sionistes dĂ©clenche enfin suffisamment de colĂšre dans le monde arabe pour que l’Égypte, la Jordanie et la Syrie se mobilisent aux frontiĂšres d’IsraĂ«l. Ces trois pays sont soudainement attaquĂ©s par IsraĂ«l et, par consĂ©quent, le SinaĂŻ, qui comprend Gaza, est volĂ© Ă  l’Égypte, ainsi que la Cisjordanie et le Jourdain Ă  la Jordanie.

En consĂ©quence, le 8 juin, les IsraĂ©liens lancent une attaque contre l’USS Liberty avec des avions et des vedettes lance-torpilles israĂ©liens, dans le but de rejeter la responsabilitĂ© sur l’Égypte, d’amener l’AmĂ©rique Ă  entrer en guerre Ă  leurs cĂŽtĂ©s et, bien sĂ»r, de suivre Ă  la lettre la devise du Mossad,

« Par la tromperie, tu feras la guerre. »
À la suite de leur attaque, 34 militaires amĂ©ricains ont Ă©tĂ© tuĂ©s et 174 blessĂ©s. IsraĂ«l ment comme d'habitude, affirmant avoir confondu ce navire de guerre qui arborait un grand drapeau amĂ©ricain avec un ancien navire hors service.
Le porte-avions Ă©gyptien El Quseir, qui mesurait 55 mĂštres de moins, a Ă©galement Ă©tĂ© dĂ©clarĂ© en zone de guerre, alors qu’il se trouvait en rĂ©alitĂ© dans les eaux internationales, loin de tout combat. L’attaque israĂ©lienne contre ce navire de guerre a durĂ© 75 minutes, pendant lesquelles les IsraĂ©liens ont tirĂ© sur l’un des drapeaux des États-Unis, ce qui a poussĂ© les marins Ă  en lever un autre dĂ©sespĂ©rĂ©ment.

A la suite de cette attaque, les marins amĂ©ricains qui ont survĂ©cu ont Ă©tĂ© avertis par l’armĂ©e amĂ©ricaine de ne pas discuter de l’affaire avec qui que ce soit pour des raisons de « sĂ©curitĂ© nationale ». Cette histoire n’a pas d’importance dans les mĂ©dias grand public contrĂŽlĂ©s par les Rothschild et, comme d’habitude, IsraĂ«l n’est en aucun cas rĂ©primandĂ© pour ses crimes par son pays asservi, l’AmĂ©rique.

Le lendemain, le 9 juin, IsraĂ«l occupe illĂ©galement le plateau du Golan qu’il a saisi Ă  la Syrie. Cette zone continue de fournir Ă  IsraĂ«l un tiers de son eau douce.

Le gĂ©nĂ©ral israĂ©lien Matityahu Peled est citĂ© dans Ha’aretz (19 mars 1972) avec la dĂ©claration suivante :

« La thĂšse selon laquelle le danger de gĂ©nocide pesait sur nous en juin 1967 et qu’IsraĂ«l se battait pour son existence physique n’est qu’un bluff, qui est nĂ© et s’est dĂ©veloppĂ© aprĂšs la guerre. » Une autre dĂ©claration Ă©cƓurante et trompeuse, mais au moins, elle est cohĂ©rente avec la devise du Mossad, « Par la tromperie, tu feras la guerre. » de Rothschild FrĂšres est rebaptisĂ©e Banque Rothschild.
1970 : Alors qu’il travaille pour le sĂ©nateur Henry « Scoop » Jackson, le juif ashkĂ©naze Richard Perle est surpris par le FBI en train de donner des informations classifiĂ©es Ă  IsraĂ«l. Rien n’est fait.

Le Premier ministre britannique Edward Heath nomme Lord Victor Rothschild Ă  la tĂȘte de son unitĂ© politique. Alors qu’il occupe ce poste, la Grande-Bretagne entre dans la CommunautĂ© europĂ©enne.

1973 : Dans son livre, Personne n’ose appeler ça une conspiration, Gary Allen dĂ©clare :

« L’une des principales raisons du black-out historique sur le rĂŽle des banquiers internationaux dans l’histoire politique est que les Rothschild Ă©taient juifs
 Les membres juifs de la conspiration ont utilisĂ© une organisation appelĂ©e la Ligue anti-diffamation (ADL) comme instrument pour essayer de convaincre tout le monde que toute mention des Rothschild et de leurs alliĂ©s est une attaque contre tous les juifs. De cette façon, ils ont Ă©touffĂ© presque toutes les Ă©tudes honnĂȘtes sur les banquiers internationaux et ont rendu le sujet tabou dans les universitĂ©s. Tout individu ou livre explorant ce sujet est immĂ©diatement attaquĂ© par des centaines de communautĂ©s ADL dans tout le pays. L’ADL n’a jamais laissĂ© la vĂ©ritĂ© ou la logique interfĂ©rer avec ses campagnes de diffamation hautement professionnelles

George J. Laurer, un employĂ© d’IBM, contrĂŽlĂ©e par les Rothschild, invente le code-barres UPC (Universal Product Code) qui sera finalement placĂ© sur chaque article commercialisĂ© dans le monde entier et portera le numĂ©ro 666. Le livre de l’Apocalypse, chapitre 13, versets 17 Ă  18, dĂ©clare ce qui suit Ă  propos de ce numĂ©ro :

« Et personne ne pouvait acheter ou vendre, sans avoir la marque, le nom de la bĂȘte ou le nombre de son nom. C’est lĂ  la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence compte le nombre de la bĂȘte : car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

Les objectifs sataniques des Rothschild sont dĂ©sormais pleinement visibles dans le monde entier, tout ce qui est achetĂ© ou vendu porte la marque de la bĂȘte, 666.
N. M. Rothschild & Sons British Newfoundland Corporation, projet Churchill Falls à Terre-Neuve, Canada, est achevé.

N. M. Rothschild & Sons crée également une nouvelle branche de gestion d'actifs de la société qui fait du commerce dans le monde entier. Elle devient finalement Rothschild Private Management Limited.

Edmond de Rothschild, arriĂšre-petit-fils de Jacob (James) Mayer Rothschild, achĂšte le domaine cru bourgeois de ChĂąteau Clarke Ă  Bordeaux.

1976 : Harold Rosenthal, juif ashkénaze, assistant du sénateur juif ashkénaze Jacob Javits, déclare :

« La plupart des juifs n'aiment pas l'admettre, mais notre dieu est Lucifer. »
1978 : Stephen Bryen, un Juif ashkénaze, alors membre de la Commission des relations étrangÚres du Sénat, est surpris dans un hÎtel de Washington D.C. en train de proposer des documents confidentiels à de hauts responsables militaires israéliens.

Bryen obtient un avocat, Nathan Lewin, et l'affaire est présentée au grand jury, mais elle est mystérieusement abandonnée.

Bryen travaille ensuite pour Richard Perle.

1979 : Le traitĂ© de paix Ă©gypto-israĂ©lien de 1979 a Ă©tĂ© garanti par l'aide amĂ©ricaine, qui a promis 3 milliards de dollars par an Ă  IsraĂ«l provenant du contribuable amĂ©ricain (pas mĂȘme une goutte d'eau dans l'ocĂ©an quand on considĂšre le montant qu'ils gagnent avec la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale).

Le Shin Bet (l'agence de sĂ©curitĂ© intĂ©rieure israĂ©lienne) tente de pĂ©nĂ©trer le consulat gĂ©nĂ©ral des États-Unis Ă  JĂ©rusalem par le biais d'un « piĂšge Ă  miel », en utilisant un employĂ© de bureau qui avait une liaison avec une fille de JĂ©rusalem.

