Aujourd'hui 25 septembre 2025, c'est... conseil municipal de Lyon ♥️♥️♥️♥️
En introduction, Grégory Doucet se félicite des événements sportifs et culturels passés et à venir, dont le championnat du monde de Fortnite ou le Festival Lumière.
Il signale aussi les inaugurations, de la place Béraudier (gare de la Part-Dieu), à la piscine de Vaise. Pour une ville plus apaisée, plus sûre et saine face aux enjeux climatiques et sociaux.
G. Doucet aborde le sujet des baux commerciaux, dont il souhaite expérimenter l'encadrement, dans une demande conjointe avec le maire de Bordeaux auprès du 1e ministre. lyoncapitale.fr/economie/loyer…
G. Doucet : "Lyon résiste aussi bien en matière de création d'emploi que d'entreprises"
G. Doucet sur la situation nationale : "les Français veulent être entendus, plus de justice sociale et moins d'austérité". Il cite les 20 000 manifestants du 18 septembre dernier, se basant sur le chiffre des syndicats (la Préfecture a estimé 12 000 participants).
G. Doucet se justifie d'avoir hissé le drapeau palestinien au fronton de l'Hôtel de Ville, choisissant la coopération plutôt que la division.
Au tour de Georges Képénékian, candidat lui aussi déclaré à la mairie pour 2026.
"Nous sommes semaine après semaine toujours plongés un peu plus dans l'inconnu", face aux désordres du monde et national.
G. Képénékian rappelle que le projet de la gare de la Part-Dieu a été initié par Gérard Collomb.
Il souhaite revenir sur les violences et destructions lors des dernières manifestations, qu'il condamne. Il pointe l'impréparation des services de la ville pour réduire ces dégâts.
Face à la polarisation de la société, il souhaite une bonne tenue des actions et paroles des élus, pointant le drapeau palestinien hissé comme l'une des actions pouvant aggraver une situation déjà inflammable.
G. Képénékian aurait préféré, comme à Paris, l'affichage commun des drapeaux des peuples palestiniens et israéliens.
G. Képénékian sur la rentrée scolaire : 19 classes fermées et le problème des familles qui s'éloignent de Lyon, tout comme les étudiants et jeunes actifs peinent à se loger. Comment, dans ce contexte, attirer les nouvelles générations et maintenir notre dynamisme ?
G. Képénékian : "trop de logements dans notre ville sont encore vacants"
G. Képénékian sur les classes moyennes (sa cible électorale ?), celle qui fuit la ville face à la cherté lyonnaise. Il demande des moyens et équipements pour les garder à Lyon intra muros.
G. Képénékian sur les adjoints annoncés partants ou remerciés : "ce sacrifice est-il un moyen de vous en servir comme fusibles ?" lyonmag.com/article/146862…
Au tour de Pierre Oliver, qui fait l'article pour la candidature de JM Aulas. Une tribune de campagne inhabituelle en ces lieux : "nous formons une équipe large, soudée et déterminée", dit celui qui longtemps a maintenu sa candidature pour la droite lyonnaise...
...et dont l'entourage ne disait pas que du bien de l'ancien président de l'OL, qui aura 77 ans lors du 2e tour, alors que son hypothétique candidature commençait à faire du bruit.
P. Oliver se lance maintenant dans une diatribe anti-taxes.
P. Oliver pointe les accès défaillants aux transports en commun (ascenseurs, escalators).
Il cible aussi les derniers décès de faits divers, en appelant au rassemblement : "la maison commune doit rester un lieu de concorde et pas de division".
G. Doucet réagit et recadre P. Oliver : "ces interventions préalables ne sont pas destinées à faire campagne", rappelant au passage la période de réserve électorale.
Au tour de Sandrine Runel (PS) qui aborde elle aussi tout de suite le sujet des élections. "nous ne sommes pas à l'abri de nouvelles alliances et nouvelles surprises d'ici mars", suggérant des alliances de la droite et JMA vers le RN.
