Interview de Vidal dans les échos. Son rôle de propagation des délires néo-fascistes du zemmouro-blanquérisme est terminé.
Le temps des vraies questions est venu.
L'objet du nouveau foutage de gueule, c'est le green-washing.
Même le journaliste a du se pincer les joues pour ne pas exploser de rire. Ca lui va bien, à Vidal: "responsable du tri sélectif".
L'important, c'est de maintenir le vide de pensée total. A n'importe quelle question, balancer les inepties du néo-management:
- appel à projets
- verrous et leviers d'action
- best practices et benchmarking
- groupe de travail
Néant.
Puis, il s'agit de détourner les responsables administratifs, les secrétariats, les services de gestion, les universitaires de leur métier: leur faire rendre chaque jour les "indicateurs" les plus débiles, les plus inutiles, les plus dégradants…
On crève de ce torrent quotidien de débilité néomanagériale. Malheureusement, littéralement.
Et l'Université en crève.
Nous débarrasser des deux mâchoires du piège qui nous enserre, si bien incarné par le double néant de Vidal, Janus avec une face réactionnaire fascistoïde et une absence totale d'éthique, et avec une face néomanagériale.
lemonde.fr/idees/article/…
Ces gens piétinent nos vies. Il faut les en arracher vite, urgemment, avant que tout le corps social soit intégralement dévitalisé. Si ce n'est pour nous, nous devons le faire pour la jeune génération.
Par faiblesse, je vous met le lien…
start.lesechos.fr/apprendre/univ…
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