Aux 🇺🇸 on informe les parents et les professionnels sur #monkeypox et #enfants, un de groupes à risque de forme grave avec les femmes enceinte et les personnes immunodéprimé (cf @WHO )
En 🇫🇷, on a la @sf_pediatrie
un petit 🧵sur leur communiqué
sfpediatrie.com/actualites/com…
La premiere preoccupation n'est pas d'informer de manière claire est transparente mais de rassurer:
pg1
"Il n’existe pas, faute de cas, de données
spécifiquement pédiatriques liées à cette épidémie"
mais
"les pédiatres se veulent RASSURANTS vis-à-vis du
risque pour les enfants"
entre considerations prématurées, comme l'actualité le démontre :
"La gravité + importante chez l’#enfant
mentionnée dans plusieurs études africaines...n’est pas certaine au cours de l’épidémie actuelle: les adultes présentent en effet très peu de formes
graves et aucun décès"
pg 2
"Le risque de cas pédiatrique peut donc être considéré actuellement comme extrêmement faible
mais non nul. Il nécessite donc une vigilance des pédiatres et des médecins s’occupant d’enfants
qui peuvent toutefois être TRES RASSURANTS vis-à-vis de l’inquiétude des familles"
un autre moyen de bien rassurer, c'est d'éviter de les identifier, en limitant au maximum les tests, non seulement aux cas contact mais aux cas contacts de cas index avec des lesions localisées à certains endroits):
sur la base d'éléments très scientifiques :
"La survenue de cas groupés d’éruptions vésiculeuses chez des enfants, dans une collectivité ou dans une famille, est aussi un élément très rassurant. Il est en effet très improbable que des enfants aient été exposés simultanément
et de façon suffisamment étroite à un adulte atteint de monkey pox,alors que la transmission entre enfants des autres 🦠 en cause dans les différents
diagnostics différentiels est très fréquente (du fait de leur mode de transmission respiratoire,
par la salive ou mains souillées)
et un pédiatre est toujours prêt, tout d'abord à "rassurer les parents" (pg.3)
! @HAS_sante qui propose d'évaluer au cas par cas la vaccination reactive aussi pour les enfants
"Bien qu’il n’existe aucune étude pédiatrique prospective et que la maladie, au cours de cette
épidémie, apparaisse comme relativement bénigne par rapport à ce qui était connu"
Sinon, on peut toujours suivre les recommandations d'experts, qui appellent à "des efforts de santé publique axés sur la protection des populations vulnérables, en particulier les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes et les enfants"
thelancet.com/journals/lanch…
communiqué
sfpediatrie.com/actualites/com…
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