Le baron et la baronne Phillipi de Rothschild, en collaboration avec Robert Mondavi, commencent la construction d'une pyramide dans la Napa Valley, en Californie, oĂč le chef/fondateur de l'Église de Satan, le juif ashkĂ©naze Anton LaVey, Ă©tait basĂ©. Ce temple est connu sous le nom d'Opus 1 (ce qui signifie la premiĂšre Ɠuvre), et la façade de ce temple est celle d'une cave Ă  vin.
1980 : Le phĂ©nomĂšne mondial de privatisation commence. Les Rothschild sont Ă  l’origine de ce phĂ©nomĂšne dĂšs le dĂ©but afin de prendre le contrĂŽle de tous les actifs publics dans le monde.

1981 : La Banque Rothschild est nationalisĂ©e par le gouvernement français. La nouvelle banque prend le nom de Compagnie EuropĂ©enne de Banque. Les Rothschild crĂ©ent ensuite un successeur Ă  cette banque française, Rothschild & Cie Banque (RCB), qui deviendra par la suite une sociĂ©tĂ© d’investissement française de premier plan.

1982 : Du 16 au 18 septembre, le futur Premier ministre d’IsraĂ«l et alors ministre de la DĂ©fense, le Juif ashkĂ©naze Ariel Sharon, orchestre l’invasion du Liban par IsraĂ«l, qui a fourni des Ă©clairages aĂ©riens afin de faciliter le massacre de 1000 Ă  2000 hommes, femmes et enfants lors des massacres de Sabra et Chatila.

1985 : Eustace Mullins publie « Qui possÚde les réseaux de télévision ? », dans lequel il révÚle que les Rothschild contrÎlent les trois principaux réseaux américains, à savoir NBC, CBS et ABC.

Le New York Times rapporte que le FBI est au courant d’au moins une douzaine d’incidents au cours desquels des responsables amĂ©ricains ont transmis des informations classifiĂ©es aux IsraĂ©liens, citant Raymond Wannal (ancien directeur adjoint du FBI). Le ministĂšre de la Justice n’engage pas de poursuites.

Richard Smyth, le propriétaire de MILCO, est inculpé de contrebande de dispositifs de chronométrage nucléaire vers Israël.

N. M. Rothschild & Sons conseille le gouvernement britannique sur la privatisation de British Gas. Ils conseillent ensuite le gouvernement britannique sur pratiquement toutes leurs autres privatisations d’actifs appartenant Ă  l’État, notamment : British Steel ; British Coal ; tous les conseils rĂ©gionaux britanniques d’électricitĂ© ; et tous les conseils rĂ©gionaux britanniques de l’eau.

Un dĂ©putĂ© britannique trĂšs impliquĂ© dans ces privatisations est le futur chancelier de l'Échiquier, Norman Lamont, ancien banquier Rothschild.
1986 : Mordechai Vanunu, technicien Ă  Dimona, l’installation nuclĂ©aire israĂ©lienne, de 1976 Ă  1985, dĂ©couvre que l’usine produisait secrĂštement des armes nuclĂ©aires.

Sa conscience l’a poussĂ© Ă  parler et en 1986, il a fourni au Sunday Times de Londres les faits et les photos qu’ils ont utilisĂ©s pour informer le monde du programme d’armes nuclĂ©aires d’IsraĂ«l.

Ses preuves ont montrĂ© qu’IsraĂ«l avait stockĂ© jusqu’à 200 ogives nuclĂ©aires, sans dĂ©bat ni autorisation de ses propres citoyens. Le 30 septembre 1986, Vanunu a Ă©tĂ© attirĂ© de Londres Ă  Rome. LĂ , il a Ă©tĂ© kidnappĂ©, droguĂ© et envoyĂ© en IsraĂ«l.

A l’issue d’un procĂšs secret, il a Ă©tĂ© condamnĂ© Ă  18 ans de prison pour « trahison » et « espionnage » (choses qu’IsraĂ«l connaĂźt bien), bien qu’il n’ait reçu aucun paiement et n’ait communiquĂ© avec aucune puissance Ă©trangĂšre.

Il est maintenu en isolement total pendant 11 ans, et n'est autorisĂ© Ă  recevoir que de temps Ă  autre des visites de sa famille, de son avocat et d'un prĂȘtre, Ă  travers un Ă©cran mĂ©tallique. Bien qu'il ait purgĂ© sa peine, le gouvernement israĂ©lien continue de le dĂ©tenir contre son grĂ©.
1987 : Edmond de Rothschild crée la Banque mondiale pour la conservation, qui a pour but de transférer les dettes des pays du tiers monde à cette banque, et en échange, ces pays lui donneraient des terres. Cette initiative a pour but de permettre aux Rothschild de prendre le contrÎle du tiers monde, qui représente 30 % de la surface terrestre de la planÚte.

Le 24 avril, le Wall Street Journal rĂ©vĂšle que « le rĂŽle d’IsraĂ«l dans le scandale Iran-Contra ne sera pas Ă©tudiĂ© en dĂ©tail par les commissions d’enquĂȘte ».

1988 : L’ADL lance un concours national pour les Ă©tudiants en droit afin qu’ils rĂ©digent une loi anti-haine pour les groupes minoritaires. Ce concours est remportĂ© par un homme du nom de Joseph Ribakoff, dont la thĂšse propose que non seulement la violence motivĂ©e par la haine doit ĂȘtre interdite, mais aussi que tous les mots qui stimulent : la suspicion, la friction, la haine et la violence Ă©ventuelle doivent Ă©galement ĂȘtre criminalisĂ©s.

Ce document primĂ© par l’ADL suggĂšre que non seulement les agences gouvernementales devraient surveiller et restreindre la libertĂ© d’expression en gĂ©nĂ©ral, mais qu’elles devraient Ă©galement censurer tous les films qui critiquent des groupes identifiables. De plus, mĂȘme si la personne qui fait une dĂ©claration peut la justifier, par exemple les chrĂ©tiens qui critiquent l’homosexualitĂ© parce que la Bible l’interdit expressĂ©ment, Ribakoff affirme que la vĂ©ritĂ© ne peut ĂȘtre dĂ©fendue devant un tribunal.

La seule preuve dont un tribunal aura besoin pour obtenir une condamnation pour discours de haine est que quelque chose a Ă©tĂ© dit et qu’un groupe minoritaire ou un membre de ce groupe s’est senti Ă©motionnellement blessĂ© Ă  la suite de cette critique. Par consĂ©quent, en vertu de ces propositions que l’ADL aura imposĂ©es dans le monde entier moins de 15 ans plus tard, JĂ©sus-Christ aurait Ă©tĂ© arrĂȘtĂ© comme criminel de haine.

Cette loi est conçue pour protĂ©ger la conspiration des Rothschild contre toute rĂ©vĂ©lation, car si vous critiquez la cabale criminelle des Rothschild, vous serez ciblĂ© comme antisĂ©mite et risquerez donc l’emprisonnement.
1989 : De nombreux États satellites d’Europe de l’Est, sous l’influence de la Glasnost, deviennent plus ouverts dans leurs revendications de libĂ©ration du gouvernement communiste dans leurs rĂ©publiques.

De nombreuses révolutions ont lieu en 1989, la plupart impliquant le renversement de leurs gouvernements communistes respectifs et leur remplacement par des républiques.

L’emprise des communistes sur l’Europe de l’Est (le rideau de fer) devient alors trĂšs faible. Finalement, Ă  cause de la perestroĂŻka et de la Glasnost, le communisme s’effondre, non seulement en Union soviĂ©tique mais aussi en Europe de l’Est.

En Russie, Boris Eltsine (dont l’épouse est la fille du mariage de Joseph Staline avec Rosa Kaganovich) et le gouvernement rĂ©publicain prennent des mesures pour mettre fin au pouvoir du parti communiste en suspendant et en interdisant le parti et en saisissant tous leurs biens.

Cela symbolise la chute du communisme en Russie et entraĂźne le dĂ©but d’un exode massif de 700 000 Juifs de l’ancienne Union soviĂ©tique vers IsraĂ«l.

