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Magnifique continuité: « Qu’ils viennent me chercher! » (#AffaireBenalla), « Qu’ils aillent au pénal ! » (#McKinseyGate). Qui peut encore croire que ce gouvernement se soucie du bien public et de notre santé ? #McKinseyMacronGate #ServierGate⬇️ [1/6] 
Dès le début de l'épidémie, E. Macron a mis sur la touche toutes les institutions de santé publique. Il a créé des cabinets de "conseillers" à sa botte, comme il s’était créé son propre service de sécurité avec Benalla, en attaquant la République. #McKinseyMacronGate ⬇️ [2/6]
Il a ensuite financé la "BVA Nudge Unit", cabinet occulte se piquant de neurosciences pour fabriquer le consentement des masses à ses caprices. Les auteurs de l'"auto-attestation de sortie", un gros coup de bluff qui n’avait aucune valeur juridique. #McKinseyMacronGate ⬇️ [3/6]
Sur la #CommissiondEnquete du Sénat présidée par @BasPhilippe.
Nous assistons à un véritable paradoxe de la part d’@enmarchefr dans « L’affaire Benalla. »
#AffaireBenalla #libéralisme
(Thread 👇)
Nous assistons à un véritable paradoxe de la part d’@enmarchefr dans « L’affaire Benalla. »
#AffaireBenalla #libéralisme
(Thread 👇)
Alors que la majorité présidentielle s’est forgée sur la revendication et l’hégémonisation du libéralisme philosophique, Mme la Garde des Sceaux (@NBelloubet) & M. le Premier ministre (@EPhilippePM) invoquent la séparation des pouvoirs pour critiquer le travail de la commission.
Pourtant, ce travail est en adéquation avec l’Etat de droit qui est un pilier du libéralisme. En adéquation parce qu’il correspond à l’art. 24 de notre Constitution qui énonce que le Parlement « évalue les politiques publiques ».
L'affaire #Benalla #BenallaGate se transforme en crise politique majeure : les explications de #Collomb ou #Macron n'ont pas convaincu les députés. Un petit détour par le Moyen Âge et les services de sécurité qui, déjà, entouraient les souverains... A dérouler ⬇️ !
Autour des rois ou des grands nobles gravitent un ensemble de satellites, à mi-chemin entre des domestiques, des mercenaires et des hommes de main. Armés et rémunérés par les puissants, ils sont en charge de la sécurité de leurs "patrons" (c'est le terme utilisé en latin !)
Mais ils peuvent également jouer le rôle de bras-armé, permettant aux puissants de recourir à la violence sans trop se salir les mains en personne. Au XVIe siècle encore, Brantôme mentionne ainsi un "tueur à gages du roi" ! #superclassemaisflippant #AssassinsCreed
1. Mini-fil sur ce qui me paraît (comme observateur, comme fonctionnaire aussi) le plus intéressant dans l’ #affaireBenalla et les réactions qu’elle suscite.
Spoiler : ce n’est pas qui a vu quelle vidéo à quelle heure le 1er ou le 2 mai
Spoiler : ce n’est pas qui a vu quelle vidéo à quelle heure le 1er ou le 2 mai
2. j’ai été frappé lors des auditions, des préfets Delpuech et Strzoda notamment, par tout le respect entourant ces "grands commis de l’État". Ce dernier déclarant qu’il servirait l’État "jusqu’à la dernière minute". Et tous de se pâmer.
3. Car une des choses qui choque fondamentalement dans cette affaire est l’idée que la sécurité présidentielle, chose sérieuse s'il en est, ait pu être retirée à l’État, aux fonctionnaires, policiers et gendarmes, formés pour cela
Je vais essayer de faire un melting pot de l'#AffaireBenalla mais c'est chaud tellement il y a d'infos : ⬇️ à dérouler ⬇️
1 - En 2016 Alexandre Benalla est mystérieusement relaxé pour des faits de violences ayant entrainé plus de 8 jours d'ITT sur une femme de sa famille.
bit.ly/2uS4D4C
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2 - Il fait une demande de port d'arme, c'est refusé par @BCazeneuve parce qu'il se prend pour Rambo (Ou L'Inspecteur Harry, ça marche pareil).
bit.ly/2zUf5yl
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