S. Runel déplore aussi le nombre de non-inscrits de ce conseil municipal dont les groupes ont explosé ces dernières semaines.
Elle moque l'alliance des macronistes et de la droite, comme au national : "toujours sans projet et sans leadership".
Au sujet de JMA, elle raille aussi l'âge du capitaine.
S. Runel rappelle que le PS continuera avec les Verts : "face aux alliances de circonstances, nous avons fait le choix inverse du chemin commun".
Face aux attaques sur la gestion de la Ville, S. Runel pique Pierre Oliver : "avec le maire de Lyon on mange peut-être moins bien qu'avec le président de la région, mais au moins ça coûte moins cher au contribuable"
S. Runel déplore le contenu de la réforme de la loi PLM, incomplète et votée à la hâte.
Pour les écologistes, au tour de G. Chapuis :
"absurde", débute-t-il, face à la nomination de Lecornu à la tête du gouvernement, pour une continuité des politiques précédentes qui ne prennent pas en compte les changements climatiques alors que l'on a traversé un été caniculaire.
G. Chapuis, face aux enjeux climatiques : "Lyon doit rester une ville vivable et désirable". Il dénonce l'absence de prise de conscience des gouvernants, sur la canicule comme sur le décret pro-PFAS passé en catimini par Bayrou à son départ.
G. Chapuis déplore une alliance nationale "qui n'a que faire de la justice sociale , fiscale et environnementale". Et qu'il compare à l'alliance des droites à Lyon, tendant dangereusement de plus en plus à droite pour lui.
Point Etienne Blanc : il n'est pas encore arrivé (on sait qu'il faut être patient).
NPG tance Pierre Oliver sur son intervention : elle pointe une utilisation des moyens municipaux pour mener campagne, ce qui est formellement interdit et susceptible de conséquences.
G. Doucet abonde, indiquant que les vérifications seront faites sur cette prise de parole.
"Chaque adjoint de ma majorité aura ma confiance jusqu'à la fin de ce mandat", répond G. Doucet à G. Képénékian sur la polémique des adjoints qui ne repartiront pas en cas de 2e mandat. tribunedelyon.fr/politique/greg…
G. Doucet sur la dette lyonnaise : "elle a baissé de 83 M€ depuis le début de mandat".
"Mais on a augmenté les impôts", fuse une réaction depuis les bancs de l'opposition.
Fun fact dans ce pavé : G. Doucet nie à G. Collomb le monopole de l'étiquette de "maire bâtisseur" 🙂
On passe aux dénominations de lieux publics :
Si on ne présente pas la résistante Lucie Aubrac, Jeanne Bardey est une sculptrice, dessinatrice et graveuse.
Un autre lieu va prendre le nom de Françoise-Hélène Jourda, dans le 8e ardt. Architecte, elle a notamment réalisé l’École d'architecture et la Cité scolaire internationale ainsi que l’aménagement des Berges du Rhône.
Q° des arrondissements : l'été caniculaire se réinvite dans les débats, avec les mesures demandées pour réduire la chaleur dans les logements des pentes.
En réponse, l'adjointe Sophia Popoff rappelle que dès 2023 la Ville s'est saisie du confort d'été. L'adaptation des logements à la chaleur passe par l'environnement urbain (végétalisation), les usages, et l'adaptation des logements.
Sophia Popoff rappelle que le défi est grand pour le bâti existant, et pointe les déficiences du code de la santé publique sur la question des indicateurs de régulation de la chaleur.
C'est l'Etat qui est compétent pour la partie législative, mais d'autres leviers peuvent être actionnés, notamment un projet de loi bipartisane sur le sujet.
La Ville mène des réunions avec différents acteurs (architectes des bâtiments de France, professionnels du bâtiment, etc.) pour améliorer le déploiement de protections solaires.
Pierre Oliver, que nombreux ont vu à trottinette sur les trottoirs du 2e ardt, pose une question sur la sécurité des piétons sur les rues piétonnes face au développement des vélos électriques en libre service.
