Note de @linstitutPR sur le rôle important des assos vélos dans l'augmentation du nombre de cyclistes en Ile-de-France. Leurs activités d'entraide et de solidarité (vélos-écoles, ateliers…) sont mises en avant institutparisregion.fr/fileadmin/NewE…
La mobilité vélo se diffuse d'abord au-delà du périphérique par le déménagement de cyclistes de centre-ville déjà convaincus. Dans son enquête sur une "ville de campagne", Aurore Flipo de l'@entpe tire des conclusions similaires et ouvre des perspectives theconversation.com/le-velo-peut-i…
L'inégalité face aux mobilités contraintes, le luxe d'un VAE en + d'une voiture, une socialisation particulière des vélotafeurs sous-estimée, la difficulté d'arbitrer des choix de mobilité rendent "la pratique encore réservée à une minorité" à la campagne et ses petites villes.
Pour ne pas réserver le vélo aux grandes villes (ou même aux cœurs de petits villes), va y'avoir besoin de mobilisation dans les territoires ruraux et de prendre en compte la sociologie actuelle des militant·es du vélo du quotidien pour ne laisser personne sur le bord de la route
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La question de la mobilité des enfants parfois le bout de son nez là où l'on ne l'attend pas. Dans ce que j'entends autour de moi autour de la réforme des temps périscolaires à Lyon et sa contestation ⤵️, elle est centrale sans pourtant jamais être nommée lyoncapitale.fr/actualite/l-ac…
Sur Lyon, on a la chance, à l'exception de rares écoles, d'être sur des cartes scolaires extrêmement resserrées. 60 % des élèves habitent à moins de 500 m, 25 % entre 500 m et 1 km. Moins d'1 enfant sur 6 habite à plus d'1 km de son école.
La contestation porte sur l'heure de sortie des élèves, avec la fin de la garderie jusqu'à 17h30, remplacée par des activités jusqu'à 18 h. Pour certains, ça ne respecterait pas les temps de l'enfant, pour d'autres, parfois les mêmes, ça repousse tard les activités extrascolaires
Pour "redevenir les meilleurs alliés des piétons", plusieurs axes : 1. Arrêter avec l'argument d'hyper efficacité du vélo vs les autres modes, qui recrute avant tout les personnes les plus pressées. En ville, en milieu dense, être courtois ce n'est clairement pas être efficace.
2. Informer les cyclistes que bien manier son vélo s'apprend. Utiliser correctement les vitesses, les 2 freins, s'arrêter et repartir sans souci, être assez à l'aise pour mieux anticiper, ou encore savoir tenir quasiment à l'arrêt, tout cela s'apprend et n'a rien d'honteux.
3. Réaffirmer l'enjeu d'un Code de la rue partagé par tous et toutes et respecté à la lettre. Il faut comprendre l'insécurité, le doute, que peuvent créer chez les autres le fait de ne pas respecter les règles attendues. Même si on ne les met pas en danger.
Cette carte de l'@EucyclistFed vue dans le @VelookFr du jour est fabuleuse. Elle souligne l'intérêt des double sens cyclables et leur diffusion encore trop limitée en Europe et en France. Un moyen pourtant rapide, simple et peu coûteux de faciliter les trajets à vélo 🤩
Si le département du Rhône est l'un des rares territoires français à se distinguer, il le doit essentiellement à Lyon et Villeurbanne. Dans le reste de l'agglomération lyonnaise, les double sens cyclables restent encore trop rares.
Sur l'enjeu de la formation / sensibilisation au double-sens cyclable pour limiter l'appréhension à l'usage de cet aménagement très peu accidentogène, on peut relire les travaux de ProVelo Belgique : professionnels.provelo.org/conseils/way-t…
Un excellent guide, accessible et facile à lire, sur les mesures qui permettent la promotion du vélo. Comme une liste d'ingrédients pour votre #PlanVélo local⤵️ guide-velo.ch/f/accueil
Parmi les éléments remarquables, de nombreux petits chapitres font référence à des actions ou des ressources techniques pour aller plus loin. Mais aussi à des recherches en sciences humaines qui permettent d'appuyer l'argumentation.
Et parmi les actions qui appuient la promotion de la mobilité à vélo, les pumptracks et autres bikeparks ne sont pas oubliés 👍
Ce sont ces sourires éclatants qui font du métier d'éducateur mobilité vélo l'un des plus chouettes 😊 Et pour ce que je connais, les visages s'éclairent à chaque fois que la @maisonvelolyon intervient dans un collège. Aidons les ados à passer au vélo! #PetitsProducteursDeBananes
L'une des manières très concrète de soutenir la pratique des collégien·nes, ça peut être de diffuser l'excellent guide de l'@ademe publié en septembre. Auprès des collectivités, des assos vélo, des principaux de collège, des profs... librairie.ademe.fr/mobilite-et-tr…
Le guide de l'@ademe sur les collèges et lycées est un document dense et complet. Avec des chiffres, un argumentaire, une étude comparée d'autres pays, une bibliographie commentée... Mais aussi une série de 21 fiches actions concrètes qui dessinent un #SystèmeVélo à hauteur d'ado
Plein d'enseignements sur les déplacements et la pratique du vélo des étudiant·es dans cette enquête de l'@onaps et de l'@ANESTAPS parue lundi ⤵️ onaps.fr/enquete-sur-la…
@onaps@ANESTAPS 35 % seulement des étudiant·es se déplaceraient en mode actif vers leur lieu d'études. Dont moins de 9% à vélo. A l'inverse, près des 2/3 utilisent des transports motorisés, dont 22 % la voiture.
@onaps@ANESTAPS Même dans le cas des trajets inférieurs à 2 km, 22% des étudiant·es utilisent un transport motorisé. Pour les distances entre 2 et 10 km, 3 étudiants sur 4 utilisent le bus ou la voiture (une segmentation + fine avec "entre 2 et 5 km" aurait mieux souligné le potentiel du vélo)