Dans le journal israĂ©lien Hotam (24 novembre 1989), on trouve un compte-rendu d’un discours prononcĂ© par le vice-ministre israĂ©lien des Affaires Ă©trangĂšres de l’époque, le juif ashkĂ©naze Binyamin Netanyahu, devant des Ă©tudiants de l’universitĂ© Bar Ilan, dans lequel il dĂ©clare :

« IsraĂ«l aurait dĂ» exploiter la rĂ©pression des manifestations en Chine, alors que l’attention mondiale Ă©tait focalisĂ©e sur ce pays, pour procĂ©der Ă  des expulsions massives parmi les Arabes des territoires. »

Les Rothschild de Londres et de Paris annoncent le lancement d’une nouvelle filiale, Rothschild GmbH, à Francfort, en Allemagne.
1991 : Suite Ă  l’invasion du KoweĂŻt par l’Irak le 2 aoĂ»t 1990, le 16 janvier de cette annĂ©e, les États-Unis et la Grande-Bretagne ont lancĂ© une campagne de bombardements aĂ©riens sur des cibles en Irak. Le 24 fĂ©vrier, la campagne terrestre a commencĂ© et a durĂ© 100 heures jusqu’au 28 fĂ©vrier, date Ă  laquelle un horrible crime de guerre a Ă©tĂ© commis.

Ce crime a consistĂ© en l’assassinat de 150 000 soldats irakiens au moyen de bombes Ă  air comprimĂ©. Ces Irakiens fuyaient sur une autoroute bondĂ©e du KoweĂŻt Ă  Bassora. Le prĂ©sident George Herbert Walker Bush a ordonnĂ© Ă  l’aviation militaire amĂ©ricaine et aux unitĂ©s terrestres de tuer ces soldats qui se rendaient, puis ils ont Ă©tĂ© enfouis dans des fosses communes anonymes dans le dĂ©sert, certains Ă©tant encore vivants.

Le prĂ©sident Bush a ensuite ordonnĂ© la cessation des hostilitĂ©s. Quelle Ă©tait la signification de ce massacre et de la dĂ©claration de fin de guerre du prĂ©sident Bush ce jour-lĂ  ? Eh bien, c’était le jour de Pourim cette annĂ©e. C’est le jour oĂč les Juifs cĂ©lĂšbrent leur victoire sur l’ancienne Babylone, aujourd’hui basĂ©e dans les frontiĂšres de l’Irak, et un jour oĂč les Juifs sont encouragĂ©s Ă  se venger dans le sang de leurs ennemis prĂ©sumĂ©s.

Lors de la confĂ©rence Bilderberg qui s’est tenue du 6 au 9 juin de cette annĂ©e, Ă  Baden-Baden, en Allemagne, David Rockefeller (un Rothschild) a fait la dĂ©claration suivante :

« Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, au Time Magazine et Ă  d’autres grandes publications dont les directeurs ont assistĂ© Ă  nos rĂ©unions et respectĂ© leurs promesses de discrĂ©tion pendant prĂšs de 40 ans. Il nous aurait Ă©tĂ© impossible de dĂ©velopper notre plan pour le monde si nous avions Ă©tĂ© exposĂ©s aux lumiĂšres de la publicitĂ© pendant ces annĂ©es. Mais le monde est dĂ©sormais plus sophistiquĂ© et prĂȘt Ă  marcher vers un gouvernement mondial. La souverainetĂ© supranationale d’une Ă©lite intellectuelle et de banquiers mondiaux est certainement prĂ©fĂ©rable Ă  l’autodĂ©termination nationale pratiquĂ©e au cours des siĂšcles passĂ©s. »
1992 : En mars, l’ancien prĂ©sident du conseil d’administration de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale, Paul A. Volker, devient prĂ©sident de la banque europĂ©enne J. Rothschild, Wolfensohn and Co.

Stephen Bryen, arrĂȘtĂ© en 1978 pour avoir offert des documents confidentiels Ă  IsraĂ«l, siĂšge au conseil d’administration de l’Institut juif pro-israĂ©lien pour les affaires de sĂ©curitĂ© nationale tout en continuant Ă  travailler comme consultant rĂ©munĂ©rĂ©, avec une habilitation de sĂ©curitĂ©, sur les exportations de technologies amĂ©ricaines sensibles.

Seymour M. Hersh, dans « The Samson Option », rapporte :

« Les renseignements obtenus illĂ©galement ont Ă©tĂ© transmis en si grand nombre de LAKAM (une unitĂ© secrĂšte de renseignement israĂ©lienne, acronyme hĂ©breu de Scientific Liaison Bureau) aux services de renseignement israĂ©liens qu’un nom de code spĂ©cial, JUMBO, a Ă©tĂ© ajoutĂ© aux marquages ​​de sĂ©curitĂ© dĂ©jĂ  prĂ©sents sur les documents. Ari Ben-Menashe se souvient qu’il y avait des ordres stricts : « Tout ce qui Ă©tait marquĂ© JUMBO n’était pas censĂ© ĂȘtre discutĂ© avec vos homologues amĂ©ricains. »
Le Wall Street Journal rapporte que des agents israéliens ont apparemment tenté de voler le systÚme de caméra espionne aérienne top secret de Recon Optical Inc.

Le 16 septembre, la livre sterling britannique s’effondre lorsque des spĂ©culateurs sur les devises, menĂ©s par l’agent Rothschild, le Juif ashkĂ©naze George Soros, empruntent des livres et les vendent contre des Deutsche Marks, dans l’espoir de pouvoir rembourser le prĂȘt en monnaie dĂ©valuĂ©e et d’empocher la diffĂ©rence.

Le chancelier de l’Échiquier britannique, Norman Lamont, annonce alors une hausse des taux d’intĂ©rĂȘt de 5 % en une journĂ©e, ce qui entraĂźne la Grande-Bretagne dans une rĂ©cession qui dure plusieurs annĂ©es, avec la faillite d’un grand nombre d’entreprises et l’effondrement du marchĂ© immobilier.

C’est exactement ce qui est arrivĂ© aux Rothschild, aprĂšs qu’ils ont privatisĂ© les actifs publics britanniques dans les annĂ©es 1980, fait grimper le prix des actions, puis fait s’effondrer les marchĂ©s pour pouvoir les acheter pour quelques centimes par livre, une copie conforme de ce que Nathan Mayer Rothschild avait fait Ă  l’économie britannique 180 ans auparavant, en 1812.

On ne saurait trop insister sur le fait que le chancelier de l’Échiquier de l’époque, Norman Lamont, avant de devenir dĂ©putĂ©, Ă©tait banquier d’affaires chez N. M. Rothschild and Sons, qu’il avait rejoint aprĂšs avoir Ă©tudiĂ© l’économie Ă  Cambridge.
1993 : Norman Lamont quitte le gouvernement britannique pour retourner chez N. M. Rothschild and Sons en tant que directeur, aprĂšs avoir accompli sa mission visant Ă  faire s’effondrer l’économie britannique au profit des Rothschild.

L’ancien membre du Congrùs, Paul Findley, publie son livre fondateur, Deliberate Deceptions: Facing the Facts About the U.S. Israeli Relationship.

Dans ce livre, il Ă©numĂšre les 65 rĂ©solutions des membres des Nations Unies contre IsraĂ«l de 1955 Ă  1992, et les 30 vetos des États-Unis au nom d’IsraĂ«l qui, s’ils n’avaient pas Ă©tĂ© appliquĂ©s, auraient vu IsraĂ«l se retrouver avec 95 rĂ©solutions contre eux Ă  ce stade.

Quoi qu’il en soit, mĂȘme avec la marionnette d’IsraĂ«l, les États-Unis, qui les aident Ă  terroriser les autres, les 65 rĂ©solutions adoptĂ©es contre IsraĂ«l sont plus nombreuses que toutes les rĂ©solutions adoptĂ©es contre tous les autres pays rĂ©unis.