On va arriver au morceau qui a fait l'objet de quelques papiers cette semaine :
Morceaux choisis de ce qui constitue l'nu des aspects controversés de l'héritage Collomb :
NPG, qui mène le combat de longue date sur le sujet du traitement de faveur à GL Events et le Lou dans le cadre de ce BEA, informe l'assemble que, sur la base de ce rapport, elle a écrit au procureur de la République pour qu'une enquête soit diligentée.
L'adjoint Bosetti tance les élus et adjoints du précédent mandat Collomb qui ont permis ce type de contrats. "Lyon n'est pas à vendre". "D'ailleurs, les entrepreneurs au pouvoir n'ont pas toujours convaincu". Une fois de plus, l'ombre d'Aulas plane sur ce conseil.
"si ça c'est pas de la campagne électorale, je ne sait pas ce que c'est", s'emporte P. Oliver quand L. Bosetti rappelle l'affaire des terrains agricoles déclarés subitement constructibles pour le nouveau stade de l'OL à Décines, à l'époque.
Bosetti pointe les absences de transparence de GL Event dans les comptes (non) rendus à la Ville dans le cadre du BEA du LOU.
P. Oliver continue de défendre les attaques contre Aulas et le LOU : "on a de la chance d'avoir des investisseurs privés" en soutien du club.
J. Nublat-Faure rappelle que la majorité a hérité d'une situation décidée par le mandat précédent. Et dont, comme le rapport l'indique, il est difficile de modifier les termes. Elle souligne quand même les actions d'intérêt général et d'autres points positifs du club.
Pendant ce temps, dans l'arrière-cour des popotes...
Dans le cadre de la programmation du projet éducatif lyonnais, l'adjoint @BosettiLaurent indique que la Ville a sorti de la précarisation 200 postes d'encadrants, devenus depuis fonctionnaires.
Reprise de séance.
Le groupe de la droite refuse de voter une subvention pour SOS Méditerranée, "association militante" qui bénéficie des aides de la Ville depuis plusieurs années maintenant, et souhaiterait qu'elle bénéficie à l'accueil de migrants à Lyon.
En réponse à Béatrice de Montille, l'élue de la majorité S. Tomic s'emporte : "c'est la politique migratoire de la France qui pose problème", pas l'accueil à Lyon qui fait ce qu'il peut avec ses moyens. Applaudissements des bancs de la majo à la fin de sa réponse.
Pause-déjeuner, retour à 14h15.
Sur une préemption de droit au bail par la Ville, Romain Billard critique des préemptions en général bien trop coûteuses au regard de la réalité du marché. Echanges d'arguments avec C. Auger, adjointe au commerce, qui ne semblent convaincre ni l'une ni l'autre.
Sur le sujet de ce comité qui a déjà fait l'objet d'articles de presse, Romain Billard s'inquiète : il s'oppose à la création d'un "arbitre officiel des mémoires de notre ville, placé sous tutelle municipale". Il craint une commission impartiale.
S. Tomic répond à R. Billard que ses craintes sont infondées, au regard des membres qui le composent - dont des scientifiques. Et, par ailleurs, ce comité restera consultatif.
Le débat se poursuit sur ce comité. Est évidemment abordé le sujet de la rue Bugeaud, qui cristallise le débat. leprogres.fr/politique/2025…
On arrive au débat sur l'utilisation de l'IA :
L'adjoint B. Maes en présente les enjeux, notamment énergétiques (besoin en eau et en énergie) : "on peut se demander si, raisonnablement, l'humanité peut se permettre l'Intelligence Artificielle".
B. Maes : pas d'IA dans la réponse aux usagers.
Il pose aussi le pb de souveraineté quand des agents prompteraient à de l'IA des informations confidentielles ou officielles de la Ville.
La proposition de la Ville :
G. Képénékian : certes, la majorité pointe les effets négatifs de l'IA, mais rappelle qu'il est difficile d'y échapper car l'IA est partout, et dans nos téléphones. Par ailleurs, l'IA n'a pas que des effets négatifs, sans non plus "la porter au pinacle".
