1/n Vaccins versus infection.Ce que montre cette étude de Nature sur une cohorte aléatoire ONS avec contrôle de la charge virale est, certes, une réduction jusqu'à 80% des infections post 2ème dose, ms aussi une l'absence de différence avec les non vaccinés post infection >4 mois
2/n Ceux qui ont eu une infection il y a plus de 4 mois (attestée par des anticorps positifs) présentent même une meilleure protection contre de nouvelles infections que ceux qui ont eu une infection plus récente.
3/n Cela semble montrer que l'immunité naturelle S'AMELIORE avec le temps, comme cela avait été suggéré (poursuite de la maturation de lymphocytes B mais aussi, peut-être des lymphocytes T dont on reconnaît maintenant l'importance).
4/n Cela repose, encore une X, la q de l'intérêt de vacciner ls pré-infectés, q sont sujets à des effets indésirables plus importants que ceux qui n'ont jamais été infectés (probablement sous estimé dans cette étude car les infectés ne le savt pas forcémt) sciencedirect.com/science/articl…
5/n Alors même qu'en UK, la séroprévalence atteint 80% >
6/n Des infections se produisent, certes, parmi les jeunes (20-40 ans) twitter.com/kallmemeg
7/n Mais on ne peut pas exclure que les vaccins confèrent un avantage au variant indien, contre lequel ils sont moins efficaces. Alors que cela ne semble pas être le cas de l'immunité naturelle.
8/n La question se pose d'autant que l'UK est en SOUS mortalité depuis plus de 2 mois avec une moyenne, ces dernières semaines de une cinquantaine de décès par semaine attribués au Covid
9/n Donc, encore une fois, quel est l'objectif? Et quel est l'intérêt d'exposer des sujets déjà protégés et ceux à faible risque à des effets indésirables? Sur quel base?
En outre, la pression de sélection vaccinale risque de favoriser les variants. Personne n'a rien à y gagner.
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