Ce n’est pas qu’IsraĂ«l se soucie beaucoup de l’opinion des Nations Unies quand on sait que moins de deux semaines aprĂšs l’attaque israĂ©lienne contre l’USS Liberty (une attaque conçue pour couler le Liberty et imputer la responsabilitĂ© Ă  l’Égypte, poussant ainsi les États-Unis Ă  entrer en guerre avec l’Égypte au nom des mensonges israĂ©liens, rappelez-vous la devise du Mossad, « Par la tromperie, tu feras la guerre »), le ministre israĂ©lien des Affaires Ă©trangĂšres, Aba Eban, a dĂ©clarĂ© Ă  propos des Nations Unies :

« Si l’AssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale devait voter par 121 voix contre 1 en faveur du retour d’« IsraĂ«l » aux lignes d’armistice (frontiĂšres d’avant juin 1967), « IsraĂ«l » refuserait de se conformer Ă  la dĂ©cision », New York Times – 19 juin 1967.
L'ADL est surprise en train de mener une opération d'espionnage massive contre les détracteurs d'Israël, les Américains d'origine arabe, le San Francisco Labor Council, l'ILWU Local 10, l'Oakland Educational Association, la NAACP, l'Irish Northern Aid, l'International Indian Treaty Council, l'Asian Law Caucus et la police de San Francisco.

Les données recueillies ont été envoyées en Israël et dans certains cas en Afrique du Sud. La pression des organisations juives force la ville à abandonner l'affaire pénale, mais l'ADL rÚgle un procÚs civil pour une somme d'argent non divulguée.
1995 : L'ancienne scientifique de l'énergie atomique, le Dr Kitty Little, affirme que les Rothschild contrÎlent désormais 80 % des réserves mondiales d'uranium, ce qui leur confÚre un monopole sur l'énergie nucléaire.

Le Service d'enquĂȘte de la dĂ©fense diffuse un mĂ©mo avertissant les entrepreneurs militaires amĂ©ricains que,

« Israël collecte de maniÚre agressive la technologie militaire et industrielle (américaine) ».

Le rapport indique qu'Israël obtient des informations en utilisant « le ciblage ethnique, l'agrandissement financier et l'identification et l'exploitation des faiblesses individuelles » des citoyens américains.

***QU'EST-CE QUE L'URANIUM 1 ? À QUI ISRAEL A-T-IL FAIT APPEL POUR TRANSPORTER SON URANIUM PAR PROCURATION EN CORÉE DU NORD POUR ENSUITE LES BLAMER?

IRAN RUSSIE CORÉE DU NORD

QUELS PAYS FONT ÉQUIPE CONTRE ISRAEL EN CE MOMENT > RÉFLÉCHIR RÉFLÉCHIR RÉFLÉCHIR ***
1996 : Un rapport du General Accounting Office,

« Defense Industrial Security : Weaknesses in US Security Arrangements With Foreign-Owned Defense Contractors », a rĂ©vĂ©lĂ© que, selon des sources de renseignement, le « Pays A » (identifiĂ© par des sources de renseignement comme IsraĂ«l, Washington Times, 22 fĂ©vrier 1996), « mĂšne l’opĂ©ration d’espionnage la plus agressive contre les États-Unis de tous les alliĂ©s des États-Unis ».

Le Jerusalem Post (30 août 1996) a cité le rapport :

« Les informations militaires classifiées et les technologies militaires sensibles sont des cibles prioritaires pour les agences de renseignement de ce pays ».

Le rapport décrit :

« Une opĂ©ration d’espionnage menĂ©e par l’organisation de renseignement chargĂ©e de collecter des informations scientifiques et technologiques pour (IsraĂ«l) a payĂ© un employĂ© du gouvernement amĂ©ricain pour obtenir des documents de renseignement militaire classifiĂ©s amĂ©ricains ».

Le Washington Report on Middle East Affairs (Shawn L. Twing, avril 1996) a notĂ© qu’il s’agissait de «

une rĂ©fĂ©rence Ă  l’arrestation en 1985 de Jonathan Pollard, un analyste civil du renseignement naval amĂ©ricain qui a fourni Ă  l’agence d’espionnage israĂ©lienne LAKAM environ 800 000 pages d’informations classifiĂ©es du renseignement amĂ©ricain. »
Le rapport du GAO a également noté que,

« Plusieurs citoyens (israĂ©liens) ont Ă©tĂ© surpris aux États-Unis en train de voler une technologie sensible utilisĂ©e dans la fabrication de tubes d’artillerie. »

Un document de l’Office of Naval Intelligence, « Worldwide Challenges to Naval Strike Warfare » a rapportĂ© que,

« La technologie amĂ©ricaine a Ă©tĂ© acquise (par la Chine) par l’intermĂ©diaire d’IsraĂ«l sous la forme du chasseur Lavi et peut-ĂȘtre de la technologie des missiles SAM (sol-air). »wrmea.org/1996-april/def

Amschel Rothschild, 41 ans, est Ă©tranglĂ© avec le cordon de sa propre serviette dans sa chambre d’hĂŽtel Ă  Paris. Le Premier ministre français ordonne Ă  la police française de clore son enquĂȘte et Rupert Murdoch, nĂ© d’une mĂšre juive et donc juif selon les critĂšres ashkĂ©nazes, ordonne Ă  ses rĂ©dacteurs en chef et directeurs de presse du monde entier de signaler l’incident comme une crise cardiaque, s’ils doivent le signaler.

Le 12 mai, la correspondante Lesley Stahl a demandĂ© Ă  l’ambassadrice des Nations Unies et juive ashkĂ©naze Madeleine Albright, lors de son passage dans l’émission 60 Minutes, en rĂ©fĂ©rence aux annĂ©es de sanctions Ă©conomiques menĂ©es par les États-Unis contre l’Irak :

« Nous avons entendu dire qu’un demi-million d’enfants sont morts. Je veux dire, c’est plus d’enfants que ceux qui sont morts Ă  Hiroshima. Et, vous savez, le prix en vaut-il la peine ? »

Ce Ă  quoi l’ambassadrice Albright a rĂ©pondu : « Je pense que c’est un choix trĂšs difficile, mais le prix, nous pensons, le prix en vaut la peine. »
Ses commentaires n’ont pas suscitĂ© de tollĂ© public. En fait, l’holocauste d’un demi-million d’enfants irakiens est admirĂ© par le gouvernement amĂ©ricain quand on sait que moins de huit mois plus tard, le prĂ©sident Clinton a nommĂ© Albright au poste de secrĂ©taire d’État. Alors qu’elle comparaissait devant la commission sĂ©natoriale qui Ă©tudiait sa nomination, Albright Ă©tait littĂ©ralement impatiente de voir le sang d’autres enfants irakiens couler et elle a dĂ©clarĂ© :

« Nous insisterons pour maintenir les sanctions sĂ©vĂšres de l’ONU contre l’Irak jusqu’à ce que ce rĂ©gime se conforme aux rĂ©solutions pertinentes du Conseil de sĂ©curitĂ©. »
1997 : David A. Tenenbaum, ingĂ©nieur mĂ©canique de l’armĂ©e, juif ashkĂ©naze, donne « par inadvertance » des informations militaires classifiĂ©es sur des systĂšmes de missiles et des vĂ©hicules blindĂ©s Ă  des responsables israĂ©liens (New York Times, 20 fĂ©vrier 1997).

Le Washington Post rapporte que les services de renseignements amĂ©ricains ont interceptĂ© une conversation au cours de laquelle deux responsables israĂ©liens avaient Ă©voquĂ© la possibilitĂ© d’obtenir une lettre confidentielle que le secrĂ©taire d’État de l’époque, Warren Christopher, avait Ă©crite au dirigeant palestinien Yasser Arafat.

L’un des IsraĂ©liens, identifiĂ© uniquement sous le nom de « Dov », avait dĂ©clarĂ© qu’ils pourraient obtenir la lettre de « Mega », le nom de code de l’agent principal d’IsraĂ«l aux États-Unis.