G. Képénékian pose la question d'un benchmark avec d'autres collectivités ou établissements publics qui se seraient déjà posé ces questions ou auraient déjà orienté leur usage de l'IA. "Il y a encore un grand chemin à faire", tant l'IA évolue, par ailleurs.
P. Oliver accuse la majorité d'adopter une posture idéologique en s'interdisant l'usage de l'IA, tout en concédant que l'Europe donne ses données à des IA globalement américaines ou chinoises.
P. Oliver moque ce qu'il juge comme un refus de la modernité, pointant la lutte contre le antennes 5G ou autres.
Il cite aussi un contrat de 3 M€ avec une licorne française, Pigment, pour amener l'IA dans la collectivité, et pointe la contradiction.
Au tour de L. Bosetti, qui parle d'un effet de mode dont le marketing aura été victorieux : "il faut désormais agiter le hochet de l'IA à toutes les sauces".
Et d'indiquer que cela ne remplacera pas les aides-soignants, les éboueurs, etc.
Pendant l'intervention de L. Bosetti, P. Oliver quitte la séance.
Pour le groupe socialiste, S. Léger, adjointe à l'éducation : l'un des enjeux de l'école est "la transmission et la socialisation, mais pas en silo", ce que l'IA ne permet pas. "Le rôle des politiques, n'est pas de subir les vagues technologiques mais de les anticiper."
S. Léger : la fiabilité et la sécurité de l'IA ne sont pas garanties aujourd'hui. Il s'agit d'encadrer et sécuriser les données des utilisateurs de l'IA.
Pour le groupe écologiste, Isabelle Prin : "les émissions de CO² de Google ont bondi de 48% en 4 ans , de par l'explosion de l'usage de l'IA".
I. Prin : "nous ne cherchons pas à limiter l'IA, mais à l'utiliser à bon escient, [...] avec une priorité à l'humain dans nos services publics".
B. Maes répond à G. Képénékian : il y a bien des échanges avec des collectivités qui se posent les mêmes questions, et ces collectivités sont intéressées par le cadre proposé par la Ville, "simple à s'approprier."
B. Maes rappelle "le gros projet de ce mandat sur le numérique c'est de s'affranchir de Microsoft" et autres mastodontes du secteur, renforçant au passage les filières françaises. Effectivement, l'open source et la mise à disposition de la Data sont fréquents.
B. Maes sur Pigment, licorne française et ce marché à 3 M€ (qui minore en parlant d'un abonnement à 180 K€/an), et qui se base sur Gemini : il s'agira de démêler les chaines de sous-traitance, son paramétrage, etc.
Augmentation des effectifs de police (seuil des 300 policiers municipaux dépassé) et d'encadrants scolaires, B. Gailliout s'en félicite pour le groupe de droite. Mais ça reste insuffisant pour elle, et demande des précisions sur les types de contrats, la rotation des effectifs.
L. Bosetti rappelle que la police municipale de Lyon est un beau parcours de carrière, de par la variété des missions. Si la Ville a pu augmenter les salaires pour les crèches comme la police, cela peut engager une compétition de moyens avec d'autres communes aussi en recherche.
L. Bosetti : crèches en plein air, nouveautés pédagogiques... pour le secteur de la petite enfance, la Ville de Lyon est aussi une belle carte de visite.
M. Chihi, adj. à la sécurité : sur la période de 2014-2020, solde de -26 agents, dont la majorité a hérité. Aujourd'hui, 307 agents de police municipale.
Interruption de séance de 10 mn.
Estimation de l'heure de fin de la séance par la Direction des assemblées et de la vie des élu-es : 18h. On croise les doigts pour que ce soit bien le cas, ça fait une éternité qu'on n'a pas assisté à la fin d'un conseil municipal.
Sur cette délib, Pierre Oliver indique qu'il faut parfois une heure pour traverser la presqu'île en voiture. "Pas en vélo !", bruissent plusieurs élus de la majorité.
