Bonsoir @boadiceenne3
Il y a dans cette affaire une question qui mériterait des éclaircissements.
Un question TRÈS PRÉCISE.
Une question à laquelle vos digressions sur mon besoin de solidarité masculine ne répondent pas franchement.
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Précision : sur les formes.
Je vais m'en tenir au vouvoiement à votre égard. Et je vais m'abstenir de vous appeler "grosse" et de faire référence à votre éventuelle consommation de stupéfiants.
Venons en à la question précise donc.
2
Quand vous parlez de "ses tweets effacés depuis" à quels tweets vous référez vous, et en quoi ces tweets effacés valideraient-ils vos propos ?
3
Parce que, bon, l'exemple que vous donnez, si on regarde...
"Nous sommes antivax"
"(...) tu traques les antivax alors que dans ton foyer nous le sommes."
C'est cela ce que vous qualifiez dans cette affaire d'"alerte légitime" ?
4
Je ne sais pas si des magistrats y verraient là une "alerte légitime" dans une affaire de violences conjugales.
En revanche, il me semble que cet exemple que VOUS apportez, cadre plutôt bien avec le contenu de l'article de Libé que vous fustigez.
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Et ça cadre aussi avec divers témoignages de personnes ayant reçu à l'époque des messages de Mme M Daoust, témoignages qui parlent d'accusations de double-discours et de propos dénigrant à l'égard du mari, A Daoust...
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Ces messages décrivent une famille antivax en privé, mais dont le mari afficherait en public d'hypocrites positions à l'encontre des antivax.
Elle le décrit comme un faux cul.
Mais aucune référence à une coercition ("Antoine me soutient"...).
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Mais vous, vous parlez de violences conjugales, de contrôle coercitifs.
Sur quoi vous appuyez-vous pour affirmer cela ?
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Et, plus précisément, je répète donc ma question :
Quand vous parlez de "ses tweets effacés depuis" à quels tweets vous référez vous, et en quoi ces tweets effacés valideraient-ils vos propos ?
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Je conclus avec 2 remarques :
1. Je ne connais pas A Daoust et je n'ai aucune raison de le défendre à tout prix.
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2. Le lien que vous avez partagé, qui était sensé démontrer, ou du moins illustrer vos propos sur des "alertes légitimes" de violence conjugales, mène à un compte Twitter très suspect.
Voilà
J'attends vos réponses.
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