L’ambassadeur des États-Unis en IsraĂ«l, Martin Indyk, se plaint en privĂ© au gouvernement israĂ©lien de la surveillance excessive des agents des services de renseignements israĂ©liens.

Des agents israĂ©liens placent sur Ă©coute le tĂ©lĂ©phone de Monica Lewinsky, juive ashkĂ©naze et fille de rabbin, au Watergate, et enregistrent des sĂ©ances de sexe par tĂ©lĂ©phone entre elle et le prĂ©sident Bill Clinton. Le rapport de Ken Starr confirme que Clinton a prĂ©venu Lewinsky que leurs conversations Ă©taient enregistrĂ©es et a mis fin Ă  leur liaison. Il est intĂ©ressant de noter qu’au mĂȘme moment, la traque du FBI pour « Mega » est interrompue.

Le 29 octobre, Edmond de Rothschild meurt Ă  GenĂšve. Il est intĂ©ressant de noter que le mĂȘme jour, Anton Szandor LaVey, le fondateur de l’Église de Satan, dĂ©cĂšde Ă©galement. Dans son livre « Satan parle », il dĂ©clare Ă  propos des Protocoles des Sages de Sion :

« La premiĂšre fois que j’ai lu les Protocoles des Sages de Sion, ma rĂ©action instinctive a Ă©tĂ© : « Alors, qu’est-ce qui ne va pas avec ÇA ? N’est-ce pas ainsi que tout plan directeur devrait fonctionner ? Le public ne mĂ©rite-t-il pas – non, n’exige-t-il pas – un tel despotisme ? »

Kofi Annan devient SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations Unies. Il est mariĂ© Ă  Nane Lagergren, une Rothschild, qu’il a Ă©pousĂ©e en 1984.
1998 : La Banque centrale européenne est créée à Francfort, ville d'origine des Rothschild.

2000 : George W. Bush est Ă©lu (Ă  ce qu'on m'a dit) prĂ©sident des États-Unis. Bush et sa famille prĂ©tendent ĂȘtre les descendants de la maison Plantagenet, qui descend de la maison royale de Juda.

ILS NE LE SONT PAS
2001 : Le 11 septembre, l’attaque du World Trade Center est orchestrĂ©e par đŸ‡źđŸ‡± avec la complicitĂ© de la 🇬🇧 et de l’đŸ‡ș🇾, sous les ordres des Rothschild comme prĂ©texte pour priver les gens du monde entier de leur libertĂ© en Ă©change de la sĂ©curitĂ©, tout comme cela s’est produit avec l’incendie du Reichstag en đŸ‡©đŸ‡Ș oĂč les citoyens ont Ă©tĂ© trompĂ©s afin de renoncer Ă  leur libertĂ© en Ă©change de la sĂ©curitĂ©.

Ils utiliseront Ă©galement ces attaques pour prendre le contrĂŽle des quelques nations au monde qui n’autorisent pas les banques centrales Rothschild. Ainsi, moins d’un mois aprĂšs ces attaques, les forces amĂ©ricaines attaquent l’Afghanistan, l’une des sept nations au monde qui n’ont pas de banque centrale contrĂŽlĂ©e par les Rothschild.

Moins d’une semaine avant l’attaque du 11 sep, le soi-disant pirate de l’air Mohamed Atta et plusieurs autres pirates de l’air ont fait une visite encore inexpliquĂ©e Ă  bord de l’un des bateaux casinos du lobbyiste prođŸ‡źđŸ‡±, juif ashkĂ©naze, Jack Abramoff.

Aucune enquĂȘte n’est menĂ©e sur ce qu’ils faisaient lĂ -bas. On dĂ©couvre que les communications des agents đŸ‡ș🇾 de lutte contre la drogue ont Ă©tĂ© piratĂ©es. Les soupçons se portent sur deux sociĂ©tĂ©s, AMDOCS et Comverse Infosys, toutes deux dĂ©tenues par desđŸ‡źđŸ‡±. AMDOCS gĂ©nĂšre des donnĂ©es de facturation pour la plupart des compagnies de tĂ©lĂ©phoneđŸ‡ș🇾 et est en mesure de fournir des journaux dĂ©taillĂ©s de qui parle Ă  qui.

Comverse Infosys construit le matĂ©riel d’écoute utilisĂ© par les forces de l’ordre pour Ă©couter tous les appels tĂ©lĂ©phoniquesđŸ‡ș🇾 mais on soupçonne que Comverse Infosys, qui reçoit la moitiĂ© de son budget de recherche et dĂ©veloppement du gouvernement đŸ‡źđŸ‡±, a construit une porte dĂ©robĂ©e dans le systĂšme qui est exploitĂ©e par les services secrets đŸ‡źđŸ‡± et que les informations glanĂ©es sur les efforts đŸ‡ș🇾 de lutte contre la drogue parviennent aux trafiquants de drogue.

L’enquĂȘte du FBI conduit Ă  la rĂ©vĂ©lation du plus grand rĂ©seau d’espionnage Ă©tranger jamais dĂ©couvert aux États-Unis, opĂ©rĂ© par IsraĂ«l. La moitiĂ© des espions prĂ©sumĂ©s ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s lorsque le 11 septembre se produit.

Le 11 septembre, 5 IsraĂ©liens sont arrĂȘtĂ©s pour avoir dansĂ© et applaudi pendant l’effondrement des tours du World Trade Center. Les IsraĂ©liens, qui Ă©taient censĂ©s ĂȘtre employĂ©s par Urban Moving Systems, sont arrĂȘtĂ©s avec plusieurs passeports et beaucoup d'argent liquide.

Deux d'entre eux sont plus tard identifiés comme étant des agents du Mossad. Des témoignages de témoins retracent l'activité des Israéliens et révÚlent qu'ils ont été vus à Liberty Park au moment du premier impact, ce qui suggÚre qu'ils avaient eu connaissance de ce qui allait se passer. Les Israéliens sont interrogés, puis finalement renvoyés en Israël.

Le propriétaire de l'entreprise de déménagement utilisée comme couverture par les agents du Mossad abandonne son entreprise et s'enfuit en Israël. Le gouvernement américain classe alors toutes les preuves liées aux agents israéliens et à leurs liens avec le 11 septembre.

Tout cela est rapporté au public par le biais d'un article en quatre parties sur Fox News par Carl Cameron. La pression des groupes juifs, principalement de l'AIPAC, oblige Fox News à retirer l'article de son site Web. Deux heures avant les attentats du 11 septembre, Odigo, une entreprise israélienne dont les bureaux se trouvent à quelques pùtés de maisons des World Trade Towers, reçoit un avertissement préalable via Internet.

Le directeur du bureau de New York fournit au FBI l'adresse IP de l'expĂ©diteur du message, mais le FBI n'y donne pas suite. Le FBI enquĂȘte sur cinq sociĂ©tĂ©s de dĂ©mĂ©nagement israĂ©liennes qui pourraient servir de façade aux services secrets israĂ©liens.

Il est rĂ©vĂ©lĂ© qu'avant l'attaque, des millions de dollars d'options de vente sur American Airlines et United Airlines ont Ă©tĂ© Ă©changĂ©s. Le FBI a promis de suivre les acheteurs, mais n'a jamais rĂ©vĂ©lĂ© ses conclusions. En effet, cela mĂšnerait directement Ă  IsraĂ«l, l'État responsable des attentats du 11 septembre.
AprÚs l'attaque du World Trade Center, des lettres anonymes contenant de l'anthrax sont envoyées à divers politiciens et responsables des médias. Comme pour l'attaque du 11 septembre, on impute immédiatement la responsabilité à Al-Qaïda, jusqu'à ce qu'on découvre que l'anthrax contenu dans ces lettres est un type spécifique d'anthrax militarisé fabriqué par un laboratoire militaire américain.

