À Aiguillon, dans le Lot-et-Garonne, depuis l'élection du maire LR proche de l'extrême droite Christian Girardi, des habitants d'origine marocaine vivent un enfer de racisme. Un 🧶 en images (1/7)
Le rugbyman et chef d'entreprise Sami Jabel s'est fait tabasser par trois co-équipiers pendant un match de rugby. Un des agresseurs lui aurait lancé : « Toi l’arabe, tu vas voir ce que je vais te faire ! » 2/7
La secrétaire de Sami Jabel s'est faite cambriolée et sa voiture a été vandalisée avec des insultes sexistes et le nom de son patron. 3/7
Le harcèlement passe aussi par des actes hostiles du quotidien comme des pneus crevés, du matériel dégradé ou volé. 4/7
Le club de boxe Ratel Club Confluent où s'entraine le champion du monde Amine Ziani est prisé des Marocains et des gitans d'Aiguillon. La mairie a d'abord reculé ses créneaux à une heure tardive puis lui a carrément retiré ses subventions. 5/7
Huissiers, courriers de la mairie, visite de la police municipale... Les entrepreneurs d'origine marocaine subissent un harcèlement administratif qui les pousse à mettre la clef sous la porte. Ici, le propriétaire d'un terrain se voit reprocher sa végétation. 6/7
Une preuve de plus, s’il en fallait une, que les populations de la « France des bourgs » sont aussi concernées par le racisme.
Pour en lire plus, l'article complet est à retrouver en accès libre sur le site @streetpress. 7/7 streetpress.com/sujet/17314166…
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Pendant 6 mois, j’ai enquêté sur une brigade spécialisée dans la lutte contre la contrefaçon aux puces de Saint-Ouen qui en profite pour se servir dans les caisses des commençants, et pas seulement des contrefacteurs.
Un 🧶 sur le sentiment d’impunité de certains policiers. 1/8
Les commerçants sont extorqués depuis au moins 2 ans, de montants allant jusqu’à 50.000€. Tous ont identifiés les 3 voleurs parmi les 6 agents de la BTC 864. Le cerveau du système de racket est aussi la cheffe de la brigade : Eva S, que ses victimes surnomment « la blonde ». 2/8
Rapidement, je découvre que la brigadière a une petite notoriété depuis les JO. Les caméras de France 2 puis de France 3 l’ont filmée à l’occasion « d’opérations coup de poing ». 3/8