La bureaucratie universitaire, qui a refusé depuis septembre dernier, d'écouter le milieu scientifique, suivant la tradition obscurantiste d'un Salzmann, se réveille pour… faire de la com'.
aefinfo.fr/depeche/651842…
Qu'AEF ait mis en accès libre ce travestissement des complices de la fermeture de l'Université depuis un an en résistants de la 25ème heure est tout à fait amusant (non).
A chaque paragraphe, on se pince. Outre que ce qu'elle dit sur "la littérature scientifique" est rigoureusement faux, la DGS de Strasbourg a été saisie par le CHSCT il y a SIX MOIS. On sait que le CO2 permet de quantifier le risque aérosol depuis des années…
Et la transmission par aérosol est un fait scientifique depuis juin.
La réalité, c'est que l'achat de capteur à Strasbourg n'a été consenti qu'après ce vote à l'unanimité du CHSCT. La réalité, c'est que la techno-bureaucratie universitaire n'écoute pas le monde scientifique.
L'ensemble de l'article est un enfilage de perles de la part de ceux qui détruisent l'Université depuis des décennies. Celle-ci est inouïe… Le type est le dernier à ignorer qu'aucun enseignement de qualité ne se fait par "réseau", même quand tout le monde y met du cœur.
AEF ne donne la parole qu'à ceux qui ont été les complices d'une politique destructrice pour les étudiants.
Ici, la DG d'une usine à crétiniser. Inutile de commenter sa conception de l'enseignement…
Strabourg encore. Ce bureaucrate-ci n'a aucun problème avec la fermeture de l'Université imposée depuis un an, alors même qu'on savait, pour quelques centaines de millions €, les sécuriser.
Non, il régurgite la bouillie de la "valeur du diplôme"…
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