Le FBI dĂ©couvre alors que le principal suspect de ces lettres Ă  l'anthrax est un Juif ashkĂ©naze, le Dr Philip Zack, qui avait Ă©tĂ© rĂ©primandĂ© Ă  plusieurs reprises par ses employeurs en raison de remarques offensantes qu'il avait faites sur les Arabes. Le Dr Philip Zack a Ă©tĂ© filmĂ© alors qu'il entrait dans la zone de stockage oĂč il travaillait Ă  Fort Detrick, oĂč l'anthrax Ă©tait conservĂ©. À ce stade, le FBI et les mĂ©dias grand public ont cessĂ© de faire tout commentaire public sur l'affaire.

Le prĂ©sident de la Ligue de dĂ©fense juive depuis 1985, le Juif ashkĂ©naze Irv Rubin est emprisonnĂ© pour avoir prĂ©tendument planifiĂ© un attentat Ă  la bombe contre une mosquĂ©e et les bureaux d'un membre du CongrĂšs arabo-amĂ©ricain. Il meurt peu de temps aprĂšs s'ĂȘtre tranchĂ© la gorge lors d'une tentative de suicide, avant d'ĂȘtre traduit en justice.

Une semaine avant l'attaque du WTC, la Zim Shipping Company quitte ses bureaux du WTC, rompant son bail et coĂ»tant Ă  l'entreprise 50 000 $. Aucune raison n'a jamais Ă©tĂ© donnĂ©e, mais la Zim Shipping Company appartient Ă  moitiĂ© Ă  l'État d'IsraĂ«l (les Rothschild).
Le 3 octobre, le Premier ministre israĂ©lien Ariel Sharon a fait la dĂ©claration suivante au Juif ashkĂ©naze Shimon Peres, comme l’a rapportĂ© la radio Kol Yisrael.

« Chaque fois que nous faisons quelque chose, vous me dites que l’AmĂ©rique fera ceci et cela
 Je veux vous dire une chose trĂšs claire : ne vous inquiĂ©tez pas de la pression amĂ©ricaine sur IsraĂ«l. Nous, le peuple juif, contrĂŽlons l’AmĂ©rique et les AmĂ©ricains le savent. »
2002 : Le troisiĂšme nouveau dictionnaire international Webster (version intĂ©grale), rĂ©imprimĂ© en 2002, fournit une nouvelle dĂ©finition de l’antisĂ©mitisme qui n’a pas Ă©tĂ© mise Ă  jour depuis 1956. Elle se lit comme suit :

« Antisémitisme : (1) hostilité envers les Juifs en tant que groupe religieux ou racial minoritaire, souvent accompagnée de discrimination sociale, politique ou économique (2) opposition au sionisme (3) sympathie pour les opposants à Israël. »

Ce sont les dĂ©finitions (2) et (3) qui ont Ă©tĂ© ajoutĂ©es dans l’édition de 2002, juste avant que les États-Unis ne dĂ©cident d’envahir l’Irak sur ordre de l’État de Rothschild, je veux dire IsraĂ«l. Cette annĂ©e Ă©galement, le Premier ministre israĂ©lien, criminel de guerre, Ariel Sharon, ordonne le massacre du camp de rĂ©fugiĂ©s de JĂ©nine en Cisjordanie. Il vaut mieux mettre Ă  jour cette dĂ©finition pour protĂ©ger ces criminels.
La DEA publie un rapport selon lequel des espions israĂ©liens, se faisant passer pour des Ă©tudiants en art, ont tentĂ© de pĂ©nĂ©trer dans les bureaux du gouvernement amĂ©ricain. La police prĂšs de la base aĂ©ronavale de Whidbey Island, dans le sud de l’État de Washington, arrĂȘte un camion suspect et arrĂȘte deux IsraĂ©liens, dont l’un se trouve illĂ©galement aux États-Unis. Les deux hommes roulaient Ă  grande vitesse dans un camion de location Ryder, qui, selon eux, avait Ă©tĂ© utilisĂ© pour « livrer des meubles ».

Le lendemain, la police a dĂ©couvert des traces d’explosifs plastiques de qualitĂ© militaire TNT et RDX dans l’habitacle et sur le volant du vĂ©hicule. Le FBI annonce ensuite que les tests qui ont montrĂ© la prĂ©sence d’explosifs ont Ă©tĂ© « faussement positifs » par la fumĂ©e de cigarette, une affirmation que les experts en tests trouvent ridicule.

Sur la base d’un alibi fourni par une femme, l’affaire est classĂ©e et les IsraĂ©liens sont remis Ă  l’INS pour ĂȘtre renvoyĂ©s en IsraĂ«l. Une semaine plus tard, la femme qui a fourni l’alibi disparaĂźt.
2003 : Les États-Unis envahissent l’Irak le 19 mars, qui est cette annĂ©e le jour saint de Pourim dans le calendrier juif. Ce « jour de Pourim » est un jour oĂč les Juifs cĂ©lĂšbrent leur victoire sur l’ancienne Babylone, dĂ©sormais basĂ©e Ă  l’intĂ©rieur des frontiĂšres de l’Irak, c’est intĂ©ressant.

Ce qui est Ă©galement significatif, c’est que la prĂ©cĂ©dente invasion de l’Irak menĂ©e par les États-Unis s’est terminĂ©e le jour de Pourim dix ans plus tĂŽt avec le massacre de 150 000 Irakiens en fuite sous le pĂšre du prĂ©sident actuel, George Herbert Walker Bush. Pourim est Ă©galement le moment oĂč les Juifs sont encouragĂ©s Ă  se venger dans le sang de ceux qu’ils perçoivent comme leurs ennemis.

L’ancienne Babylone, je veux dire l’Irak, est aujourd’hui l’une des six nations au monde qui n’ont pas de banque centrale contrĂŽlĂ©e par les Rothschild. Cette guerre consiste principalement Ă  voler l’approvisionnement en eau de l’Irak pour IsraĂ«l et est menĂ©e avec le sang de l’armĂ©e amĂ©ricaine que l’État des Rothschild, je veux dire IsraĂ«l, contrĂŽle.

IsraĂ«l a toujours luttĂ© pour l’eau. Il a dĂ» voler Ă  la Syrie le plateau du Golan, qui fournissait Ă  IsraĂ«l un tiers de son eau douce 36 ans auparavant. Pourtant, en IsraĂ«l, l’extraction d’eau a dĂ©passĂ© le remplacement de 2,5 milliards de mĂštres cubes au cours des 25 derniĂšres annĂ©es.

Cela signifie que l’eau est bien plus prĂ©cieuse pour eux que les rĂ©serves de pĂ©trole, qui sont les deuxiĂšmes plus grandes rĂ©serves de pĂ©trole de la planĂšte.

Le Premier ministre malaisien Mahathir Mohamed a déclaré dans un discours :

« Les Juifs gouvernent le monde par procuration. Ils poussent les autres à se battre et à mourir pour eux. »
2004 : Deux ans aprĂšs le dĂ©but d’une enquĂȘte sur le rĂŽle possible de l’AIPAC (The American Israel Public Affairs Committee – le plus grand groupe de pression politique des États-Unis avec plus de 65 000 membres dont le seul but est d’utiliser les États-Unis pour les besoins d’IsraĂ«l) comme façade d’espionnage pour IsraĂ«l, le Juif ashkĂ©naze Larry Franklin, un analyste de niveau intermĂ©diaire du Pentagone, est observĂ© par le FBI en train de donner des informations classifiĂ©es Ă  deux responsables de l’AIPAC soupçonnĂ©s d’ĂȘtre des espions israĂ©liens.

L’AIPAC engage l’avocat Nathan Lewin pour s’occuper de sa dĂ©fense juridique, le mĂȘme avocat qui a dĂ©fendu l’espion israĂ©lien prĂ©sumĂ© Stephen Bryen en 1978. Larry Franklin travaillait au Pentagon Office of Special Plans, dirigĂ© par Richard Perle, Ă  l’époque oĂč Perle (qui a Ă©tĂ© surpris en train de donner des informations classifiĂ©es Ă  IsraĂ«l en 1970) insistait sur le fait que l’Irak regorgeait d’armes de destruction massive nĂ©cessitant l’invasion et la conquĂȘte de l’Irak par les États-Unis.