P. Oliver égrène ses griefs sur la ZTL de la presqu'île : bus déviés entraînant des difficulté de circulation pour les seniors, bornes automatiques bruyantes ou en panne...
Réponse de @vlungenstrass à @poliver69 : "vous dites que la ZTL est un échec, mais c'est votre capacité d'analyse qui est un échec".
Cependant V. Lungenstrass ne nie pas les problèmes de dysfonctionnements, notamment des feux tricolores, qui congestionnaient hors heure de pointe la presqu'île. Ce sujet est toujours en cours d'étude pour amélioration avec la Métropole.
P. Oliver se plaint du traitement qui lui est réservé et demande une forme de sérénité des débats, ce qui suscite quelques rires dans l'assemblée. "Je vous invite à contribuer à cette sérénité", conclut le maire de Lyon en souriant.
Bon, ça s'étirera au-delà de 18h, au regard du volume d'interventions encore prévues... Dommage car je vais rater ça, qui m'intéressait:
On doit vous laisser là, mais le CM est disponible en vidéo et replay sur le site de la ville.
Des bisous et RV le jeudi 13 novembre pour le prochain conseil municipal, avec la présentation du budget primitif 2026 ♥️
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Eh oui, c'est ce jeudi 26 juin le dernier conseil municipal avant les vacances d'été ❤️❤️❤️❤️
Pour tout vous dire : le temps manquant, la chaleur et la surcharge de boulot m'amenaient à ne pas traiter en amont les délibs de cette séance de juin.
D'autant que la presse s'est largement fait l'écho de plusieurs des sujets abordés :
Les locations touristiques (Airbnb, pour faire court) vont devoir se serrer la ceinture : seules 90 nuitées seront dorénavant tolérées. leprogres.fr/politique/2025…
Aujourd'hui, c'est CONSEIL MUNICIPAL DE LYON ♥️♥️♥️🎉💐💐
9h passées et les bancs sont clairsemés, pour le moment. Ça traine, ce qui est rarement le cas...
...parmi les absents excusés, on trouve notamment @poliver69 , qui avait pourtant 12 mn d'intervention au nom de son groupe.
NPG est pour le moment absente aussi, ainsi que David Kimelfeld, qui lui est annoncé retardataire.
Ce jeudi 27 mars 2025, c'est JOUR DE CONSEIL MUNICIPAL DE LYON 🌈🎉🎊🪅🍻❤️❤️❤️
Un conseil municipal attendu à plus d'un titre : on va y voter le budget 2025 dans un contexte de nombreuses candidatures (ou quasi) annoncées pour les municipales de 2026.
Dont cinq siègent au Conseil Municipal : G. Doucet, NPG, P. Oliver, B. de Montille, G. Képénékian.
On s'attend donc à des tunnels de prises de paroles.
Par ailleurs, il y a du mouvement : Ludovic Hernandez quitte le @groupepourlyon et rejoint le groupe de droite de @poliver69... lyonmag.com/article/142310…
Ce jeudi 23 janvier, c'est Conseil Municipal de Lyon ❤️❤️❤️
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un programme allégé, avec "seulement" 104 délibérations (on tourne d'habitude en moyenne plutôt à 140/150 délibs par séance, d'habitude. De source bien informée, ce devrait être désormais le quota pour les séances à venir, en raison de la fin de mandat approchant.
Pour le petit tour d'actualité de la politique locale, on notera le rapprochement à la Métropole des acteurs du centre gauche. Bientôt à la Ville ? lyoncapitale.fr/actualite/metr…
Bonjour et bienvenue pour ce dernier conseil municipal de Lyon de l'année civile ❤️❤️❤️
Pour l'appel, NPG continue sa politique de la chaise vide. La députée Sandrine Runel est excusée.
G. Doucet revient sur le drame de l'incendie de Caluire : cet événement tragique doit amener les élus à "nous exprimer dans la plus grande dignité". Il rappelle les actions de la ville pour accompagner les mineurs isolés et les personnes sans logements.