Thread by @djigane

Je cherchais cette vidéo vue sur instagram depuis hier.

DON'T DO DRUGS

DON'T DO DRUGS

DON'T DO DRUGS

AGAIN :
DON'T DO DRUGS!

https://twitter.com/abenzzzzz/status/1254504573701697546

Mon opinion sur les drogues (dures, douces, peu importe) :

Je ne blâme jamais quelqu’un qui est addicted à une quelconque drogue (plus précisément je ne juge jamais quelqu’un sur sa manière de mener sa vie, encore une fois).

Chacun est maitre de son destin, de ses choix. « Lou way def bopam », comme on dit).
J’ai dans mon entourage immédiat des amis, parents, qui se droguent. C’est leur vie, pas la mienne, et je considère qu’ils sont maitres (ou esclaves) de leurs vies, de leurs choix, voulus ou non.

Que leurs vies soient un gâchis ou non, eux seuls ont le droit d'en juger, sans être blâmer...

Effectivement, plusieurs causes peuvent pousser quelqu’un à se droguer : la maltraitance, le mal-être, la violence morale, physique, d’innombrables facteurs externes, internes, ...

...qui influencent notre manière de vivre, nos décisions, ou tout simplement l’envie de découvrir l’interdit, juste « pour le fun », qui nous entraine dans un gouffre dont on s’échappe difficilement. J’ai perdu et failli perdre des proches à cause de drogues « dures », « douces »

J’ai un blocage, depuis l’enfance (c’est une promesse que nous nous étions faites avec des amis) au sujet des drogues, de ne jamais « tomber dedans », quelles que soient les circonstances... Dieu Merci.

Ce n’est pas du tout une force de caractère, car je suis faible sur d’autres choses qui peuvent paraitre (ou sont) répréhensibles (et il y en a beaucoup ! Lol).

C’est juste un « blocage », que j’assume, mais qui ne signifie pas incompréhension ou rejet de la situation, ...

...des circonstances, du contexte, à cause desquels une personne se drogue.

Il y a toujours des raisons « valables », des « circonstances atténuantes », qui nous poussent à la compréhension, la compassion.

Se pencher sur les causes sans être catégorique sur les effets néfastes de l’usage de stupéfiants est probablement la meilleure méthode qu’il soit.

Mais cette méthode est souvent, de plus en plus, avancée, comme « excuse » pour se dédouaner ou dédouaner l’usage des drogues.

La drogue tend à passer de nos jours de plus en plus comme un passe-temps, un hobby au prix très cher payé, finalement.

L’addiction est malheureusement si sournoise, pernicieuse, qu’on ne la prend jamais au sérieux tant qu’elle n’a pas commencé à détruire notre vie.

Je suis contre la répression des consommateurs, leur sensibilisation, éducation, réhabilitation (le terme est fort, plein de sens : réhabiliter quelqu’un à être normal, le sortir d’une situation anormale…).

Par contre, aucune pitié pour dealers (la grande majorité ne se drogue pas). Finalement, le plus important pour moi est la prise de conscience de son état de drogué et de la nécessité d’en sortir, d’arrêter, par tous les moyens, ...

...mais également d’aider ceux qui sont encore dans cette addiction, car cette seule prise de conscience signifie reconnaitre une seule chose :

DON'T DO DRUGS (sorry pour le "raccourci"… 🙂)

*Je suis contre la répression des consommateurs, et favorable à leur sensibilisation, éducation, réhabilitation (le terme est fort, plein de sens : réhabiliter quelqu’un à être normal, le sortir d’une situation anormale…).

Sorry for the typo.