Il n’y avait pas d’armes de destruction massive, bien sĂ»r, et Perle a rejetĂ© la responsabilitĂ© des « mauvais renseignements » sur George Tenet. Mais ce que l’on sait, c’est que le Bureau des plans spĂ©ciaux du Pentagone a collaborĂ© avec un groupe similaire en IsraĂ«l, dans le bureau d’Ariel Sharon.

Avec deux espions israĂ©liens prĂ©sumĂ©s (au moins) au sein du bureau d’oĂč sont nĂ©s les mensonges qui ont dĂ©clenchĂ© la guerre en Irak, il semble que le peuple des États-Unis soit victime d’un canular mortel, un canular qui a dĂ©clenchĂ© une guerre en utilisant le sang et l’argent des citoyens amĂ©ricains Ă  des fins d’oppression israĂ©lienne.

La fuite de l’enquĂȘte de l’AIPAC dans les mĂ©dias le 28 aoĂ»t 2004 a donnĂ© un avertissement prĂ©alable aux autres espions travaillant avec Franklin. Le dommage causĂ© Ă  l’enquĂȘte du FBI a Ă©tĂ© achevĂ© lorsque le procureur gĂ©nĂ©ral des États-Unis John Ashcroft a ordonnĂ© au FBI de cesser toutes les arrestations dans cette affaire.

Comme l’affaire Stephen Bryen et la chasse Ă  « Mega », ce dernier scandale d’espionnage semble destinĂ© Ă  ĂȘtre protĂ©gĂ© par des fonctionnaires qui ont leurs propres allĂ©geances secrĂštes Ă  protĂ©ger, Ă  moins d’un tollĂ© public massif.
La police prĂšs de l’usine Nuclear Fuel Services dans le Tennessee arrĂȘte un camion aprĂšs une course-poursuite de cinq kilomĂštres, au cours de laquelle le conducteur jette une bouteille contenant un liquide Ă©trange depuis la cabine. Les conducteurs se rĂ©vĂšlent ĂȘtre des IsraĂ©liens utilisant de fausses piĂšces d’identitĂ©. Le FBI refuse d’enquĂȘter et les IsraĂ©liens sont libĂ©rĂ©s.

Deux Israéliens tentent de pénétrer dans la base navale de sous-marins de Kings Bay, qui abrite huit sous-marins Trident. Le camion est testé positif aux explosifs.

Le directeur national de l’ADL, Abraham H. Foxman, publie un livre intitulĂ© « Plus jamais ça ? La menace du nouvel antisĂ©mitisme », dans lequel il dĂ©clare que le « mensonge » du Nouveau Testament, selon lequel les anciens pharisiens Ă©taient responsables de la mort du Christ, a Ă©tĂ© responsable de l’antisĂ©mitisme tout au long des millĂ©naires et que le Nouveau Testament de la Bible est donc un « discours de haine » et devrait ĂȘtre censurĂ© ou interdit.
2005 : Le 20 janvier, le prĂ©sident Bush fait la dĂ©claration suivante dans le cadre de son deuxiĂšme discours d’investiture : « Quand nos fondateurs ont dĂ©clarĂ© un nouvel ordre sĂ©culaire . » Ce n’est pas vrai. Les fondateurs n’ont pas dĂ©clarĂ© un « nouvel ordre sĂ©culaire», c’est le prĂ©sident Roosevelt qui l’a fait en 1933, lorsqu’il a mis sa traduction latine, « Novus Ordo Seclorum », sur le billet d’un dollar.

Le 7 juillet, le rĂ©seau du mĂ©tro de Londres est bombardĂ©. Le ministre des Finances israĂ©lien, Binyamin Netanyahu, est Ă  Londres le matin des attentats pour assister Ă  une confĂ©rence Ă©conomique dans un hĂŽtel au-dessus de la station de mĂ©tro oĂč l’une des explosions s’est produite, mais il est restĂ© dans sa chambre d’hĂŽtel aprĂšs avoir Ă©tĂ© informĂ© par les services de renseignement israĂ©liens que des attaques Ă©taient attendues.

Il ne reste dĂ©sormais que 5 nations au monde sans banque centrale contrĂŽlĂ©e par les Rothschild : l’Iran, la CorĂ©e du Nord, le Soudan, Cuba et la Libye.

Stephen E. Jones, professeur de physique Ă  l'universitĂ© Brigham Young, publie un article dans lequel il prouve que les bĂątiments du World Trade Center n'auraient pu ĂȘtre dĂ©truits que par des explosifs. Ses affirmations scientifiques et prouvables ne sont pas relayĂ©es par les mĂ©dias grand public.


SOURCES
Preuves d'une conspiration contre toutes les religions et tous les gouvernements d'Europe menĂ©e dans les rĂ©unions secrĂštes des francs-maçons, des Illuminati et des sociĂ©tĂ©s de lecture – John Robison – 1798

La vie de NapolĂ©on – Sir Walter Scott – 1827

Coningsby – Benjamin Disraeli – 1844

Le Manifeste communiste – Karl Marx, Friedrich Engels, Martin Malia – 1848

Morales et dogmes du rite Ă©cossais ancien et acceptĂ© de la franc-maçonnerie – Albert Pike – 1872

Les Rothschild, dirigeants financiers des nations – John Reeves – 1887

Les Juifs et le capitalisme moderne – Werner Sombart – 1911

La Grande-Bretagne, les Juifs et la Palestine – Samuel Landman – 1936

Les pions du jeu – William Guy Carr – 1937

À l’intĂ©rieur de la Gestapo – Hansjurgen Koehler – 1940

Les barriĂšres abaissĂ©es – Kent Cooper – 1942

L’esprit d’Adolf Hitler – Walter Langer – 1943

L’empire de la ville – E. C. Knuth – 1946

L’État juif – Theodor Herzl – 1946

L’étrange histoire de l’étoile Ă  six branches – G. Scholem – 1949

Les secrets de la RĂ©serve fĂ©dĂ©rale – Eustace Mullins – 1952

Contes de l’aristocratie britannique – L. G. Pine – 1957

Brouillard rouge sur l’AmĂ©rique – William Guy Carr – 1958

Un transfuge juif avertit l’AmĂ©rique (enregistrement parlĂ©) – Benjamin H. Freedman – 1961

Les Rothschild – Frederic Morton – 1962

Les Illuminati et le Conseil des relations Ă©trangĂšres (enregistrement de paroles) – Myron Fagan – 1967

Ben-Gurion : le prophĂšte armĂ© – Michael Bar-Zohar – 1967

La tyrannie cachĂ©e – Benjamin Freedman – 1971

Personne n'ose appeler cela une conspiration – Gary Allen – 1972

L'archipel du Goulag, vol. 2, parties 3 et 4 – Alexandre Soljenitsyne – PremiĂšre traduction anglaise publiĂ©e en 1975.

Wall Street et la montĂ©e d’Hitler – Anthony C. Sutton – 1976

Le document Rosenthal – Walter White, Jr. – 1978

Deux Rothschild et la terre d’IsraĂ«l – Simon Schama – 1978

L’étoile Ă  six branches – Dr O. J. Graham – 1984

Les derniers jours en AmĂ©rique – Bob Fraley – 1984

À qui appartiennent les chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision – Eustace Mullins – 1985

L’option Samson : l’arsenal nuclĂ©aire d’IsraĂ«l et la politique Ă©trangĂšre amĂ©ricaine – Seymour M. Hersh – 1991

Une histoire des Juifs en AmĂ©rique – Howard M. Sachar – 1992

Deceptions dĂ©libĂ©rĂ©es : faire face aux faits concernant la relation israĂ©lo-amĂ©ricaine – Paul Findley – 1993

Descente L’esclavage – Des Griffin – 1994

Les lignĂ©es des Illuminati – Fritz Springmeier – 1995

Histoire juive, religion juive – Israel Shahak – 1994

Satan parle – Anton Szandor LaVey – 1998

Les tueurs en sĂ©rie de Lincoln, JFK, RFK et Martin Luther King – Robert Gaylon Ross – 2001

Plus jamais ? La menace du nouvel antisĂ©mitisme – Abraham H. Foxman – 2004

L’élite n’ose pas dire au peuple – Robert Gaylon Ross – 2004

Codex Magica – Texe Marrs – 2005anonhq.com/history-house-


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Aug 13
On a donné à cet homme six mois à vivre.

