2/8 📊 Résultats principaux :
- Tau hyperphosphorylée en excès (protéine liée à Alzheimer)
- Activation gliale prolongée et neuroinflammation
❌ Pas de dépôt de bêta-amyloïde ou de diminution des neurones hippocampiques
3/8 🔬 Les échantillons montrent des accumulations anormales dans l’hippocampe et le cortex entorhinal médial. Ces zones sont cruciales pour la mémoire et sont affectées tôt dans la maladie d'Alzheimer.
4/8 ⚠️ Bien que le virus SARS-CoV-2 n’ait pas été détecté directement dans le cerveau, ses effets indirects incluent une neuroinflammation durable, ce qui pourrait augmenter le risque d'Alzheimer.
5/8 🔍 Déjà en 2021, une étude montrait que les protéines de SARS-CoV-2 miment 42 protéines humaines liées aux voies de l’Alzheimer, comme la bêta-sécrétase et la préséniline-1.
6/8 💡 Ces interactions moléculaires pourraient expliquer certains symptômes neuropsychiatriques observés chez les patients COVID-19, notamment des troubles cognitifs prolongés.
7/8 🧠 Les données actuelles renforcent l’idée que la COVID-19 peut avoir des effets à long terme sur le cerveau, en augmentant les risques de maladies neurodégénératives comme Alzheimer.
8/8 📢 Conclusion : Ces découvertes rappellent l’importance de surveiller les séquelles neurologiques post-COVID. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour comprendre ces risques et les prévenir.
1/ Selon des documents obtenus via une demande FOIA, le ministère israélien 🇮🇱 de la Santé a constaté en mars 2021 une augmentation de près de 1000 % du risque de myocardite après la 2ᵉ dose du 💉COVID-19 ARNm.
2/
Ces documents montrent qu’Israël a alerté les agences de santé américaines dès le 28 février 2021 sur des cas de myocardites et péricardites après le vaccin Pfizer, en particulier chez les jeunes.
3/
Le Dr Roee Singer, directeur adjoint du ministère israélien de la Santé, a contacté le CDC pour discuter de ces préoccupations. Pourtant, la réponse publique du CDC sur ce lien est arrivée bien plus tard, en mai 2021.
1/7 🤔 Une analyse de l'essai Pfizer BNT162b2 sur les grossesses révèle des résultats troublants. L'étude a été arrêtée juste avant que des anomalies fœtales dans le groupe vacciné atteignent une signification statistique.
2/7 📊 Résultats :
- Groupe vacciné : 8 anomalies fœtales signalées
- Groupe témoin : 2 cas
❌ Une seule anomalie supplémentaire aurait suffi pour atteindre p<0,05, rendant le résultat significatif.
3/7 ⚠️ L'essai a été interrompu prématurément à ce moment critique. Ce choix soulève des questions : s’agissait-il d’éviter des conclusions défavorables ?
1/9 🚨 La Commission royale australienne d'enquête sur la gestion du Covid-19 a publié son rapport. Les leaders politiques réagissent face aux conclusions de ce document de 700 pages.
2/9 Ce premier rapport analyse les mesures prises pendant la pandémie :
- Confinements 🏡
- Fermeture des frontières ✈️
- Gestion des MIQ (quarantaines contrôlées)
- Mandats de vaccination 💉
3/9 Chris Hipkins, ancien ministre de la gestion du Covid-19, a réagi au rapport. Il défend les décisions prises, malgré les défis complexes auxquels le pays a été confronté.
1/
Différence entre comprendre et réciter : Comprendre, c'est réfléchir. Réciter, c'est répéter sans remise en question. Dr. Kremer et d’autres défendent les LNP (nanoparticules lipidiques) comme "sûres", mais une analyse critique montre un autre tableau. 🧵
2/
Un "papier" souvent cité pour défendre cette thèse est rempli de biais : résumé d'études avec données manquantes et des valeurs erronées :
Données non disponibles. Aucune donnée n'a été collectée. Des données peuvent être trouvées dans d’autres études. Super!
3/
La **Wistar han rats Study** ne prouve pas ce qu’on affirme. Les LNP ne disparaissent pas en 15 minutes mais s’accumulent dans divers organes jusqu’à 48h.
1/ 🚨 L'EMA sait que le traitement DNase I (élimination de l'ADN plasmidique) pour les vaccins modRNA de BioNTech/Pfizer n’a jamais fonctionné correctement. Les détails ici 👇
2/ 🧬 Pourquoi est-ce important ? L'ADN résiduel peut entrer dans les cellules et s’intégrer dans le génome, provoquant des effets imprévus. BioNTech/Pfizer le savait depuis 2021
3/ 🤔 L'ARN modifié est censé être la seule substance active. Si l’ADN reste, on administre aussi une « thérapie à ADN », non conforme à l’autorisation réglementaire.
1/7 ⚠️ Une étude soulève de graves préoccupations concernant les injections mRNA Covid. Les nanoparticules lipidiques (LNP) dans le 💉 Pfizer pourraient avoir des effets dévastateurs sur la reproduction.
2/7 Des études antérieures à 2020 avaient déjà révélé des risques pour la sécurité liés aux LNP, notamment leurs effets sur le système reproducteur masculin et féminin.
3/7 Une revue de sécurité publiée en 2018 conclut que les LNP peuvent pénétrer les testicules et les ovaires, et traverser la barrière placentaire pendant la grossesse.