1/ Depuis le début de l’épidémie de #COVIDー19, des #étudiants en soins infirmiers et des élèves aides-soignants en première ligne sont méprisés et exploités dans l’indifférence du gouvernement !
2/ Par une question écrite et un courrier, nous attirons l’attention du gouvernement sur le cas particulier des étudiants en IFSI et en IFAS mobilisés dans le cadre de l’épidémie de Covid19.
3/ Monsieur le Ministre,
Nous souhaitons attirer votre attention sur le cas particulier des étudiants en IFSI (Institut de formation en soins infirmiers) et en IFAS (Institut de formation d’aide-soignant) mobilisés dans le cadre de l’épidémie de Covid19.
4/ En validant leur première année d’études, les étudiants en soins infirmiers obtiennent l’équivalence du diplôme d’aide-soignant, ce qui leur permet d’effectuer des vacations en tant que tels.
5/ Les étudiants aides-soignants peuvent de leur côté travailler comme agents de service hospitalier. Depuis le mois de mars, beaucoup d’entre eux se sont portés volontaires ou ont été réquisitionnés pour travailler, comme aides-soignants ou agents de service hospitalier...
6/ ... dans les services dédiés au virus, dans les services de réanimation, de pneumologie, ou encore dans les Ehpad. Or il leur a été imposé que ce temps de travail soit considéré comme du temps de stage, remplaçant ainsi une partie de leur formation, et surtout...
7/ ... avec la rémunération correspondante, soit 0,80 à 1,40 euros de l’heure selon l’année de formation pour les étudiants en soins infirmiers, et aucune indemnisation pour les élèves aides-soignants. Pour travailler 35 heures en première ligne dans les...
8/ ... services les plus tendus et donc les plus risqués, souvent mal encadrés par manque de temps du reste du personnel, et avec le manque de matériel de protection que nous connaissons, ces étudiants sont donc payés entre 150 à 200 euros/mois, voire pas du tout… C’est indigne.
9/ Leur engagement impacte également le bon déroulé de leurs études : ils doivent en effet cumuler un travail difficile et la poursuite de leur formation (cours, rédaction de mémoire, etc.), et perdent tout ou partie de leur dernier stage, dit « pré-professionnel »...
10/ ... remplacé par ce « stage » en période de crise sanitaire. Or il s’agit bien d’un travail d’aide-soignant et non d’infirmier pour les élèves en IFSI, d’agent de service hospitalier et non d’aide-soignant pour les élèves en IFAS, qu’ils effectuent : ...
11/ ... ils n’y apprennent donc pas les gestes de leur futur métier. Et ils n’ont pas non plus le choix du service ou de la spécialité dans lesquels ils se forment, choix pourtant déterminant pour une future embauche.
12/ Heureusement, quelques régions ont choisi de revaloriser le travail de ces étudiants en leur octroyant une prime (de 1300 à 1500 euros net/mois pour les étudiants en soins infirmiers et 1000 euros net/mois pour les étudiants aides-soignants en l’Ile-de-France, par exemple).
13/ Mais nombre d’étudiants sur le territoire ne bénéficient pas de cette mesure et travaillent pour le bien commun sans aucune reconnaissance financière : ils se sentent, à juste titre, méprisés et exploités.
14/ Nous vous demandons donc @olivierveran d’agir immédiatement pour que le travail d’intérêt général des élèves en soins infirmiers et des élèves aides-soignants soit reconnu et rémunéré à sa juste valeur, et de manière uniforme sur tout le territoire français.
Le JDD publie un article après la publication sur des comptes d’extrême-droite d’une vidéo.
Sur cette vidéo, alors que nous étions à la terrasse d’un café avec mon collègue @sebastiendelogu, une provocatrice et amie du gouvernement génocidaire de Netanyahu nous menace de mort.
Contrairement à ce qu’écrit le JDD, cela a eu lieu à Marseille et non à Paris et Manon Aubry n’était pas à la table.