Cancer du poumon en phase terminale.

Mais il a opéré un changement majeur...

et a vécu 37 ans de plus.

Voici ce qu'il a fait (et sa folle histoire) :

đŸ§”par @morellifit Image
Le nom de l'homme :

Stamatis Moraitis.

Un cancer du poumon a été diagnostiqué chez Stamatis à l'ùge de 66 ans.

Il vivait alors aux États-Unis, entre New York et la Floride.

Mais aprÚs avoir reçu le terrible diagnostic de son médecin... Image
Stamatis a décidé de retourner dans sa ville natale.

Sa raison ?

Il voulait mourir en paix et ĂȘtre enterrĂ© avec sa famille.

Mais lorsque Stamatis est revenu sur la petite Ăźle d'Ikaria, en GrĂšce, d'oĂč il Ă©tait originaire


Quelque chose d'incroyable s'est produit :
Read 13 tweets
Jul 1
THREAD par @austerrewyatt1 : La chasse aux sorciÚres contre Julian Assange était-elle une opération d'infiltration contre la CIA ?

Je me base sur la rÚgle suivante : lorsqu'un récit n'a pas de sens évident, c'est qu'il y a quelque chose de plus profond.

Alors que nous avons entendu pendant tout ce temps que Pompeo voulait assassiner Julian Assange, nous avons oublié de poser la question suivante : "Mais pourquoi s'en souciait-il tant ?".Image
1. WikiLeaks a publié les documents Vault 7 en mars 2017. Juste aprÚs l'arrivée au pouvoir de Trump.

En quoi consistait réellement le Vault 7 ?

"Vault 7 est une sĂ©rie de documents que WikiLeaks a commencĂ© Ă  publier le 7 mars 2017, dĂ©taillant les activitĂ©s et les capacitĂ©s de l'Agence centrale de renseignement des États-Unis (CIA) en matiĂšre de surveillance Ă©lectronique et de cyberguerre.
En fait, il y a une exception à la cyberguerre. Il contient également un projet appelé Protego ( ) qui n'est pas un logiciel malveillant mais un systÚme de contrÎle de missiles, qui peut, s'il est utilisé d'une maniÚre spécifique, faire échouer le lancement d'un missile."

À part cela, il s'agit d'une collection d'outils de cyberpiratage que la CIA utilise depuis des dĂ©cennies pour accĂ©der Ă  toutes sortes d'ordinateurs appartenant Ă  des personnes, des entreprises ou des pays, et nous pouvons tous imaginer Ă  quelles fins ils utiliseraient cette capacitĂ©.

En résumé, la fuite du Vault 7 a rendu la CIA aveugle à toute la surveillance qu'elle effectuait à l'aide de ses outils de piratage. Deux mois aprÚs l'entrée en fonction de Trump. Laissons cela mijoter un peu.wikileaks.org/vault7/#Protego
2. Si quelqu'un pense que ce timing est une coĂŻncidence - que juste au moment oĂč Trump a commencĂ© Ă  s'attaquer Ă  la cabale, la CIA a Ă©tĂ© rendue aveugle - il peut quitter ce fil de discussion maintenant.

Deux mois aprĂšs la fuite de Vault 7, et alors que tous les ordinateurs du monde entier commençaient Ă  patcher ces vulnĂ©rabilitĂ©s, et que la CIA Ă©tait devenue aveugle, Trump a annoncĂ© son fameux tour du monde de la capitulation ( ), et a dĂ©marrĂ© ce voyage par une visite en Arabie Saoudite et la fameuse danse de l'Ă©pĂ©e, qui a conduit au coup d'État saoudien qui a Ă©vincĂ© le contrĂŽleur de la Cabale Al-Waleed bin Talal, qui Ă©tait l'un des manipulateurs d'Obama, entre autres choses.

Cela s'est produit le jour mĂȘme oĂč Q nous a annoncĂ© que Hillary serait arrĂȘtĂ©. La cabale a Ă©tĂ© complĂštement prise par surprise. C'est un peu comme si elle n'avait rien vu venir.

Je pense avoir Ă©tabli que le Vault 7 Ă©tait essentiel pour que Trump puisse nettoyer la cabale et que Q puisse dire "nous avons tout".rt.com/usa/387181-tru
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Jun 2
THREAD đŸ§”

"La diffĂ©rence entre la vĂ©ritĂ© et une thĂ©orie du complot est de six mois et aujourd’hui c’est mĂȘme passĂ© Ă  6 minutes."

C'Ă©tait particuliĂšrement Ă©vident Ă  l'Ă©poque de COVID.

Voici 15 "théories du complot" du COVID qui se sont avérées vraies.
#15 - Des injections répétées de COVID affaiblissent le systÚme immunitaire, selon une étude.

theepochtimes.com/health/repeate

Image
#14 - L'ivermectine a fonctionné ! Une étude évaluée par des pairs révÚle une réduction de 74 % de la surmortalité.

vigilantnews.com/post/ivermecti

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Mar 30
Important Thread

La semaine a été folle pour l'IA.

Voici 9 changements majeurs survenus cette semaine dans le domaine de l'IA :

1/ Les "deepfakes" sont en train de devenir indiscernables de la réalité.
Cette vidéo est la version clonée de Lex Fridman avec le modÚle argil. ai.
La vidéo a été générée par une IA qui est formée et licenciée par un Indépendant

Elle a l'air trop réelle.
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May 7, 2023
1/4 L’EFFONDREMENT de The Rock. 💀

Disney aurait coupé les ponts avec Dwayne Johnson alors que le procÚs pour enlÚvement, d'une valeur de 3 milliards de dollars, progresse.

Les mĂȘmes vieux suspects habituels. đŸ‘‡đŸŸ

tinyurl.com/ym9ath6e
2/4 "Les autres dĂ©fendeurs dans le procĂšs de Dwayne Johnson comprennent l'État du Texas, les services de protection de l'enfance d'El Paso, la police de Las Cruces au Nouveau-Mexique, la police de New York, le Centre National des Enfants Disparus et ExploitĂ©s , New York ACS, Image
3/4 Omega Psi Phi Fraternity Inc, la police de Shirley, Sigma Phi Epsilon, le comtĂ© de Suffolk Ă  New York, Bank of America, Home Depot, et mĂȘme le FBI."

Pourquoi Dwayne Johnson a-t-il été cité dans un procÚs pour enlÚvement de 3 milliards de dollars ?

tinyurl.com/27uccxt6
Read 4 tweets
May 6, 2023
1/7 Ceci est la VRAIE PANDÉMIE . La traite des ĂȘtres humains. RĂ©colte d'ĂȘtres humains. Satanisme x cannibalisme.

Opération Smile : 880 enfants disparus, 819 adultes réunis avec leurs familles
thestatesman.com/cities/chandig

2/7 Tout ce que les Fakes-News donnent à manger au grand public est l'équivalent d'1 Happy Meal McDo avec de l'eau de Javel à la place du Sprite et pendant ce tps, les informations les + cruciales et les plus vitales " de VIE ou de MORT " sont massivement supprimées et cachées
3/7 L'Ă©nergie de la punition est lĂ . Le jugement dernier arrive pour l'humanitĂ© đŸ™đŸŸâ˜ ïž

Plus de 1 000 victimes de la traite des ĂȘtres humains secourues aux Philippines
laprensalatina.com/more-than-1000

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