Ma tournée au Proche et au Moyen-Orient s’est faite sur instruction d'@EmmanuelMacron, avec comme priorité la libération des otages et pour engager nos partenaires sur notre initiative de paix et de sécurité.
J'ai rappelé aux pays de la région les priorités de la France dans le cadre de l'initiative de paix et de sécurité voulue par le Président: lutte contre le terrorisme, aide humanitaire pour les civils de Gaza, prévention de toute escalade et ouverture d’une perspective politique.
Le Président de la République a fait de la libération des otages une priorité absolue.
J'ai eu des réunions de travail à ce sujet en Égypte, au Qatar puis en Israël. Nous devons faire preuve d’espérance et de lucidité.
Objectif : densifier la relation entre la France et l’Australie.
Cet échange nous a permis de partager une vision commune en matière de sécurité et défense ⤵️
1️⃣ Offrir ensemble une aide à l'Ukraine qui doit être fiable et s’inscrire dans la durée.
Ainsi, nous avons conclu un partenariat inédit entre nos deux pays pour fournir ensemble des obus de 155 mm à l’armée ukrainienne.
2️⃣ Partager un même agenda de sécurité dans le Pacifique Sud. Nous sommes riverains dans cette zone. Cette proximité nous oblige à une intimité stratégique.
Nous allons renforcer nos entraînements en commun, en parallèle du renforcement de notre présence militaire en Outre-mer.
Ma visite à Kiev avait pour objectif d’évoquer les besoins de l’armée ukrainienne pour les semaines à venir.
Depuis le 24 février, le soutien de la France à l’Ukraine est continu et prend plusieurs formes.
Retour en vidéo sur ma conférence de presse avec @oleksiireznikov ⤵️
1️⃣ Des cessions du matériel des armées françaises vers l’armée ukrainienne.
Les présidents Zelensky et Macron nous ont chargés de leur faire des propositions pour le mois de janvier sur un nouvel agenda d’accompagnement de l’Ukraine sur le terrain militaire.
2️⃣ La Facilité européenne de paix, un outil qui permet d’agir en européens, plus que jamais d’actualité : il permet à des pays, quels que soient leurs moyens, d’aider l’Ukraine.
La France en est l’un des plus gros contributeurs avec une contribution d’un demi-milliard €.
J’ai souhaité réunir les industriels de défense pour voir comment nous pouvons produire suffisamment, plus rapidement et à des prix maîtrisés.
Ce qui se joue dans les années qui viennent, c’est notre autonomie stratégique et notre souveraineté en matière d’armement.
Engagement 1️⃣
Les Armées doivent exprimer un besoin plus simple : cela permettra, en fonction des besoins, de massifier. Chaque option sur un équipement est un obstacle à aller vite.
Engagement 2️⃣
Nous devons simplifier les procédures administratives pour les industriels, sans négliger notre exigence de qualité. Mais la culture du risque en temps de guerre ne pourra pas être la même qu’en temps de paix.