Le journalisme, ce n’est pas relayer les vidéos de la fachosphère. C’est mener une enquête, sauf quand on n’est pas un journal mais un outil de propagande.
Menons donc l’enquête : la « passante » en question est Anouck Aragones. Elle est avocate au barreau de Marseille et membre du cabinet d’avocat « ABC Avocats ».
Elle a elle même postée la première vidéo sur le réseau social Threads.
Lorsque l'on débat de stratégie politique, il faut sortir des points de vue abstraits, des ressentis ou des récits médiatiques et partir des faits.
Chiffres à l'appui, c'est bien la stratégie de la France insoumise qui a permis la progression du Nouveau Front Populaire.
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Ainsi, si l'observe la progression du NFP entre 2022 et 2024, on remarque qu'elle est parfaitement corrélée avec celle de LFI entre les européennes 2019 et 2024.
On le voit sur cette courbe où chaque point représente un ensemble de bureaux de vote regroupant 50 000 électeurs.
L'axe vertical représente la progression du NFP en voix aux législatives et l'axe horizontal la progression de LFI en voix aux européennes.
Les droites verte et rouge représentent les progressions due à la hausse de participation aux législatives et aux européennes.
URGENT : il est encore possible de faire une procuration si vous n’êtes pas disponible dimanche.
Il suffit de trouver une personne en mesure de voter qui pourra se déplacer dans votre bureau de vote pour voter à votre place.
ATTENTION : pour que votre vote soit valable, il faut un seul bulletin dans l’enveloppe.
Il ne faut également rien écrire sur le bulletin, ni barrer ou entourer des noms de candidats, ni mettre un bulletin déchiré dans l’enveloppe. Sinon, votre vote ne sera pas pris en compte.
IMPORTANT : dimanche prochain, le 9 juin, c’est la date des élections européennes.
Dans ce fil, vous retrouvez tout ce qu’il faut savoir pour vous et vos proches qui se poseraient des questions sur le vote.
Merci de le partager.
#UnionPopulaire
Les élections européennes, c’est UN seul tour pour le vote.
Il n’y a pas de deuxième tour. Donc c’est bien le dimanche 9 juin qu’il faut se mobiliser et pas la semaine suivante.
La date de l’élection, c’est le 9 juin, sauf pour la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique, la Polynésie, Saint-Barthélemy, Saint-Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon et les Français votant depuis l’étranger sur le continent américain ou les Caraïbes qui votent eux le 8 juin.
Il y’a un an, nous signions l’accord de la #NUPES avec le @partisocialiste, @EELV, le @PCF et @GenerationsMvt. Nous décidions de défendre ensemble des candidatures uniques pour les élections législatives de 2022 autour d’un programme partagé de 650 mesures.
A l’issue du premier tour des élections législatives, nous sortions en tête du scrutin avec près de 26%. C’était la première fois depuis l’inversion du calendrier électoral que la coalition présidentielle était battue aux élections législatives suivantes.
Au second tour, c’est le choix des macronistes de tout faire pour battre les candidats de la #NUPES qui nous aura empêché de remporter le scrutin. Ce choix funeste aura permis l’entrée de 89 députés de l’extrême-droite à l’assemblée nationale.
Aujourd’hui le Gouvernement va présenter son insupportable réforme des retraites. Comme attendu, le véhicule législatif retenu sera un projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale (PLFRSS), afin de tordre le bras au débat. Ce faisant il piétine le droit ⤵️
1. Le recours à un PLFRSS permet au Gouvernement de raccourcir au maximum le temps du débat parlementaire. En effet, les délais d’examen d’une loi de financement sont strictement encadrés. Si ces délais ne sont pas tenus, le Gouvernement pour appliquer sa réforme par ordonnance !
2. L’objectif recherché : aller vite pour prendre de vitesse le mouvement social, et appliquer la réforme quoiqu’il en coûte, y compris par ordonnance. Bonus pour le Gouvernement, le recours à un PLFRSS lui permet de garder en joker un recours au 49.3 sur un autre texte !